đŸ„ Ecole St Regis Le Puy En Velay

ÉcoleĂ©lĂ©mentaire privĂ©e St RĂ©gis - St Michel. 34 rue GĂ©nĂ©ral Lafayette. 43000 Puy-en-Velay. TĂ©l : 04 71 09 07 56 Appeler. EcoleMaternelle Saint RĂ©gis - Saint Michel, Ecole Maternelle, Le Puy-en-Velay, 34 r GĂ©n Lafayette 43000 Le Puy-en-Velay: 5 personnes avec 5 photos, 5 adresses e-mail, annĂ©es de sortie avec photos de classe et rĂ©unions de classe. Écolecommunale de LE PUY EN VELAY, commune Le Puy-en-Velay dans la rĂ©gion de Auvergne-RhĂŽne-Alpes en France. Date de clĂŽture du LE PUY EN VELAY: Le centre Ă©ducatif LE PUY EN VELAY est fermĂ© depuis 2000-08-31 . Toutes les informations officielles, les opinions, les notes et les commentaires de l’école PrivĂ© "LycĂ©e gĂ©nĂ©ral et technologique privĂ© Professeurdes Ă©coles chez Ecole Saint-RĂ©gis Le Puy-en-Velay, Auvergne-RhĂŽne-Alpes, France. 38 relations. Inscrivez-vous pour entrer en relation Ecole Saint-RĂ©gis. ISFEC Consultezavis sur OGEC ECOLE COLL ST REGIS ST MICHEL France. Informations sur les revenus, la gestion, l'atmosphĂšre ! lycĂ©esaint-joseph saint-rĂ©gis le rosaire es 4, boulevard montferrand en le puy-en-velay (43000) en la regiĂłn de auvergne (france). Este lugar estĂĄ en la lista en la categorĂ­a Ă©cole dalla guĂ­a geodruid le puy-en-velay 2022 . CentreScolaire PrivĂ© Saint Joseph Le Rosaire au Puy en Velay; Contact Studio CrĂ©a Danse au Puy en Velay; TĂ©lĂ©phone Lettres et ScienceSup au Puy en Velay; Contact Cfr Machado Auto EcoleĂ©lĂ©mentaire PrivĂ©e Saint RĂ©gis-saint Michel. Le Puy en Velay - ★★★ ★★ sur 10 votes. L'Ă©cole primaire Ecole Ă©lĂ©mentaire PrivĂ©e Saint RĂ©gis-saint Michel est situĂ©e 34 rue GĂ©nĂ©ral Lafayette et accueil un effectif total de 222 Ă©lĂšves. [Lire la Suite] EcoleĂ©lĂ©mentaire privĂ©e Saint RĂ©gis-Saint Michel - École maternelle, École primaire, au Puy-en-Velay (43000), 43000 - Avis, adresse, tĂ©lĂ©phone. Avis des internautes et classement des EcoleMaternelle Primaire St RĂ©gis-St Michel - 34 rue du GĂ©nĂ©ral la Fayette, 43000 Le Puy en Velay - Ecoles primaires privĂ©es - 0471090756 - adresse - numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone - avis - plan - tĂ©lĂ©phone - avec le 118 712 annuaire sur internet, mobile et tablette. Lecentre Ă©ducatif LE PUY EN VELAY est fermĂ© depuis 2003-08-31 Toutes les informations officielles, les opinions, les notes et les commentaires de l’école Public "Ecole maternelle Guitard". Cette Ă©cole est situĂ©e Ă  LE PUY EN VELAY, dans la rĂ©gion Auvergne-RhĂŽne-Alpes en France. EnsembleScolaire EuropĂ©en St - RĂ©gis - St - Michel Agenda & Plannings Formations et options Parcours RĂ©sultats et Prix Sorties et voyages Circulaires Ecole primaire Coin des Ă©lĂšves Contacts Informations pratiques Galerie Photos Restauration Self Liens Utiles Centenaire St RĂ©gis Cliquez sur le logo ActualitĂ© Les rĂ©sultats aux examens 2021-2022 EcoleĂ©lĂ©mentaire privĂ©e Saint RĂ©gis-Saint Michel, Le Puy-en-Velay 43000. Adresse 34 rue GĂ©nĂ©ral Lafayette, 43000 LE PUY EN VELAY Voir Maps; TĂ©lĂ©phone 0471090756; Email ce.0430745B@ac-clermont.fr; L'Ă©tablissement 'Ecole Ă©lĂ©mentaire privĂ©e Saint RĂ©gis-Saint Michel' est une Ă©cole primaire privĂ©e Ă  Le Puy-en-Velay, il est ouvert depuis le 08/03/1971 et CollĂšgeprivĂ© Saint RĂ©gis, Le Puy-en-Velay (43) : retrouver toutes les informations du collĂšge sur le site de l'effectif, matiĂšres et cursus de l'Ă©tablissement. Contactezl'Ă©cole : Pour toute question vous pouvez nous joindre par tĂ©lĂ©phone au 04 71 09 07 56 . Envoyer. Merci de votre message. Merci de votre message. 34 rue GĂ©nĂ©ral Lafayette. 43000 Le Puy-en-Velay Email: primairestregis-stmichel@ Nous contacter. tel : 04 71 09 07 56. Email : primairestregis-stmichel@wanadoo.fr. Nous rencontrer. 34 rue GĂ©nĂ©ral Lafayette. Qi7Y. Aquitaine Aquitaine / 24 Dordogne Ecole du SacrĂ© Coeur Le Toulon 82 rue Biron 24000 PERIGUEUX TĂ©l 05 53 09 34 09 Mail ecolesacrecoeurperigueux Site internet Cliquez ici Aquitaine / 33 Gironde Ecole SĂ©vignĂ© 10 rue des Palanques 33000 Bordeaux TĂ©l 0450007450 Mail secretariat Site internet Cliquez ici Aquitaine / 33 Gironde Centre scolaire Notre-Dame-SĂ©vignĂ© Ecole / CollĂšge 37 Avenue du 7Ăšme Art 33400 TALENCE TĂ©l 33556805551 Mail Site internet Cliquez ici Aquitaine / 33 Gironde CollĂšge Saint Joseph 32 rue des chais 33500 LIBOURNE TĂ©l 05 57 25 36 43 Mail direction Site internet Cliquez ici Aquitaine / 33 Gironde Ecole Marie ImmaculĂ©e 77 rue des Girondins 33500 LIBOURNE TĂ©l 05 57 25 16 90 Mail Site internet Cliquez ici Contact Aquitaine / 33 Gironde Ecole Saint Joseph 9 Place du 11 novembre 33930 VENDAYS TĂ©l 05 56 41 70 26 Mail Site internet Cliquez ici Contact direction Auvergne Auvergne / 01 Ain Maison Saint Joseph 108 rue Thomas Riboud 01250 JASSERON TĂ©l 04 74 30 01 77 Mail direction Contact Mr Dominique GELMINI Auvergne / 03 Allier Institution Sainte Procule Ecole / CollĂšge / LycĂ©e / PrĂ©pa 10 rue des Augustins 03800 GANNAT TĂ©l 33470900112 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 07 ArdĂšche Maison Saint Joseph Rue des Soeurs 07410 SAINT FELICIEN TĂ©l 04 75 06 00 12 Auvergne / 15 Cantal Ecole et CollĂšge Saint Joseph 3 avenue Charles de Gaulle 15106 Saint Flour TĂ©l 04 71 60 04 58 Mail stjoseph15 Site internet Cliquez ici Auvergne / 15 Cantal Saint Joseph Le Bourg 15190 CONDAT TĂ©l 04 71 78 50 22 Mail saintjosephcondat Site internet Cliquez ici Auvergne / 15 Cantal LycĂ©e technique agricole privĂ© 22 Avenue de la Gare 15600 MAURS TĂ©l 04 71 49 02 29 Mail maurs Site internet Cliquez ici Auvergne / 15 Cantal Ecole Saint Joseph Le Bourg 15700 PLEAUX TĂ©l 04 71 40 42 60 Mail est-joseph Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire EHPAD Saint Joseph 26 rue des Farges 43000 LE PUY EN VELAY TĂ©l 04 71 04 36 34 Mail Contact Mme Laurence TEMEY Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Chemin Saint Marcel 43000 ESPALY Saint Marcel TĂ©l 0471091652 Mail Auvergne / 43 Haute-Loire LycĂ©e Saint Jacques de Copmpostelle 2 rue Anne Marie Martel 43000 LE PUY EN VELAY TĂ©l 04 71 05 46 66 Mail contact Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire CollĂšge Saint Joseph le Rosaire 10 Boulevard Montferrand 43000 LE PUY EN VELAY TĂ©l 04 71 09 39 97 Mail 0430903y Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Centre scolaire Notre Dame de la Faye Ecole / collĂšge 2 rue du 19 mars 1962 43110 AUREC SUR LOIRE TĂ©l 04 77 35 47 23 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 43130 SAINT PIERRE DUCHAMP TĂ©l 04 71 03 43 33 Mail ecolestpierre43 Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 7 Place de l'Eglise 43140 LA SEAUVE sur SEMENE TĂ©l 0471610051 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Rue du Stade BP 77 43140 SAINTE SIGOLENE Cedex TĂ©l 04 71 66 61 00 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 43140 SAINT VICTOR MALESCOURS TĂ©l 04 71 61 01 17 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Le Bourg 43200 GRAZAC TĂ©l 04 71 59 38 14 Mail Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 43200 ARAULES TĂ©l 0471596839 Mail Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole du SacrĂ© Coeur - Jeann d'Arc 48 route Nationale 43200 SAINT MAURICE de LIGNON TĂ©l 04 71 65 34 34 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Pierre - Sainte Anne 11 place Charles de Gaulle BP 58 43200 YSSINGEAUX Cedex TĂ©l 04 71 65 75 10 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Place de l'Eglise 43210 BEAUZAC TĂ©l 0471614757 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Maison Saint Joseph Rue des Soeurs 43210 BAS en BASSET TĂ©l 04 71 66 52 13 Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 1 rue Saint RĂ©gis 43220 DUNIERES TĂ©l 0471664799 Mail ecole-st-joseph-dunieres Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole du SacrĂ© Coeur 1 rue du Pont 43220 RIOTORD TĂ©l 04 71 75 38 25 Mail Auvergne / 43 Haute-Loire Ensemble scolaire Saint Joseph Ecole / CollĂšge Rue Chaussade 43260 SAINT JUKIEN de CHAPTEUIL TĂ©l 04 71 08 40 90 Mail ecoleprivee-stjulien Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Le Bourg 43290 RAUCOULES TĂ©l 0471656217 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Sainte ThĂ©rĂšse 1 Place GrĂ©goire de Tours BP 27 43301 BRIOUDE Cedex TĂ©l 0471501040 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Le Bourg 43320 VERGEZAC TĂ©l 04 71 08 60 79 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph rue de l'Ouest 43330 SAINT FERREOL d'AUROURE TĂ©l 04 71 35 51 84 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Le Bourg 43350 SAINT FRONT TĂ©l 04 71 56 32 02 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 63 Avenue de Ruessium 43350 SAINT PAULIEN TĂ©l 04 71 00 48 67 Mail ecolestjosephstpaulien Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Avenue de la Gare 43470 MONTFAUCON en VELAY TĂ©l 04 71 59 93 84 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 43600 SAINT ROMAIN LACHALM TĂ©l 04 71 61 03 52 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph 1 rue de la Rivoire 43620 SAINT PAL de MONS TĂ©l 04 71 66 47 99 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 43 Haute-Loire Ecole Saint Joseph Rue Villa San Constantzo 43800 ROSIERES Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ensemble scolaire FĂ©nelon 1 cours Raymond PoincarĂ© 63037 CJERMONT FERRAND TĂ©l 04 73 93 10 14 Mail directionfenelon63 Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Institution Sainte ThĂ©rĂšse des Cordeliers Ecole/CollĂšge/LycĂ©e professionnel Place des Cordeliers 63050 CLERMONT FERRAND Cedex 2 TĂ©l 04 73 23 25 25 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Saint Joseph Ecole/CollĂšge 17 Avenue du Mont Mouchet 63172 AUBIERE TĂ©l 04 73 26 03 33 Mail direction Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole du SacrĂ© Coeur 24 rue de la RĂ©publique 63190 LEZOUX TĂ©l 04 73 68 22 70 Mail ecolesacrecoeur63 Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole Notre Dame des Arts - SacrĂ© Coeur 21 rue Victor Bach 63202 RIOM TĂ©l 04 73 38 06 39 Mail sacre-coeur4 Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole Saint Joseph 19 Avenue des Belges 63240 Le MONT DORE TĂ©l 04 73 65 26 22 Mail groupescolairestjoseph Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole Notre Dame 4 Grand'Rue 63320 ARLANC TĂ©l 04 73 95 02 10 Mail Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Groupe scolaire Saint Joseph Ecole/CollĂšge 7 rue de Baraban 63350 MARINGUES TĂ©l 04 73 68 71 28 Mail 0631097a Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ensemble scolaire Sainte AgnĂšs Ecole/CollĂšge 4 rue du Pont Chaput 63360 VOLVIC TĂ©l 04 73 33 51 68 Mail Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole Saint Joseph 13 rue du Couvent 63360 SAINT BEAUZIRE Mail ecolesaintbeauzire Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ensemble scolaire Sainte ThĂšcle Ecole/college/LycĂ©e professionnel/LycĂ©e Technologique/Enseignement supĂ©rieur 7 rue AmĂ©lie Murat 63402 CHAMALIERES TĂ©l 04 73 37 32 09 Mail Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme EHPAD St Joseph 20 Avenue de Villars 63407 CHAMALIERES TĂ©l 04 73 31 94 10 Mail direction Contact Mme HĂ©lĂšne DARGNAT Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme CollĂšge Saint Joseph 47 rue du Dr Chambige 63430 PONT DU CHATEAU TĂ©l 04 78 83 21 09 Mail saintjopdc Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole sainte HĂ©lĂšne Grand Rue 63460 ARTONNE TĂ©l 064 73 33 30 82 Mail 0631295r Site internet Cliquez ici Auvergne / 63 Puy-de-dĂŽme Ecole Saint Joseph 63840 SAUVESSANGES TĂ©l 04 73 95 94 44 Mail ecolesauvessanges Site internet Cliquez ici Auvergne-RhĂŽne-Alpes Auvergne-RhĂŽne-Alpes / 69 RhĂŽne Conseil de tutelle 69000 LYON TĂ©l 0677996419 Mail Belgique Belgique Ecole Fondamentale saint Joseph 17 rue de la Salme 4980 TROIS PONTS TĂ©l 00 32 80 68 91 20 Mail isjos Site internet Cliquez ici Belgique Institut Saint Joseph 17 rue de la Salme 4980 TROIS PONTS TĂ©l 00 32 80 68 40 69 Mail mtdetoffol3pts Site internet Cliquez ici Belgique Zusters von St Jozef Appelboomgaardstraat B 3740 MUNSTERBILZEN Hauts-de-France Hauts-de-France / 62 Pas-de-Calais CollĂšge PrivĂ© Saint Joseph de Navarin 30 rue Belterre 62200 BOULOGNE sur MER TĂ©l 03 21 30 05 93 Mail Site internet Cliquez ici Contact Ile-de-France Ile-de-France / 92 Hauts-de-Seine Saint Joseph du Parchamp Ecole / CollĂšge 6 rue du Parchamp 92100 BOULOGNE BILLANCOURT TĂ©l 01 46 05 42 10 Mail college Site internet Cliquez ici Ile-de-France / 92 Hauts-de-Seine Institution Sainte GeneviĂšve ecole / CollĂšge / LycĂ©e 19 rue de la Station 92600 ASNIERES sur SEINE TĂ©l 01 47 93 05 28 Mail institution Site internet Cliquez ici Lorraine Lorraine / 55 Meuse Maison Saint Joseph 1 AllĂ©e Saint Amand Glorieux 55100 VERDUN TĂ©l 03 29 84 61 39 Mail Contact Madame Sylvie CARRE Lorraine / 55 Meuse Ecole Ste Anne 24 rue des prĂȘtres 55100 VERDUN TĂ©l 0329833669 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron RĂ©sidence JeanXXIII 9 B rue Jean XXIII 12000 RODEZ TĂ©l 05 65 77 59 00 Mail ehpadjean23 Contact Mr Antoine de la Rosa Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole sainte ThĂ©rĂšse 18 Avenue de Paris 12000 RODEZ TĂ©l 05 65 67 18 56 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Jeanne d'Arc - SacrĂ© Coeur 7 rue Jean Moulin 12100 MILLAU TĂ©l 05 65 60 00 84 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ensemble scolaire Jeanne d'Arc CollĂšge/ LycĂ©e GĂ©nĂ©ral/professionnel/Technologique 3 Place du Mandarous 12100 MILLAU TĂ©l 05 65 60 64 00 Mail 0121259d Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Jeanne d'Arc - SacrĂ© Coeur 7 rue Jean Moulin 12100 MILLAU TĂ©l 05 65 60 00 84 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Marguerite Marie 19 rue de la FraternitĂ© 12100 MILLAU TĂ©l 05 65 60 04 39 Mail 0121153N Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole saint Martin - Les Lauriers Roses 26 route des AumiĂšres 12100 MILLAU TĂ©l 05 65 60 30 99 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole saint Georges le ChĂąteau 15 Quai du Lot 12140 ENTRAYGUES TĂ©l 05 65 44 53 49 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph 12170 LA SELVE TĂ©l 05 65 46 73 16 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph 12240 COLOMBIES TĂ©l 05 65 69 99 12 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph Avenue de Rodez 12290 LE VIBAL TĂ©l 05 65 46 80 93 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Sainte Marie 12290 PONT DE SALARS TĂ©l 05 65 46 88 91 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron EHPAD 12330 CLAIRVAUX TĂ©l 05 65 71 32 00 Mail Contact Mr Denis HUEBER Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron EHPAD St Joseph Rue Fontcourieu 12330 MARCILLAC TĂ©l 05 65 71 70 88 Mail maison-retraite-st-joseph Contact Mme Marie ThĂ©rĂšse BORDES Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron CollĂšge Saint Joseph 3 rue Foncourieu 12330 MARCILLAC TĂ©l 05 65 71 76 24 Mail info Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole des Prades 25 Avenue des Prades 12330 MARCILLAC TĂ©l 05 65 71 86 02 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole sainte Marie des PrĂšs 12330 SAINT CHRISTOPHE TĂ©l 05 65 72 62 88 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph 12330 SALLES LA SOURCE TĂ©l 05 65 67 28 56 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron EHPAD Route de Rodez 12390 RIGNAC TĂ©l 05 65 64 50 52 Mail Contact Mr Claude CORSERO Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph 22 Place de l'Eglise 12450 LUC TĂ©l 05 65 71 46 74 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph Les Escalanx 12580 VILLECOMTAL TĂ©l 05 65 44 63 54 Mail Midi-PyrĂ©nĂ©es / 12 Aveyron Ecole Saint Joseph 12830 AGEN d'AVEYRON TĂ©l 05 65 42 87 97 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 48 LozĂšre Ecole Sainte Famille 1 Avenue thĂ©ophile Roussel 48100 MARVEJOLS TĂ©l 04 66 32 36 27 Mail ecolestefamille Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 48 LozĂšre LycĂ©e gĂ©nĂ©ral et technologique Saint Joseph 2 rue des PĂ©nitents 48100 MARVEJOLS TĂ©l 04 66 32 28 20 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 48 LozĂšre Ecole et CollĂšge Saint RĂ©gis sur Limagnole Place du Breuil 48120 SAINT ALBAN TĂ©l 04 66 31 50 33 Mail Site internet Cliquez ici Midi-PyrĂ©nĂ©es / 82 Tarn-et-Garonne Ecole Saint Joseph 1 Grande Rue 82330 VAREN TĂ©l 05 63 65 41 60 Nouvelle-Aquitaine Nouvelle-Aquitaine / 33 Gironde Ecole Sainte Marie 29 rue Ch. Dopter 33670 CREON TĂ©l 05 56 23 00 61 Mail ste-marie-ecole Site internet Cliquez ici Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 05 Hautes-Alpes College et LycĂ©e saint Joseph 2 rue des Pins 05000 GAP TĂ©l 0631874096 Mail Contact mICHAÊL lEBORRE Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 05 Hautes-Alpes Ecole Sainte Jeanne d'arc rue David Martin 05000 GAP TĂ©l 0612645159 Mail directionecole-jeannedarc Contact Anne-Lise NOWODWORSKY Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 06 Alpes-Maritimes Institut Saint Joseph Ecole/collĂšge/LycĂ©e/LycĂ©e professionnel 191 Avenue aristide Briand 06190 ROQUEBRUNE CAP MARTIN TĂ©l 04 93 35 85 68 Mail Site internet Cliquez ici Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 06 Alpes-Maritimes Ecole/CollĂšge /LycĂ©e Saint Joseph 14 rue Baria 06300 NICE TĂ©l 04 92 00 47 47 Mail jp-velasco Site internet Cliquez ici Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 06 Alpes-Maritimes Ecole Marie Joseph 36 rue Monseigneur Daumas 06300 NICE TĂ©l 04 93 89 08 29 Mail ecole-marie-joseph Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 13 Bouches-du-RhĂŽne Ecole/CollĂšge/LycĂ©e/BTS Saint Joseph de la Madeleine 172 bis Bd de la LibĂ©ration 13004 MARSEILLE TĂ©l 04 96 12 13 60 Mail contact Site internet Cliquez ici Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 13 Bouches-du-RhĂŽne Maison de santĂ© Saint Paul Chemin Saint Paul 13210 SAINT REMY de PROVENCE TĂ©l 04 90 92 77 00 Mail Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 30 Gard Ecole Notre Dame Impasse du Caporal Alliot 30000 NÎMES Mail Site internet Cliquez ici Provence-Alpes-CĂŽte-d'Azur / 83 Var Ecole/CollĂšge/LycĂ©e Notre Dame 29 Boulevard AbbĂ© DuployĂ© 83100 TOULON TĂ©l 04 94 27 31 28 Mail notre-dame83 Site internet Cliquez ici Contact RhĂŽne-Alpes RhĂŽne-Alpes / 01 Ain Institut des jeunes sourds 5 rue du LycĂ©e 01001 BOURG en BRESSE TĂ©l 04 74 22 12 23 Mail ijs Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 01 Ain LycĂ©e Professionnel Saint Joseph 3 rue du LycĂ©e 01001 BOURG en BRESSE TĂ©l 04 74 45 88 81 Mail lyc-saint-joseph-bourg Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 01 Ain CollĂšge Saint Joseph 3 rue du LycĂ©e 01001 BOURG en BRESSE TĂ©l 04 74 45 88 73 Mail accueil Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 01 Ain Ecole Saint Joseph 81 rue des grands cours 01570 MANZIAT TĂ©l 03 85 30 03 56 Mail esjm Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 01 Ain Ecole/CollĂšge/LycĂ©e/LEP Saint Joseph 101 rue H Grobon BP 519 01705 MIRIBEL TĂ©l 33478552673 Mail Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche CollĂšge Notre Dame 10 rue SauzĂ©at 07100 ANNONAY TĂ©l 04 75 32 42 60 Mail gncpnd Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph Rousselet 07140 LES VANS TĂ©l 04 75 94 91 68 Mail RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Villa Sainte Marthe 18 Bd Saint Didier 07200 AUBENAS TĂ©l 04 75 35 28 20 Mail Contact Mr Marc BLANCO RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph 07200 St ETIENNE de FONTBELLON TĂ©l 04 75 35 03 90 Mail ecolesef Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph Le Fort 07200 VESSEAUX TĂ©l 04 75 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QUINTENAS TĂ©l 04 75 34 40 51 Mail Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph Cime du Lieu 07310 St MARTIN DE VALAMAS TĂ©l 04 75 30 40 97 Mail Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph 07310 SAINT ROMAIN DE LERPS TĂ©l 04 75 58 51 12 Mail Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph Le Village 07340 TALENCIEUX TĂ©l 04 75 34 21 10 Mail RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph 07360 SAINT FORTUNAT TĂ©l 04 75 65 20 51 Mail ecole-st-joseph-st-fortunat RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Le Vieux ChĂąteau 5 Place du Preycher 07370 SARRAS TĂ©l 04 75 23 15 87 Mail Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint RĂ©gis Le Village 07400 ALBA la ROMAINE TĂ©l 04 77 52 43 20 Mail ecolesaintregis RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph 203 rue d'Abraham 07430 VERNOSC les ANNONAY TĂ©l 04 75 33 17 65 Mail ecolesjvernosc RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole saint Joseph Le Village 07520 LA LOUVESC TĂ©l 04 75 67 82 51 Mail ec-ivepr RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Martin 10 Boulevard de Vernon 07600 VALS les BAINS TĂ©l 04 75 37 43 28 Mail ecolestmartinvalslesbains RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph Rue des Marronniers 07690 VANOSC TĂ©l 04 75 31 71 33 Mail ec-vanpr RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole Saint Joseph rue des Contes 07690 VILLEVOCANCE TĂ©l 04 75 52 64 34 Mail ec-vilpr RhĂŽne-Alpes / 07 ArdĂšche Ecole saint RĂ©gis 07700 SAINT MARCEL d'ARDECHE TĂ©l 04 75 04 68 42 Mail stregissmarcel Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 42 Loire CollĂšge et Lycee professionnel Sainte Marie 39, rue des FrĂšres Chappe BP 40513 42007 SAINT ETIENNE Cedex 1 TĂ©l 04 77 43 30 50 Mail lycee Site internet Cliquez ici Contact ghyslainebrunstemarie RhĂŽne-Alpes / 69 RhĂŽne Groupe scolaire Saint Louis Saint Bruno Ecole / LycĂ©e / LycĂ©e professionnel 16 rue des Chartreux 69001 LYON TĂ©l 04 75 28 08 24 Mail lycee Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 69 RhĂŽne Ecole Saint Joseph 7 rue lieutenant Audras 69160 TASSIN TĂ©l 04 78 34 07 51 Mail direction-ecole Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 69 RhĂŽne CollĂšge et LycĂ©e saint Joseph 7 rue lieutenant Audras 69160 TASSIN TĂ©l 0478340751 Mail direction-college Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 69 RhĂŽne Maison Saint Joseph 26 Place du Bourg 69390 VERNAISON TĂ©l 04 72 30 50 10 Mail Contact Mme Colette GELAS RhĂŽne-Alpes / 74 Haute-Savoie Institution Pierre Favre - LycĂ©e des Bressis LycĂ©e Professionnel et technologique 85 Route des Creuses 74600 SEYNOD TĂ©l 04 50 52 01 22 Mail secretariat Site internet Cliquez ici RhĂŽne-Alpes / 74 Haute-Savoie EPHAD Soeurs de Saint Joseph Route de Vieugy 74600 SEYNOD TĂ©l 04 50 46 67 60 Mail jackmoud Contact Madame Catherine Jackmoud Suisse Suisse Institut International de Lancy 24 Avenue eugĂšne Lance CH 1212 GRAND LANCY TĂ©l 0042 0 227 7945 113 Mail info Site internet Cliquez ici Une quarantaine d’élĂšves de l’école mixte de jeunes sapeurs-pompiers du collĂšge Saint-RĂ©gis - Saint-Michel a pris, fin juin, la direction de Paris. Les jeunes sapeurs-pompiers Ă  Paris L'ambiance est excellente parmi ces jeunes qui attendent depuis de longs mois ce voyage Ă©ducatif dans la capitale. Il s'agit en effet d'illustrer les programmes de la FĂ©dĂ©ration nationale des sapeurs-pompiers de France qui comprennent une part importante d'Ă©ducation civique relative aux institutions françaises et Ă  leur fonctionnement. TrĂšs investis dans le devoir de mĂ©moire, les JSP participeront durant leur sĂ©jour dans la capitale Ă  la cĂ©rĂ©monie du ravivage de la flamme du Soldat inconnu sous l'Arc de Triomphe, qui constituera l'Ă©vĂ©nement marquant de ce sĂ©jour. Le drapeau du Souvenir français de la section de la Haute-Loire est confiĂ© aux JSP du collĂšge Saint-RĂ©gis-Saint-Michel. La cĂ©rĂ©monie dĂ©bute au Musoir Friedland ; la circulation est interrompue autour de la place de l'Étoile pour le dĂ©filĂ© des JSP qui se mettent en place sous l'Arc de Triomphe. Dans un protocole rĂ©pĂ©tĂ© chaque soir, les JSP participent avec Emmanuel Belledent, le directeur du collĂšge Saint-RĂ©gis - Saint-Michel, au dĂ©pĂŽt de gerbe puis au ravivage de la flamme du soldat inconnu. L'hymne national est interprĂ©tĂ© par la section de JSP qui mesure l'importance de ce qu'ils sont en train de vivre un moment inoubliable qui restera gravĂ© dans la mĂ©moire de chacun. Bien sĂ»r, ils visiteront aussi les principaux sites touristiques comme l'Île de la CitĂ©, Notre-Dame de Paris, le mĂ©morial des Martyrs de la DĂ©portation, la SacrĂ©-CƓur, le PanthĂ©on, le musĂ©e de la Police, la place Beauveau, l'ÉlysĂ©e oĂč ils assistent au dĂ©part du PrĂ©sident de la RĂ©publique escortĂ© par la Garde rĂ©publicaine pour l'entrĂ©e de Simone Veil au PanthĂ©on
 Leur sĂ©jour dans la capitale les conduits aussi au Palais Bourbon pour une visite exceptionnelle de l'AssemblĂ©e nationale aux cĂŽtĂ©s de Peter Vigier. Durant prĂšs de trois heures, le dĂ©putĂ© de la deuxiĂšme circonscription de Haute-Loire les accompagne dans ce haut lieu de la dĂ©mocratie française pour un cours d'Ă©ducation civique pas comme les autres qui restera. Ils se rendent aussi au SĂ©nat oĂč ils sont accueillis par les sĂ©nateurs Olivier Cigolotti et Laurent Duplomb. Visite de la caserne de ChamperretPassage obligĂ©, les jeunes de Haute-Loire vont Ă  la rencontre des Pompiers de Paris au centre de secours de Champerret. Une visite de la caserne et des explications dĂ©taillĂ©es tant sur les procĂ©dures opĂ©rationnelles que sur les matĂ©riels font comprendre aux jeunes sapeurs-pompiers que ces militaires mĂ©ritent bien tout le respect que chacun leur accorde. Avant la photo souvenir, c'est avec une grande disponibilitĂ© qu'ils se voient offrir la possibilitĂ© d'effectuer l'exercice de la planche que rĂ©alisent les pompiers de Paris deux fois par jour afin de vĂ©rifier leur aptitude physique. Ce sĂ©jour restera longtemps gravĂ© dans leur mĂ©moire. Il est plus facile d’élever un temple que d’y faire descendre l’objet du Beckett, L’Innommable. 1Dans son discours prononcĂ© au Puy-en-Velay le 3 mars 2011, le PrĂ©sident de la RĂ©publique française dĂ©clare La RĂ©publique, mes chers compatriotes, est laĂŻque. Elle appartient donc Ă  tous les citoyens sans distinction aucune [
] ».Ce propos paraĂźt s’inscrire dans une continuitĂ© 1 de l’actuelle Constitution de la Ve RĂ©publique indique que la France est une RĂ©publique indivisible, laĂŻque, dĂ©mocratique et sociale. Elle assure l’égalitĂ© devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances ».Le prĂ©ambule de la Constitution de 1946 rappelle que la Nation garantit l’égal accĂšs de l’enfant et de l’adulte Ă  l’instruction, Ă  la formation professionnelle et Ă  la culture. L’organisation de l’enseignement public gratuit et laĂŻque Ă  tous les degrĂ©s est un devoir de l’État ». 2Condorcet, dans son Rapport et projet de dĂ©cret sur l’organisation gĂ©nĂ©rale de l’instruction publique, Ă©crit en 1792 La Constitution, en reconnaissant le droit qu’a chaque individu de choisir son culte, en Ă©tablissant une entiĂšre Ă©galitĂ© entre tous les habitants de la France, ne permet point d’admettre, dans l’instruction publique, un enseignement, qui, en repoussant les enfants d’une partie des citoyens, dĂ©truirait l’égalitĂ© des avantages sociaux et donnerait Ă  des dogmes particuliers un avantage contraire Ă  la libertĂ© des opinions Condorcet, 1792. 3Cette continuitĂ© apparente ne fait illusion pour personne. La laĂŻcitĂ© est en effet devenue un enjeu, voire un otage du dĂ©bat politique, et la diversitĂ© de ses acceptions chez les responsables politiques comme parmi les penseurs mĂ©diatiques qui animent le dĂ©bat public brouille singuliĂšrement la tĂąche du personnel de l’éducation nationale. L’article L du code de l’éducation indique en effet qu’» outre la transmission des connaissances, la Nation fixe comme mission premiĂšre Ă  l’école de faire partager aux Ă©lĂšves les valeurs de la RĂ©publique ». Et il prĂ©cise Dans l’exercice de leurs fonctions, les personnels mettent en Ɠuvre ces valeurs ». 4Comment mettre en Ɠuvre aujourd’hui dans l’exercice quotidien de son mĂ©tier d’enseignant, de conseiller principal d’éducation, de personnel de direction, la laĂŻcitĂ© quand elle prend, dans le dĂ©bat public comme dans les propos du prĂ©sident de la RĂ©publique, des acceptions paradoxales ? Nous aborderons d’abord quelques questions que peuvent se poser les professionnels de l’Éducation nationale dans ce contexte avant de tenter de poser un diagnostic sur cet Ă©trange moment politique. I. Sacralisation de l’École et religion de la laĂŻcitĂ© ? 5L’auteur de l’Éloge des frontiĂšres, pour qui lĂ  oĂč il y du sacrĂ© il y a une enceinte » Debray, 2010, p. 36 s’est fait, dans Le Moment fraternitĂ© notamment, l’éloquent avocat de la sacralisation des savoirs et de l’École Remise Ă  niveau, l’école a perdu son statut de “lieu Ă  part”, oĂč s’apprend, Ă  l’écart des familles, la citoyennetĂ© rĂ©publicaine » Debray, 2009, p. 52. 6Il n’est pas vain de constater que des philosophes, comme Henri Pena-Ruiz, estiment, dans cet esprit, qu’on ne peut qualifier la laĂŻcitĂ©, parler de laĂŻcitĂ© ouverte ou plurielle revenant Ă  nier la laĂŻcitĂ© Une telle laĂŻcitĂ© n’est ni dure ni molle elle correspond Ă  l’affranchissement de la sphĂšre publique par rapport Ă  toute tutelle religieuse ; entre un tel affranchissement et une rĂ©attribution d’emprises publiques Ă  la religion, il n’y a pas de troisiĂšme voie. L’alternative est donc bien affirmation ou nĂ©gation de la laĂŻcitĂ© Pena-Ruiz, 2001, p. 79. 7Cette volontĂ© de sacralisation est sans doute une clef de lecture utile de la loi nÂș 2004-228 du 15 mars 2004 encadrant, en application du principe de laĂŻcitĂ©, le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les Ă©coles, collĂšges et lycĂ©es publics. 8L’article 1 de cette loi stipule Il est insĂ©rĂ©, dans le code de l’éducation, aprĂšs l’article L. 141-5, un article L. 141-5-1 ainsi rĂ©digĂ© Art. L. 141-5-1. - Dans les Ă©coles, les collĂšges et les lycĂ©es publics, le port de signes ou tenues par lesquels les Ă©lĂšves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit. Le rĂšglement intĂ©rieur rappelle que la mise en Ɠuvre d’une procĂ©dure disciplinaire est prĂ©cĂ©dĂ©e d’un dialogue avec l’élĂšve ». 9Alors que le principe de stricte neutralitĂ© religieuse, politique, commerciale s’applique aux agents du service public, afin de respecter une entiĂšre Ă©galitĂ© entre tous les habitants de la France », cette loi applique cette neutralitĂ© aux Ă©lĂšves Ă©galement. Une seule fois auparavant, sous le gouvernement de LĂ©on Blum formĂ© en 1936, une circulaire du ministre Jean Zay, dans le contexte d’affrontements violents entre lycĂ©ens appartenant aux ligues factieuses et aux partis du front populaire, avait recommandĂ© une stricte neutralitĂ© politique aux Ă©lĂšves. Il est frappant de constater, d’autre part, que la loi du 15 mars 2004 n’a retenu qu’une seule des propositions de la commission Stasi chargĂ©e par le prĂ©sident de la RĂ©publique de contribuer Ă  son Ă©laboration. On se souvient que le rapport remis au prĂ©sident de la RĂ©publique le 11 dĂ©cembre 2003 en comportait bien d’autres, comme, par exemple, faire des fĂȘtes religieuses de Kippour et de l’AĂŻd el Kebir des jours fĂ©riĂ©s dans toutes les Ă©coles de la RĂ©publique ». Ce choix exclusif d’interdire aux Ă©lĂšves la manifestation ostensible d’une appartenance religieuse, interdiction qui vise implicitement le port d’un voile par des Ă©lĂšves de confession musulmane, d’un turban par des Ă©lĂšves sikhs ou d’une kippa par des Ă©lĂšves de confession juive, ne renforce-t-il pas la lecture de cette loi comme procĂ©dant d’une interprĂ©tation religieuse de la laĂŻcitĂ© ? 10En mars 2011, le ministre de l’Éducation nationale a formulĂ© le souhait de voir ce principe appliquĂ© Ă©galement aux parents encadrant des sorties scolaires Il me semble nĂ©cessaire de rappeler que les parents qui accompagnent des Ă©lĂšves, inscrits dans une Ă©cole ou un Ă©tablissement scolaire publics, au cours d’activitĂ©s ou de sorties scolaires, participent ce faisant Ă  l’action Ă©ducative et plus gĂ©nĂ©ralement au service public de l’éducation. En faisant acte de candidature, ils sont amenĂ©s Ă  participer directement au service public de l’éducation en se plaçant dans une situation comparable Ă  celle des agents publics vis-Ă -vis des enfants qu’ils encadrent et acceptent donc de se soumettre aux principes fondamentaux de ce service public. 11On peut lĂ©gitimement s’interroger, en tant qu’enseignant, personnel d’éducation ou de direction, sur le sens d’une telle mise en Ɠuvre du principe de laĂŻcitĂ©. À Ă©couter certains raisonner par analogie – quand on rentre dans une mosquĂ©e, on doit enlever ses chaussures. De mĂȘme, quand une Ă©lĂšve rentre dans une classe, elle doit enlever son foulard » –, il semble bien que l’on assiste Ă  une paradoxale sacralisation de la laĂŻcitĂ©. Cette sacralisation est-elle compatible avec l’ambition du service public d’éducation d’ĂȘtre hospitalier Ă  tous les enfants et ne risque-t-elle pas, comme le redoutait Condorcet, de repousser les enfants d’une partie des citoyens » Condorcet, 1792 ? Ne pourrait-on pas s’interroger sur la nĂ©cessitĂ© de laĂŻciser la laĂŻcitĂ© ? II. IdentitĂ© nationale et christianisation de la laĂŻcitĂ© ? 12Le thĂšme de l’identitĂ© nationale a traversĂ© l’actuel quinquennat du prĂ©sident de la RĂ©publique. Le discours que ce dernier a prononcĂ© au Puy-en-Velay en mars 2011 Ă©claire nettement son point de vue. Saluant un formidable viaduc spirituel lancĂ© vers le Ciel », il affirme Chartres, Amiens, Reims, Strasbourg, Paris, aucune de ces villes ne serait aujourd’hui ce qu’elle est aux yeux des Français et aux yeux du reste du monde sans ces cathĂ©drales vers lesquelles convergent toujours fidĂšles et touristes [
]. En disant cela, je ne fais que rappeler une Ă©vidence l’apport de la chrĂ©tientĂ© Ă  notre civilisation [
]. La chrĂ©tientĂ© nous a laissĂ© un magnifique hĂ©ritage de civilisation et de culture [
]. Je ne fais pas de prosĂ©lytisme, je regarde simplement l’Histoire de notre pays [
]. Ce baptistĂšre serait donc l’exact contemporain du sacre de Clovis et donc de la naissance de la France. Ce n’est pas rien ! [
] Construire l’Europe de demain, c’est au fond continuer Ă  suivre le chemin tracĂ© il y a plus de mille ans par les premiers pĂšlerins de Saint-Jacques de Compostelle. N’étaient-ils pas les premiers europĂ©ens, ces pĂšlerins-lĂ  ? [
] Ils ne parlaient pas la mĂȘme langue mais il partageaient la mĂȘme foi ou en tout cas la mĂȘme espĂ©rance [
]. 13Et il conclut J’étais venu vous dire que la France a une identitĂ© dont elle peut ĂȘtre fiĂšre, mais ici, au Puy-en-Velay, peut ĂȘtre plus qu’ailleurs, il est Ă©vident que la France a aussi une Ăąme. 1 Et non la Haute AutoritĂ© de lutte contre les discriminations et pour l’égalitĂ© HALDE – note du rĂ© ... 14Ces propos trouvent leur prĂ©figuration dans le rapport remis par le vice-prĂ©sident de l’AssemblĂ©e nationale, François Baroin, en mai 2003, au Premier ministre Pour une nouvelle laĂŻcitĂ©. L’auteur y promeut une laĂŻcitĂ© culturelle et identitaire », en observant que la laĂŻcitĂ© est questionnĂ©e et contestĂ©e », Ă©crit-il, en particulier dans le monde musulman » et par certaines populations immigrĂ©es, qui, issues d’une culture non laĂŻque et non dĂ©mocratique, ne perçoivent pas le sens de ce principe ».Comme le remarque Jean BaubĂ©rot dans une tribune parue dans LibĂ©ration le 29 mars 2011, depuis 2007, c’est le haut Conseil Ă  l’intĂ©gration HCI1 qui fait des propositions sur la laĂŻcitĂ©. Cette derniĂšre se rĂ©duit Ă  ĂȘtre un passeport que de “nouveaux Français” devraient acquĂ©rir pour revĂȘtir l’identitĂ© française. Les questions qui concernent l’ensemble des Français sont exfiltrĂ©es de la laĂŻcitĂ© » BaubĂ©rot, 2011. Il note Ă©galement que, dans le discours du Puy-en-Velay, le PrĂ©sident affirme qu’ il est dangereux d’amputer sa mĂ©moire », alors que le passĂ© national qu’il invoque fait silence sur les croisades, les guerres de religions, la rĂ©vocation de l’Édit de Nantes, l’esclavage, la sujĂ©tion des musulmans dans l’empire colonial. L’identitĂ© nationale promue dans le discours du Puy serait donc pour Jean BaubĂ©rot une identitĂ© patrimoniale non conflictuelle imaginaire » BaubĂ©rot, 2011. 15Le lien Ă©tabli entre laĂŻcitĂ© et identitĂ© nationale fortement marquĂ©e par l’apport de la chrĂ©tientĂ© l’ñme de la France » se traduit par la persĂ©vĂ©rance Ă  lĂ©gifĂ©rer ou rĂ©glementer au nom de la laĂŻcitĂ© en visant l’éradication de l’école, des services publics, voire de l’espace public de signes d’appartenance religieuse – et en se prĂ©occupant principalement d’une religion. Cela ne constitue-t-il pas une sorte de renversement du principe de laĂŻcitĂ©, principe politique Ă©tabli pour bannir toute discrimination pour raison religieuse notamment ?Cette laĂŻcitĂ© de contrainte exercĂ©e Ă  l’égard d’une partie de la population n’aboutirait-elle pas Ă  renforcer des rĂ©actions que nous observons chez certains de nos Ă©lĂšves français par leur Ă©tat civil graffiti cĂ©lĂ©brant un autre pays, port de t-shirts affirmant une appartenance nationale autre, opposition dans le discours destinĂ© aux adultes du vous » les Français, Ă  l’identitĂ© nationale bien marquĂ©e par un refus d’hospitalitĂ© Ă  certains Ă  un nous » identitaire de relĂ©gation et de protestation ? 2 Ou encore du programme de terminale L qui inscrit, Ă  partir de la rentrĂ©e 2012, l’étude des famille ... 3 Monsieur le ministre, nous ne pouvons accepter que l’école devienne un lieu de propagande, oĂč l’a ... 16Ces questions se posent d’autant plus que la vigilance d’associations familiales chrĂ©tiennes Ă  l’égard des programmes d’enseignement ne semble pas susciter la mĂȘme rĂ©action de sourcilleuse laĂŻcitĂ©, comme on vient de le voir Ă  l’occasion de la parution du nouveau programme de SVT qui aborde en classe de premiĂšre la thĂ©orie des genres2. Elles dĂ©noncent l’idĂ©ologie du genre au lycĂ©e » comme une attaque en rĂšgle contre la loi morale naturelle, rejetant toute signification anthropologique et Ă©thique Ă  la diffĂ©rence naturelle des sexes3 ». 4 PremiĂšre des dix compĂ©tences Ă  acquĂ©rir par les professeurs, documentalistes, conseillers principau ... 17Dans ces conditions, le moins que l’on puisse dire c’est que chaque enseignant, conseiller principal d’éducation, personnel de direction a lĂ©gitimement de quoi s’interroger sur la maniĂšre d’agir conformĂ©ment au principe de laĂŻcitĂ© dans l’exercice quotidien de ses missions, pendant lequel il est censĂ© mettre en Ɠuvre les valeurs de la RĂ©publique » – en ayant, bien entendu, Ă  cƓur d’ agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable4 ». Cette question est d’autant plus Ă©pineuse qu’elle est pour ainsi dire Ă  double fond, comme si les confusions entourant aujourd’hui le principe de laĂŻcitĂ© confusions dont tout porte Ă  croire qu’elles sont, ici ou lĂ , trĂšs sciemment entretenues, et forment ainsi en elles-mĂȘmes un sujet d’inquiĂ©tude politique mettaient, du mĂȘme coup, violemment Ă  nu l’indigence du cadre » institutionnel censĂ© en guider l’inscription concrĂšte dans les mĂ©tiers de l’éducation et de la formation. C’est cette circularitĂ© dĂ©lĂ©tĂšre qu’on voudrait analyser maintenant. III. Tartuffe technocrate 18 Confusion », disions-nous si le mot nous semble appropriĂ©, c’est dans la mesure oĂč il touche autant Ă  la maniĂšre qu’à la matiĂšre. Les exemples sur lesquels les pages prĂ©cĂ©dentes attirent l’attention ne laissent aucun doute lĂ -dessus c’est au mĂ©pris de la laĂŻcitĂ© qu’on prĂ©tend en cĂ©lĂ©brer les principes – tel celui de la neutralitĂ© de l’État vis-Ă -vis des cultes de tous les cultes. 19Qu’on en juge l’ affaire » des manuels de SVT de la classe de premiĂšre poussant leur conformitĂ© avec les programmes officiels jusqu’à l’audace de mentionner la dimension culturellement construite de l’identitĂ© sexuelle ne s’est pas arrĂȘtĂ©e Ă  la lettre ouverte de Mme Boutin, sommant le ministre de l’Éducation nationale de sauver les adolescents du pays d’une prise d’otages » selon la rhĂ©torique dont raffolent ceux qui n’ont vraisemblablement jamais Ă©tĂ© l’otage de qui que ce soit par des groupes minoritaires » que, pour le coup, on se garde de nommer. De fait, si, selon des dĂ©clarations rapportĂ©es par l’AFP le 31 aoĂ»t 2011, Luc Chatel s’est refusĂ© Ă  demander le retrait des manuels incriminĂ©s par quelque quatre-vingt dĂ©putĂ©s UMP, ceux-ci auront eu au moins la satisfaction de voir Jean-François CopĂ© soutenir publiquement leur cause. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UMP croit en effet savoir que la thĂ©orie du genre, qui selon lui est discutĂ©e par des personnes mais combattue par d’autres », n’est pas une vĂ©ritĂ© scientifique » et qu’à ce titre elle ne devrait pas ĂȘtre enseignĂ©e ». Disons-le on ne gaspillera pas du temps Ă  demander quelle idĂ©e de la science on se fait ici pour que l’interlocution entre sciences humaines, sciences sociales et sciences de la vie soit inconcevable, et pour que dĂ©bats et controverses semblent, contre la tradition mĂȘme de la pensĂ©e scientifique, dĂ©finir le contraire de la science. De toute façon, l’enjeu est ailleurs le recours indigent Ă  un prĂ©tendu arbitrage scientifique masque mal le souci d’adresser, pour user d’un jargon aussi dominant que piteux, un signal fort » Ă  une frange de l’électorat », reprĂ©sentĂ©e par le courant dit de la Droite populaire ». La manƓuvre n’est guĂšre nouvelle mais, en l’occurrence, elle se paye, intellectuellement et moralement, au prix fort le chef de file du parti prĂ©sidentiel et, dans une moindre mesure, le ministre de l’Éducation nationale, qui, s’il a renoncĂ© Ă  interdire, a toutefois tenu Ă  dire sa rĂ©serve », en des termes proches de ceux de M. CopĂ© prend fait et cause, sous couvert de science, pour une dĂ©finition prĂ©tendument naturelle » de l’identitĂ© sexuelle et, par lĂ  mĂȘme, pour une soumission de l’information biologique Ă  une reprĂ©sentation de l’homme et de la sociĂ©tĂ© dont les coordonnĂ©es religieuses n’échappent Ă  personne. 20Bref, comme le rĂ©sume Éric Fassin, l’aile la plus rĂ©actionnaire se fait bien entendre – non seulement dans les dĂ©bats sur la nationalitĂ©, mais aussi en matiĂšre de sexe » Fassin, 2011. En sorte que l’ardeur avec laquelle ces voix se dĂ©fendent de cautionner quelque conviction homophobe est Ă  peu prĂšs aussi convaincante que le pathos avec lequel le prĂ©sident de la RĂ©publique se disait hier, Ă  Latran, le dĂ©fenseur de l’attachement des Français Ă  la laĂŻcitĂ© », et aujourd’hui, au Puy-en-Velay, le garant d’une RĂ©publique qui, mes chers compatriotes [
] appartient [
] Ă  tous les citoyens sans distinction aucune ». 21De l’un Ă  l’autre de ces discours, se confirme l’escroquerie intellectuelle baptisĂ©e laĂŻcitĂ© positive » – et l’on gagne Ă  se rappeler la rĂ©action de Jean-Claude Monod aux glissements opĂ©rĂ©s par le discours prĂ©sidentiel, publiĂ©e dans Le Monde en janvier 2008. Il y rappelait les traits fondamentaux de l’État laĂŻque, dĂ©fini par Ferdinand Buisson, dans l’article LaĂŻcitĂ© » du Dictionnaire de pĂ©dagogie et d’instruction primaire, comme neutre entre tous les cultes, indĂ©pendant de tous les clergĂ©s, dĂ©gagĂ© de toute conception thĂ©ologique » F. Buisson, citĂ© par Monod, 2008. À partir de cette rĂ©fĂ©rence, l’auteur soulignait la duplicitĂ© d’une prĂ©tendue dĂ©fense » de la laĂŻcitĂ© consistant essentiellement Ă  placer, dans le domaine de la transmission des valeurs morales, l’instituteur rĂ©publicain au-dessous du prĂȘtre et Ă  cĂ©lĂ©brer la vertu thĂ©ologale d’espĂ©rance en son acception religieuse, Ă  laquelle il [Nicolas Sarkozy] confĂšre une plus grande valeur qu’aux espĂ©rances sĂ©culiĂšres » Monod, 2008. Si cela caractĂ©rise une laĂŻcitĂ© dĂ©sormais affublĂ©e de l’épithĂšte positive », autant dire que la consistance de celle-ci est, pour emprunter une expression d’Adorno, celle d’un concept mollusque » – et sa fonction purement stratĂ©gique on laisse croire que la conception de la laĂŻcitĂ© historiquement repĂ©rĂ©e par la loi de 1905 serait, vis-Ă -vis des religions, nĂ©gative » entendons hostile, rĂ©pressive, alors que celle-ci, justement, est neutre et presque amicale » au sens oĂč l’entendait Buisson. Posant le principe de l’égale libertĂ© de conscience, elle garantit Ă  toutes les religions le libre exercice du culte en mĂȘme temps qu’elle dĂ©fend le droit de chacun athĂ©e, agnostique, croyant de ne subir nul prosĂ©lytisme, que celui-ci Ă©mane de l’État ou des Églises Monod, 2008. Une fois l’art de la distorsion rĂ©trospective poussĂ© jusqu’à la falsification historique, ne devrait-on pas au moins cesser d’ĂȘtre hypocrite ? Telle Ă©tait, en janvier 2008, la conclusion Ă  laquelle parvenait Jean-Claude Monod et qu’on ne peut relire aujourd’hui sans en saluer, hĂ©las, la dimension prophĂ©tique PlutĂŽt que de prĂ©tendre rĂ©aliser une lĂ©gĂšre inflexion par rapport Ă  la laĂŻcitĂ© rĂ©publicaine de 1905, Ă  laquelle, entre deux piques, on rend un hommage bien formel tout en l’amputant d’un principe fondamental, le prĂ©sident et ses conseillers en la matiĂšre devraient dire franchement qu’ils abandonnent le principe rĂ©publicain de la neutralitĂ© de l’État et de ses reprĂ©sentants, dans la sphĂšre publique, en matiĂšre confessionnelle Monod, 2008. 5 Ibid. 22À la lumiĂšre de ces lignes, la trajectoire qui mĂšne de Latran au Puy-en-Velay prendrait presque des allures de success story l’histoire d’un prĂ©sident qui s’est appliquĂ© Ă  maintenir, et Ă  renforcer, le cap d’une expression dĂ©complexĂ©e » de ses convictions lĂ -dessus, il est vrai, la couleur fut maintes fois annoncĂ©e – La Princesse de ClĂšves en fit mĂȘme deux fois les frais, avant et aprĂšs l’élection de son contempteur. LĂ  oĂč celles-ci touchent Ă  sa foi religieuse catholique, en l’occurrence, elles lui paraissaient dĂ©jĂ , en 2007, assez indiscutables pour mĂ©riter un rĂ©gime de faveur saluant alors la rĂ©cente loi de 2004 interdisant aux Ă©lĂšves le port de signes religieux ostensibles Ă  l’école publique dite, par un raccourci Ă©loquent, loi sur le voile », Nicolas Sarkozy ne ressentait, pour autant, nul embarras Ă  manifester ostensiblement sa foi catholique dans un discours public », et ainsi Ă  suggĂ©rer qu’une telle manifestation n’est pas incompatible avec la laĂŻcitĂ© lorsqu’il s’agit du catholicisme du prĂ©sident, du moins, tandis qu’elle est inacceptable pour l’islam des lycĂ©ennes5 » Monod, 2008. En 2011, un dĂ©bat sur la nationalitĂ© plus tard, on est indubitablement passĂ© Ă  la vitesse supĂ©rieure la foi du PrĂ©sident ne se contente plus de signaler l’excellence supposĂ©e d’un individu, elle exprime l’ñme » mĂȘme du pays, d’une France Ă  laquelle participent, plus authentiquement que les autres citoyens, et au Puy-en-Velay plus qu’ailleurs », ceux qui inscrivent leurs pas dans ceux des pĂšlerins de Saint-Jacques de Compostelle ». VoilĂ  de quoi liquider le principe de la libertĂ© de conscience, condition de possibilitĂ© de l’espĂ©rance trĂšs sĂ©culiĂšre en l’établissement d’un monde commun celui qu’ont en partage, comme le rappelle l’étymologie du terme laĂŻcitĂ© », les membres du laos – en grec, le peuple considĂ©rĂ© dans sa plus grande extension, formant le but du gouvernement dĂ©mocratique pour le peuple » quand bien mĂȘme les acteurs du gouvernement par le peuple » forment le groupe restreint du demos. Sans doute l’histoire des formes de cette restriction est-elle celle d’une privatisation » de la sphĂšre publique par des groupes ou castes dĂ©terminĂ©s – en sorte que la dĂ©mocratie menace sans cesse de n’exister que sous la forme d’ États de droit oligarchiques », pour reprendre une formule de Jacques RanciĂšre 2005, p. 81 sq.. C’est justement pourquoi la laĂŻcitĂ©, pour autant que s’y attache la question d’une rĂ©conciliation du laos et du demos, comporte une affinitĂ© Ă©lective avec l’utopie l’espoir dans la possibilitĂ© d’un universel » qui, affranchi tant de l’indiffĂ©rence aux diffĂ©rences » que de l’hypostase d’une diffĂ©rence et donc d’une identitĂ© particuliĂšre, s’accomplirait dans la conjonction des diffĂ©rences » Adorno, 1970, posth., p. 263. C’est bien d’un tel espoir que, en effaçant la complexitĂ© du rapport de la France Ă  son hĂ©ritage chrĂ©tien pour trouver dans celui-ci l’instrument d’une dĂ©finition essentialiste du Français », on opĂšre brutalement la nĂ©gation – dans un tel contexte, l’expression identitĂ© nationale » ne dit rien d’autre. Comment s’étonner, dĂšs lors, qu’aujourd’hui une reprĂ©sentante patentĂ©e de l’extrĂȘme droite ne manque nulle occasion de poser en Jeanne d’Arc de la laĂŻcitĂ© ?Sans doute n’est-ce pas lĂ  la moindre des raisons pour lesquelles le libellĂ© de la premiĂšre des dix compĂ©tences Ă  acquĂ©rir par les professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation pour l’exercice de leur mĂ©tier » puisse paraĂźtre, aux yeux des concernĂ©s, au mieux futile, au pire cynique. Avant mĂȘme la distribution, en connaissances », capacitĂ©s » et attitudes », de contenus » dont la pleine maĂźtrise semble dĂ©finir, au-delĂ  du seul alignement europĂ©en des rĂ©fĂ©rentiels », quelque chose comme le nouvel idĂ©al du moi de l’enseignant du XXIe siĂšcle, le texte introductif, Ă©grenant une litanie de qualitĂ©s qui, ainsi aplaties par les constructions au prĂ©sent de l’indicatif, n’en sont mĂȘme plus, offre d’emblĂ©e quelques occasions de rire jaune. Ainsi Il [le professeur / le documentaliste / conseiller principal d’éducation] connaĂźt et fait respecter les principes de la laĂŻcitĂ©, notamment la neutralitĂ© ». Le lecteur a encore suffisamment en tĂȘte le parcours restituĂ© ci-dessus – de Latran au Puy-en-Velay, en passant par les bureaux respectifs du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de l’UMP et du ministre de l’Éducation nationale – pour que la citation de cette phrase se passe de longs commentaires. L’enseignant-modĂšle de l’arrĂȘtĂ© de 2010 est soumis au mĂȘme rĂ©gime que les jeunes filles musulmanes dans le discours de 2007 du prĂ©sident de la RĂ©publique le rĂ©gime du cela vaut pour vous, pas pour moi » – voilĂ  tout. 6 Il y aurait certes Ă  critiquer de façon dĂ©taillĂ©e l’emploi de ce terme, si lĂąche et irrĂ©flĂ©chi qu’i ... 7 Parmi les nombreuses Ă©ditions de ce texte, on peut se reporter Ă  la reproduction qui figure dans l’ ... 23En revanche, qu’on nous permette de mobiliser ici le souvenir d’une expĂ©rience de formation, qui nous semble de nature Ă  prolonger l’analyse. L’anecdote – qui pourrait donc ĂȘtre un peu plus que cela – se situe dans le cadre suivant les cours rendus nĂ©cessaires par l’introduction, dans les concours de recrutement des enseignants, documentalistes et CPE, d’une Ă©preuve relative, lors des oraux d’admission, Ă  cette fameuse premiĂšre compĂ©tence6 » la compĂ©tence Ă©thique », selon la contraction qui s’impose couramment. S’efforçant d’en produire autant que possible une intelligence critique, au moyen notamment d’une mise en perspective philosophique et historique, on a pu, entre autres matĂ©riaux, proposer aux Ă©tudiants des extraits significatifs de la circulaire adressĂ©e aux instituteurs, le 17 novembre 1883, par Jules Ferry, alors ministre de l’Instruction publique – circulaire rendue fameuse sous la dĂ©signation de Lettre aux instituteurs ». Sans doute l’importance de ce texte tient-elle aux tensions qui le traversent celles-lĂ  mĂȘmes auxquelles les instituteurs se trouvent confrontĂ©s depuis que la loi du 28 mars 1882 leur a enjoint de dispenser un enseignement moral et civique » en Ă©vitant cependant de tomber, ce faisant, dans l’enseignement de tout dogme particulier ». Comment faire ? Comment, autrement dit, concevoir et, surtout, mettre en pratique une instruction morale laĂŻque – sĂ©parĂ©e de l’instruction religieuse et ayant sa valeur propre ? Tel est le point sur lequel Jules Ferry vient s’adresser non pas mĂȘme, comme le suggĂšre la formule passĂ©e Ă  la postĂ©ritĂ©, aux instituteurs », mais bien Ă  chaque instituteur Monsieur l’Instituteur [
] » afin de dire pourquoi, selon lui, la tĂąche n’est ni au-dessus de vos forces ni au-dessous de votre estime7 ». Or, des propositions avancĂ©es Ă  cette fin par Jules Ferry, celles formant le passage peut-ĂȘtre le plus cĂ©lĂšbre de la lettre suscitent trĂšs souvent un fort intĂ©rĂȘt de la part des Ă©tudiants. Ces lignes proposent, selon les termes de Jules Ferry, une rĂšgle pratique », et il faut prendre l’expression Ă  la lettre ni simple rappel d’un principe, ni invitation aux accommodements empiriques, mais bien la recherche d’une articulation entre, pour le dire vite, la thĂ©orie et la pratique, la nĂ©cessaire rĂ©fĂ©rence Ă  une normativitĂ© et, au-delĂ , Ă  un ordre de valeurs et la prise en compte, non moins nĂ©cessaire, des conditions, inĂ©vitablement changeantes et singuliĂšres, de l’action. Le rĂ©sultat prend la forme d’une maxime prudentielle, invitant l’enseignant Ă  choisir les propos qu’il s’apprĂȘte Ă  tenir devant ses Ă©lĂšves en fonction du souci de ne pas heurter les convictions de leurs familles. Lisant aujourd’hui, donc, ces recommandations-lĂ , quelle est la rĂ©action, frĂ©quemment enregistrĂ©e, des Ă©tudiants ? Elle consiste Ă  dire, en substance, qu’un tel propos est beaucoup plus proche d’eux, bien plus audible, bien plus pertinent que la somme d’énumĂ©rations proposĂ©es dans l’en-tĂȘte, puis dans les listes de connaissances, capacitĂ©s, attitudes composant aujourd’hui l’énoncĂ© de la premiĂšre compĂ©tence » des professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation. 8 Lors de la derniĂšre rentrĂ©e scolaire, le ministre de l’Éducation nationale s’en serait voulu de rat ... 9 Voir, Ă  ce propos, les prĂ©cisions donnĂ©es ici mĂȘme par Yves Verneuil dans son article L’école e ... 10 Voir sur ce point, dans le prĂ©sent volume, l’entretien avec François Dubet. 24Qu’on nous comprenne bien il n’est nullement question, ici, de faire entendre la rengaine du c’était mieux avant » – expression d’un nĂ©o-rĂ©publicanisme » douteux, toujours prĂȘt Ă  fournir la rhĂ©torique moraliste8 dont raffolent ceux qui, dans le mĂȘme temps, ne dĂ©daignent pas d’aligner l’école des compĂ©tences » sur le modĂšle d’une compĂ©tition brutale entre les individus – vae victis. Il ne s’agit pas non plus de disqualifier, unilatĂ©ralement, les contenus rangĂ©s aujourd’hui sous la rubrique Agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable ». Il n’y a, aprĂšs tout, rien de condamnable Ă  rappeler qu’un professeur doit connaĂźtre, par exemple les valeurs de la RĂ©publique et les textes qui les fondent » – mais cela ne dĂ©signe-t-il pas une exigence s’imposant en fin de compte Ă  tout citoyen mĂȘme, on est gĂȘnĂ© de se sentir obligĂ© de le rappeler, au vu d’évĂ©nements Ă©voquĂ©s ci-dessus, Ă  celui d’entre eux qui se trouve en charge des plus hautes fonctions de l’État ? Inversement, on n’aura pas l’ingĂ©nuitĂ© d’ignorer les profondes ambivalences qui traversent le texte de Jules Ferry, et qui pour une part communiquent avec les aspects idĂ©ologiques les plus douteux de la IIIe RĂ©publique certes, Ferry assure aux destinataires de sa lettre qu’ils ne sont point les apĂŽtres d’un nouvel Ă©vangile » – mais quand mĂȘme », ne peut s’empĂȘcher de murmurer le lecteur d’aujourd’hui, tant l’usage de la prĂ©tĂ©rition crible le texte d’emprunts au lexique religieux thĂ©ologien », mission », apostolat », etc. ; surtout, la relative facilitĂ© avec laquelle, selon l’auteur, l’enseignant saura, en fin de compte, puiser dans les ressources d’une morale consensuelle, la bonne et antique morale de nos pĂšres », expression, tout compte fait, de la sagesse du genre humain », recueil de ces idĂ©es d’ordre universel », trahissent Ă©videmment une sorte de foi dans quelque chose comme un universel facile, peu enclin Ă  rĂ©flĂ©chir sur la particularitĂ© de sa genĂšse historique, et assez ignorant de ses taches aveugles pour justifier, dans l’esprit du mĂȘme Jules Ferry, l’exportation coloniale de la civilisation ».Il reste pourtant que, encore nĂ©gativement obnubilĂ© par la figure clĂ©ricale du maĂźtre, l’auteur de la circulaire de novembre 1883 n’y cherche pas moins Ă  dĂ©gager les traits fondamentaux, et la lĂ©gitimitĂ© propre, de l’enseignant dans une Ă©cole publique laĂŻque. La neutralitĂ© de celui-ci procĂšdera donc justement, et d’abord, d’une neutralisation de la recherche des positions hiĂ©rarchiques au sein d’un improbable palmarĂšs spirituel – celui-lĂ  mĂȘme que, quelque cent vingt-cinq ans plus tard, un croyant dĂ©complexĂ© » devenu prĂ©sident de la RĂ©publique se pique de remettre au goĂ»t du jour. Il reste, Ă©galement, que, si idĂ©alisĂ©e soit-elle, la rĂ©fĂ©rence Ă  une morale universelle » a guidĂ©, et contribuĂ© Ă  rendre effective certes non sans conflits, dĂ©fiances ou anathĂšmes lancĂ©s de part et d’autre9 cette prudente neutralitĂ© laĂŻque qu’attendaient de l’École des consciences athĂ©es, agnostiques ou mĂȘme croyantes – mais, pour autant, pas moins mĂ©fiantes envers le prosĂ©lytisme de l’Église10. 11 Ou encore l’annexe du BOEN nÂș 29 du 22 juillet 2010. 25Par lĂ  s’entrevoit l’une des principales raisons de l’intĂ©rĂȘt que les Ă©tudiants portent Ă  cette lettre elle tient Ă  la liaison Ă©troite de la forme et du fond. Entendons prĂ©cisĂ©ment parce que non sans ambivalences, non sans de lourds prĂ©supposĂ©s idĂ©ologiques, au nombre desquels figurent en bonne place, outre ceux dĂ©jĂ  mentionnĂ©s, les rapports de genre le principe de neutralitĂ© de l’enseignant est ici dĂ©gagĂ© en rĂ©ponse aux inquiĂ©tudes nourries par Monsieur l’instituteur », il est, et doit ĂȘtre, adressĂ© Ă  un sujet. VoilĂ  ce que peuvent se dire, aujourd’hui, ceux qui, personnels d’éducation ou Ă©tudiants, et comme tels visĂ©s par le rĂ©fĂ©rentiel des dix compĂ©tences », ont l’occasion de placer celui-ci en face de la lettre de Jules Ferry du 17 novembre 1883. Pour peu qu’ils aient l’occasion d’y faire halte quelques instants et d’en apprĂ©hender le contenu, les Ă©tudiants deviennent, Ă  leur tour, destinataires intempestifs de cette lettre. La postĂ©ritĂ©, pour le coup, ne s’y est pas trompĂ©e ; cette circulaire mĂ©ritait bien le nom de lettre », dĂ©signation de ce qui s’y agitait vraiment une parole qui, en dĂ©pit de ses dĂ©fauts, mais peut-ĂȘtre aussi en vertu de ceux-ci, dĂ©livre, comme dans une bouteille jetĂ©e Ă  la mer, un message qui demande encore Ă  ĂȘtre lu et interprĂ©tĂ© – quand, inversement, l’arrĂȘtĂ© de mai 2010 11 portant dĂ©finition des dix compĂ©tences que doivent acquĂ©rir, etc. » saura bien se contenter de sa dĂ©nomination administrative prĂ©cisĂ©ment parce qu’il ne s’adresse Ă  personne. IV. Épilogue 2004-2011 – et aprĂšs ? 12 Voir Ă©galement, dans l’entretien citĂ© Ă  la note 10, les mises au point de François Dubet sur ces qu ... 26C’est ce que l’on appelle couramment un comble un texte qui, sans dĂ©daigner l’emphase, proclame dans son intitulĂ© l’injonction faite au fonctionnaire d’État de se conduire en sujet Ă©thique et pour qui les sujets ou, pour le dire en termes plus sociologiques, les acteurs n’existent pas – sinon comme des ĂȘtres de papier. Car il n’y a ici que l’enseignant gĂ©nĂ©rique » – qui connaĂźt » en vrac et de maniĂšre non exhaustive les valeurs de la RĂ©publique, les mĂ©canismes Ă©conomiques, la politique Ă©ducative de la France
 ; qui est capable » de se situer dans la hiĂ©rarchie de l’institution scolaire, de participer Ă  la vie de l’école ou de l’établissement, etc. ; ou encore que son souci d’ agir de maniĂšre Ă©thique et responsable conduit Ă  », par exemple, respecter les Ă©lĂšves et leurs parents ». Louable rappel, dont la crĂ©dibilitĂ© se heurte cependant au fait que, dans le mĂȘme temps, ces Ă©lĂšves » et ces parents » ne sont tolĂ©rĂ©s, eux aussi, que comme de pures abstractions. Le pĂšre de famille » dont Jules Ferry pensait, non sans naĂŻvetĂ© ou calcul, que, dans sa classe, l’instituteur Ă©tait le supplĂ©ant », faisait probablement davantage l’objet de considĂ©ration se soucier de ne pas choquer ses convictions enveloppait nĂ©cessairement l’idĂ©e de sa singularitĂ© quand bien mĂȘme on ne doutait pas que celle-ci fĂ»t soluble sans reste dans une morale opportunĂ©ment universelle ». Et sans doute est-ce par lĂ  que le discours de Jules Ferry reste tournĂ© vers nous c’est prĂ©cisĂ©ment parce que l’univocitĂ© supposĂ©e, voire rĂȘvĂ©e du pĂšre de famille » a laissĂ© place Ă  l’irrĂ©ductible diversitĂ© des familles que l’invitation au tact formulĂ©e en 1883 gagne aujourd’hui une actualitĂ© d’autant plus forte qu’elle est celle de la complexitĂ© d’une sociĂ©tĂ© pluriculturelle – mais aussi d’une sociĂ©tĂ© concurrentielle, au sein de laquelle l’école a acquis un poids extraordinaire dans le destin des individus. Tous les parents le savent, sans doute, mais tous ne savent pas comment dire aux enseignants les espoirs qu’ils placent dans l’école – mĂȘme, et peut-ĂȘtre surtout, lorsque leurs enfants, pour des raisons multiples, revendiquent sur un mode ethnicisĂ© » ou racialisĂ© » l’expĂ©rience nĂ©gative qu’ils font de l’univers scolaire et, au-delĂ , du monde social en gĂ©nĂ©ral c’est-Ă -dire, aussi, d’eux-mĂȘmes, jusqu’à produire, Ă  l’avenant, des anathĂšmes, des stigmatisations, voire des violences inadmissibles au regard du projet d’institution d’un monde commun12. Quoi qu’il en soit, ce que savent les enseignants, et ce qu’attestent les inventions, prĂ©caires mais essentielles, dont ils font montre au quotidien notamment dans le domaine de la relation famille / Ă©cole, c’est que rien n’est possible si, quel que soit le respect » dĂ©clarĂ©, on considĂšre l’autre comme l’échantillon reprĂ©sentatif d’une culture » ou d’une communautĂ© » supposĂ©es uniformes, au lieu de s’adresser Ă  un individu. Autrement dit au lieu de dĂ©fendre le droit, pour chacun, de ne pas se laisser dĂ©finir par ses origines, le droit de ne pas coĂŻncider avec la somme des dĂ©terminations familiales, culturelles, sociales dans lesquelles il est d’abord nĂ©cessairement pris. N’est-ce pas lĂ  prĂ©cisĂ©ment la signification majeure de la libertĂ© de conscience – et par lĂ  du principe mĂȘme de laĂŻcitĂ© ? 13 Qu’on pense par exemple Ă  des textes importants de Catherine Kintzler, comme La RĂ©publique en quest ... 14 En opposition, d’ailleurs, aux avis rendus par la cour de cassation. Le cycle jurisprudentiel des a ... 15 À vrai dire, la rĂ©ponse Ă  une telle question engage une prise de position quant aux ambivalences du ... 16 Comme l’a bien rappelĂ© Jean BaubĂ©rot Une scolaritĂ© plus longue, un Ăąge de mariage plus tardif, ... 27C’est mĂȘme lĂ , au vrai, que rĂ©side un des arguments les plus forts de ceux qui, dĂšs les annĂ©es 1990, soulignant que les mineurs ne sont pas encore en pleine possession des aptitudes intellectuelles et psychologiques nĂ©cessaires Ă  l’exercice du libre examen13, ont Ă©tĂ© partisans d’une interdiction stricte du port de signes religieux Ă  l’école14. Certes, aprĂšs que, en 2004, une loi a statuĂ© en ce sens, faisant ainsi porter l’interdiction non plus seulement sur le port ostentatoire de signes religieux comme le prĂ©conisait la circulaire Bayrou du 20 septembre 1994 mais sur le port de signes religieux ostensibles, la contradiction guettant cette argumentation apparaĂźt nĂ©cessairement c’est que, comme l’écrit Jean-Claude Monod, est prĂŽnĂ©e, en derniĂšre instance, l’exclusion, hors de ce lieu d’émancipation [l’école publique], des mineurs qu’il s’agirait d’émanciper » Monod, 2007, p. 131. La contradiction touche bien Ă  la chose mĂȘme » l’attachement, constitutif de la laĂŻcitĂ©, Ă  l’autonomie du sujet. Que les conditions intellectuelles, psychologiques, voire morales de celle-ci ne soient encore qu’ébauchĂ©es chez les individus mineurs, on l’admettra aisĂ©ment. Mais cela mĂȘme suppose qu’il existe dĂ©jĂ  quelque chose comme un sujet capable de recevoir les contenus qui prĂ©cisĂ©ment doivent lui permettre de former de telles aptitudes – et par lĂ  de transformer le regard qu’il porte sur les conduites, pratiques et convictions dont il a d’abord hĂ©ritĂ©. Or c’est bien, en fin de compte, la possibilitĂ© d’une telle dynamique, certes nullement garantie ni quant Ă  son dĂ©clenchement, ni quant Ă  son issue dĂ©crĂšte-t-on l’ Ă©mancipation » d’autrui15 ? qu’efface le glissement du curseur, en matiĂšre d’interdiction, de l’ostentatoire Ă  l’ostensible. Jean BaubĂ©rot, membre de la commission Stasi, a bien relevĂ© ce point lorsqu’il s’est expliquĂ© sur son refus de voter la proposition qui devait devenir le contenu essentiel de la loi du 15 mars 2004 interdire, sous peine d’exclusion, le port de signes religieux ostensibles Ă  l’école, c’est en rĂ©alitĂ© fixer a priori leur sens, et du mĂȘme coup nier la pluralitĂ© de significations dont les porteurs » sont susceptibles de les investir. Ostensible », un signe religieux ne sera donc jamais, Ă  la lettre, inoffensif, mais signifiera toujours l’intention d’offenser – mais si la volontĂ© de montrer un signe en vue de provoquer, voire de nuire Ă  autrui est ainsi littĂ©ralement prĂ©-jugĂ©e, quelle consistance une distinction comme celle de l’ostensible et de l’ostentatoire peut-elle encore dĂ©tenir ? Qu’est-ce donc que cette volontĂ© de personne ? À cet Ă©gard, le fait que la loi encadrant le port des signes religieux Ă  l’école ait Ă©tĂ© si rapidement connue sous le nom de loi sur le voile » dĂ©livre sa troublante vĂ©ritĂ© les jeunes filles musulmanes, qu’on dit tant vouloir Ă©manciper, ne sauraient ĂȘtre des sujets et dans ce prĂ©supposĂ© se rĂ©pĂšte la logique mĂȘme de la domination, en particulier de la domination masculine, qu’on prĂ©tend combattre. Elles sont, semble-t-il, destinĂ©es Ă  ĂȘtre moins au fait des intentions » qu’elles attachent ou non Ă  leur maniĂšre de se vĂȘtir que, manifestement ostensiblement ?, le sont ceux qui savent fixer une fois pour toutes la signification de leur tenue. En fin de compte, les voilĂ  dĂ©finies par cette raretĂ© un signe clos sur lui-mĂȘme, dont le sens ne s’établit guĂšre par le rapport avec d’autres signes – c’est-Ă -dire des attitudes, des comportements, bref, des interactions infiniment diverses dans le jeu desquelles il nous semble quand mĂȘme un peu tĂ©mĂ©raire ou malhonnĂȘte de ne pas lire aussi des signes » d’émancipation16. 28Aussi, et non pas, certes, seulement l’angĂ©lisme n’est pas de mise, et il n’est nullement question d’admettre que, portant ou non, d’ailleurs, des signes religieux ostensibles », des Ă©lĂšves, au nom de leurs convictions et, soit dit en passant, pourquoi ne pas avoir Ă©galement lĂ©gifĂ©rĂ© sur le port ostensible de signes non religieux ?, enfreignent les rĂšglements intĂ©rieurs des Ă©coles ou des Ă©tablissements, violentent moralement ou physiquement des camarades, voire des personnels, ou encore refusent de suivre certains enseignements. Notre propos est autrement prudent il ne vise qu’à Ă©tablir les coordonnĂ©es conceptuelles d’un problĂšme, tel qu’il commande, par excellence, le sens et la fonction que la loi de 2004 accorde Ă  une mise en Ɠuvre [qui] passe d’abord par le dialogue » circulaire du 18 mai 2004 relative Ă  la mise en Ɠuvre de la loi nÂș 2004-228 du 15 mars 2004, section III. Ce problĂšme, on peut tenter de le formuler en ces termes si le texte prĂ©cise que l’exclusion ne doit avoir lieu qu’en dernier recours, et par consĂ©quent prĂ©conise le dialogue avec l’élĂšve, il verrouille nĂ©cessairement l’objet de ce dialogue mĂȘme. Car l’échange ne se dĂ©roulera jamais que sur le fond d’un prĂ©supposĂ© indiscutable la signification du signe religieux ostensible » est le prosĂ©lytisme ; on cherchera donc Ă  convaincre avec pĂ©dagogie », en sollicitant la mĂ©diation de l’équipe pĂ©dagogique ou Ă©ducative, etc. l’élĂšve de retirer le signe incriminĂ© – mais jamais Ă  discuter du sens que, dans l’espace de ses interactions avec les Ă©lĂšves et adultes qui l’entourent, il ou elle lui est cependant remarquable – et c’est pourquoi il s’agit rigoureusement, ici, d’un problĂšme – que le texte de cette mĂȘme loi de 2004 signale par endroits des rĂ©serves quant Ă  sa propre logique comme en tĂ©moignent aussi, du reste, les prĂ©conisations du rapport Stasi qui n’ont finalement pas Ă©tĂ© retenues. Si le terme ostensible » possĂšde encore un minimum de sens, alors il s’oppose Ă  discret ». Mais l’opposition entre signes ostensibles et signes discrets Ă  laquelle il faut alors faire droit de maniĂšre plus ou moins explicite trahit prĂ©cisĂ©ment le fait qu’il Ă©tait impossible de dissimuler tout Ă  fait le coup de force sĂ©mantique par lequel on a identifiĂ© l’ostensible Ă  l’ostentatoire. Car l’ostentation n’a en fin de compte de sens qu’à traduire la maniĂšre dont un individu choisit non pas seulement une tenue, mais se choisit lui-mĂȘme dans le rĂ©seau de ses conduites – lesquelles sont en effet susceptibles de confĂ©rer Ă  son apparence vestimentaire telle ou telle signification. Comment, dĂšs lors, ne pas accorder que, mĂȘme discret, un signe religieux et, encore une fois, pourquoi seulement religieux » ?, peut se rĂ©vĂ©ler, selon la maniĂšre dont l’individu s’y rapporte, dĂ©rangeant ? Quand vient le moment de dĂ©crire prĂ©cisĂ©ment le Champ d’application de la loi », c’est bien ce que la rĂ©daction, quelque peu contournĂ©e, enregistre de façon symptomale La loi ne remet pas en cause le droit des Ă©lĂšves de porter des signes religieux discrets. [
] En revanche, la loi interdit Ă  un Ă©lĂšve de se prĂ©valoir du caractĂšre religieux qu’il y attacherait, par exemple, pour refuser de se conformer aux rĂšgles applicables Ă  la tenue des Ă©lĂšves dans l’établissement circulaire du 18 mai 2004, section II, § 17 C’est lĂ  un point que Jean-Claude Monod a trĂšs prĂ©cisĂ©ment cernĂ© La dĂ©cision d’interdire les “s ... 29De maniĂšre analogue, le texte admettait que les intervenants occasionnels dont, bien entendu, les parents ne soient pas soumis Ă  l’interdiction du port de tout signe religieux, mĂȘme discret, qui s’impose aux agents du service public d’éducation. Si problĂšme » il y a, donc, dans ce texte, si la rĂ©daction de celui-ci fait parfois symptĂŽme », cela reste prĂ©cisĂ©ment Ă  mettre Ă  son crĂ©dit la persistance de l’ambiguĂŻtĂ© est la trace de l’attention que, des dĂ©bats menĂ©s au sein de la commission Stasi jusqu’à l’élaboration de la loi, on prĂȘta malgrĂ© tout Ă  la complexitĂ© des choses17. ConsidĂ©rĂ©e dans cette perspective, la lĂ©gislation de 2004 fournit un repĂšre Ă  partir duquel on peut faire apparaĂźtre le sens des Ă©volutions qui ont eu lieu jusqu’aujourd’hui. Dire que ce sens est celui d’un abaissement intellectuel n’est pas trop fort. 30Expliquons-nous. Pour autant que l’on puisse s’approprier de maniĂšre fĂ©conde un intitulĂ© comme Agir en fonctionnaire de l’État et de maniĂšre Ă©thique et responsable », c’est dans la mesure oĂč l’on identifiera, dans la rĂ©pĂ©tition de la conjonction et », la possibilitĂ© insistante de la disjonction celle, prĂ©cisĂ©ment, qui peut toujours survenir entre l’adhĂ©sion sincĂšre des acteurs ici les personnels d’éducation aux valeurs et aux principes rĂ©publicains qui fondent leur engagement professionnel et la reconnaissance du fait que, au sein des situations concrĂštes les plus diverses, ces rĂ©fĂ©rences-lĂ  ne suffisent pas Ă  dĂ©terminer la rĂšgle de leur pratique. LĂ  commence, si l’on veut, l’ Ă©thique » lorsque, au sein d’interactions complexes, c’est l’attachement mĂȘme Ă  nos exigences morales qui nous fait Ă©prouver les limites de notre maĂźtrise, et que l’essentiel tient alors Ă  des choix toujours risquĂ©s, mettant notre sagacitĂ© hermĂ©neutique » selon un mot d’Eirick Prairat au service d’une action dont nous voulons en effet, tant au plan de ses principes qu’au regard de ses consĂ©quences, pouvoir rĂ©pondre sans jamais en ĂȘtre pleinement assurĂ©s le sentiment d’ĂȘtre responsable » n’indique pas autre chose. 31On comprend alors que, confrontĂ©s Ă  la difficultĂ© de la tĂąche, Ă©tudiants et enseignants puissent parfois rester, disons, interdits devant la rĂ©daction de la compĂ©tence 1 », mĂ©lange inĂ©dit dans sa forme du moins de rhĂ©torique administrative et de bonnes intentions – quelque chose comme une variante bureaucratique de ce que Jacques Roubaud nomma un jour la langue Muesli ». En l’occurrence, le scepticisme constitue encore le meilleur hommage Ă  rendre aux valeurs que, cĂ©lĂ©brant les noces du rĂ©publicanisme bon teint et de la platitude techniciste, un tel jargon dĂ©figure. Il y va Ă  la fois d’un rĂ©flexe de protection et d’une forme de rĂ©sistance opposĂ©s Ă  l’agression que reprĂ©sentent, dĂ©sormais, des injonctions si troubles et contradictoires que ceux qui les reçoivent se demandent comment, et combien de temps, ils pourront les supporter sans rompre. Entendons sans rester bĂ©ants, Ă©tourdis par la honte de se sentir inexorablement enrĂŽlĂ©s au service d’une option politique dĂ©terminĂ©e. Respecter les familles », nous assĂšne-t-on. Certes. Mais qu’est-ce que cela signifie lorsque le parti prĂ©sidentiel, suivi en cela, on l’a vu, par le ministre de l’Éducation nationale, propose, en vue de rĂ©affirmer le principe de laĂŻcitĂ© dans le cadre des services publics », d’interdire dĂ©sormais aux femmes portant un foulard d’accompagner la classe de maniĂšre occasionnelle ou rĂ©guliĂšre, ou encore de participer Ă  divers conseils et rĂ©unions d’école ou d’établissement ? Pourquoi, il est vrai, attendre d’elles qu’elles puissent ne pas ĂȘtre une menace pour la laĂŻcitĂ© puisque, se plaçant explicitement dans la lignĂ©e du rapport Baroin de 2003, celui de 2011 a retenu, n’est-ce pas, qu’il n’y a pas d’individus musulmans, seulement des Ă©chantillons de certaines populations immigrĂ©es » qui, en particulier dans le monde musulman », sont issues d’une culture non laĂŻque et non dĂ©mocratique » et ne sauraient, dĂšs lors, [percevoir] le sens [du] principe de laĂŻcitĂ© ». AssurĂ©ment, les parlementaires UMP qui intitulent trĂšs sĂ©rieusement leur rapport LaĂŻcitĂ©. Pour mieux vivre ensemble et, pour faire bonne mesure, le placent sous l’égide du pacte rĂ©publicain » s’emploient sans trĂȘve ni repos Ă  rĂ©aliser cette vision fort inspirĂ©e d’une laĂŻcitĂ© culturelle et identitaire » qui, Ă©tayĂ©e par des considĂ©rations socio-anthropologiques de haut vol sur la culture musulmane », faisait le sel inimitable du moins osait-on l’espĂ©rer de la prose de M. Baroin. In fine, le tout donne la recette de l’abĂȘtissement en politique d’un cĂŽtĂ©, lĂ  oĂč il faudrait penser Ă  partir d’eux, de leurs expĂ©riences, de leurs inventions, de leurs incertitudes aussi, les individus sont effacĂ©s derriĂšre la rĂ©fĂ©rence incantatoire aux cultures » et aux communautĂ©s » ou dĂ©niĂ©s les personnels d’éducation, comme au reste bien des acteurs des milieux de la santĂ©, de la culture, du travail social, entendent d’autant plus rĂ©sonner les appels Ă  la responsabilitĂ© » que le cadre normatif censĂ© guider leur action se disloque, les laissant assujettis Ă  des accĂšs d’anxiĂ©tĂ©, sinon de mĂ©pris de soi, confinant parfois Ă  la pathologie. De l’autre, quelque individu dont les hautes charges impliquent pourtant un souci exemplaire de l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral se complaĂźt dans l’hypertrophie de la subjectivitĂ©. Un prĂ©sident de la RĂ©publique qui, en octroyant un statut d’exception Ă  la chrĂ©tientĂ© » dans la dĂ©termination de l’identitĂ© de la France », affirme le principe de ce fractionnement communautaire de la sociĂ©tĂ© qu’il affecte cependant de dĂ©noncer, celui-lĂ  ne se contente pas de dĂ©duire la physionomie de la sphĂšre publique de ses prĂ©fĂ©rences confessionnelles ce faisant, il va jusqu’à rĂ©cuser l’attachement Ă  la prĂ©sĂ©ance du bien de l’état sur le sien propre – cette vertu dont Montesquieu a dit combien elle est indispensable au gouvernement rĂ©publicain Montesquieu, 1979 [1748], p. 143 sq..Aussi devient-il impossible, aux yeux du fonctionnaire de l’État » qui, sachant l’importance d’un tel principe, en reconnaĂźt une traduction prĂ©cieuse dans la neutralitĂ© laĂŻque, d’esquiver ce constat Agir de maniĂšre Ă©thique et responsable » constitue la formule d’une ambition bien intrĂ©pide Ă  une Ă©poque oĂč, dans les allĂ©es du pouvoir et jusque sous les ors de la RĂ©publique, on ne recule guĂšre devant les conduites partiales et irresponsables. ElĂšves institutrices dans la salle d’étude de l’Ecole normale EckmĂŒhl, Oran, 1940 archives familiales de Gilles Moutot.Peu de temps aprĂšs que cette photographie a Ă©tĂ© prise, les deux jeunes filles assises au premier plan furent victimes de la politique d’exclusion menĂ©e par le rĂ©gime de Vichy Ă  l’encontre des Juifs. GrĂące au soutien de la directrice de l’Ecole, Mme Tubiana, et aux contributions matĂ©rielles de quelques familles de pensionnaires, elles purent nĂ©anmoins poursuivre leur scolaritĂ© pendant quelques mois – avant que l’Etat français ne procĂšde, Ă  partir du 1er octobre 1941, Ă  la fermeture des Ecoles normales. Programme jour par jour Nota Les Ă©tapes du Chemin de Saint-RĂ©gis sont donnĂ©es Ă  titre indicatif et peuvent ĂȘtre modifiĂ©es selon les disponibilitĂ©s hĂ©bergeurs. JournĂ©e 1 Votre arrivĂ©e au Puy-en-Velay L’occasion de dĂ©couvrir la citĂ© vellave. ! Vous flĂąnez et dĂ©couvrez la haute-ville du Puy-en-Velay. Empruntez les rues secrĂštes, dĂ©couvrez la CathĂ©drale point de dĂ©part du Chemin de Saint-Jacques de Compostelle. Et le soir Ă  partir du mois de Mai, profitez du spectacle féérique Puy de LumiĂšres ! A faire, Ă  voir ‱ Le Puy-en-Velay > La CathĂ©drale et son CloĂźtre point de dĂ©part du Chemin de Saint Jacques de Compostelle > Notre-Dame de France - RĂ©servation possible > La Chapelle Saint-Michel – RĂ©servation possible > Les ruelles de la haute ville – Visite guidĂ©e possible > L’HĂŽtel-Dieu et ses expositions– RĂ©servation possible > La Forteresse de Polignac– rĂ©servation possible > Pass monuments en vente auprĂšs de L’Autre Chemin ou Ă  l’Office de Tourisme ou aux caisses des monuments. > Centre d’enseignement de la dentelle au fuseau - RĂ©servation possible > Le jardin Henry Vinay Parc du Fer Ă  cheval JournĂ©e 2 Le Puy-en-Velay - Le Monastier-sur-Gazeille 19km -5h de marche Une premiĂšre Ă©tape de mise en jambes qui vous conduit au Monastier-sur-Gazeille qui vous fait prendre de la hauteur et vous offre de jolis points de vue sur l'agglomĂ©ration du Puy mais Ă©galement la vallĂ©e de la Loire. A faire, Ă  voir ‱ Le Monastier sur Gazeille > L’Abbaye de Saint Chaffre qui mĂ©lange Roman et Gothique. > L’église Saint-Jean-Baptiste > Les fontaines circulaires et les lavoirs > MusĂ©e des Croyances populaires > MusĂ©e de l’Ecole > L’Espace culturel EuropĂ©en expositions > Le Viaduc de la RecoumĂšne > Saut Ă  l’élastique JournĂ©e 3 Le Monastier-sur-Gazeille - Moudeyres 13km - 3h30 de marche Si le Monastier-sur-Gazeille a Ă©tĂ© rendu cĂ©lĂšbre par l'Ă©crivain Robert-Louis Stevenson, vous poursuivez sur les traces de Saint-RĂ©gis - GR430 pour dĂ©couvrir Freycenet-Latour et l'Ă©tang des Barthes avant de rejoindre l'incroyable village de chaumiĂšres de Moudeyres. A faire, Ă  voir ‱ Freycenet La Tour > Eglise du 11Ăšme siĂšcle > Etang des Barthes ‱ Moudeyres > Le MusĂ©e des FrĂšres Perrel > Le village et ses toits de chaume > Les deux maisons de la BĂ©ate JournĂ©e 4 Moudeyres - Fay-sur-Lignon 17km - 5h de marche Marchez sur les hauts plateaux volcaniques du MĂ©zenc ! Des prairies et des monts Ă  perte de vue, l'occasion de dĂ©couvrir les Ă©levages de fin gras du MĂ©zenc et ses habitations si caractĂ©ristiques. A voir, Ă  faire ‱ Saint-Front > Le village typique des hauts-plateaux – Saint-Front > L’église romane du 12Ăšme siĂšcle – Saint Front > Le lac volcanique ‱ Fay sur Lignon > La fontaine Saint RĂ©gis > La place du Foiral > DiffĂ©rents producteurs miel, truites, confitures JournĂ©e 5 Fay-sur-Lignon - FLOSSAC ou Saint-AgrĂšve 17km - 4h30 de marche Votre chemin vous conduit aux confins pour vous faire basculer en ArdĂšche en atteignant Saint-AgrĂšve. ‱ Saint-AgrĂšve > Le Mont-Chiniac > La Dolce via voie douce d'ArdĂšche > La fontaine miraculeuse > Parc animalier de Bon GuĂ©ret > Le ChĂąteau de Lacour Ă  2km JournĂ©e 6 Flossac ou Saint-AgrĂšve - Rochepaule - 20KM ou 17km 4h45 ou 4h Vous quittez Saint-AgrĂšve pour longer le Lac de Devesset, un cadre magnifique avant de remonter Ă  travers les forĂȘts et les genĂȘts pour bientĂŽt atteindre Rochepaule. A voir, Ă  faire ‱ Devesset > Baignade et base nautique > Ancienne Commanderie de l'Ordre de Malte ‱ Rochepaule > Charmant village JournĂ©e 7 Rochepaule - Lalouvesc - 11,5km - 2h50 de marche Depuis Rochepaule en direction de la riviĂšre le Doux avant de rĂ©aliser l'ascension vers le village perchĂ© de Lalouvesc, qui offre une vue magnifique vue sur la chaĂźne des Alpes notamment. A faire, Ă  voir ‱ Lalouvesc > La Basilique Saint-RĂ©gis et sa crypte > La chapelle Saint-RĂ©gis avec le gisant du Saint > La chapelle Sainte-ThĂ©rĂšse Couderc > La fontaine Saint-RĂ©gis > Le musĂ©e diorama Saint-RĂ©gis > La chapelle St Ignace > Le parc des pĂšlerins JournĂ©e 8 Lalouvesc-Saint-Bonnet-le-Froid 20km - 5h de marche Le Chemin vous fait revenir en Haute-Loire pour rejoindre les hautes forĂȘts de Saint-Bonnet le froid. A voir, Ă  faire ‱ Saint-Pierre-sur-Doux > Plafond Ă  caissons de l'Ă©glise > La vue panoramique ‱ Saint-Bonnet-le-Froid > La gastronomie > Le village et l'Eglise > Les sources du Haut-Plateau Spa et bien-ĂȘtre JournĂ©e 9 Saint-Bonnet-le-Froid - DuniĂšres 17km - 4h30 de marche Vous redescendez des hauts plateaux boisĂ©s pour rejoindre DuniĂšres, sa tour et son Ă©glise romane du XIIĂšme siĂšcle. DuniĂšres est aujourd'hui une Ă©tape de la voie verte La Via Fluvia. A voir, Ă  faire ‱ DuniĂšres > VĂ©lorail du Velay > Eglise romane du XIIĂšme siĂšcle > Circuit thĂ©matique "Sur les traces de notre passĂ©" - InterprĂ©tation industrielle JournĂ©e 10 DuniĂšres - Tence - 24km - 6h de marche Sur le Chemin de Saint-RĂ©gis pour rejoindre Tence. Vous traversez Montfaucon dont l'Ă©glise abrite 12 tableaux flamands et plus loin, Montregard oĂč Saint-RĂ©gis sauva le village de la peste. Profitez du panorama incroyable pour relier le village de Tence. A voir, Ă  faire ‱ Montfaucon > Le Jardin du Mirandou, dĂ©couverte sensorielle les pieds nus - RĂ©servation possible > Eglise NĂŽtre-Dame qui abrite 12 tableaux de Grimmer ‱ Tence > La Chapelle des pĂ©nitents > Piscine municipale dĂ©couverte > Equitation > Balade en gyropode > Putting Golf > Les bords du Lignon JournĂ©e 11 Tence - QueyriĂšres - 19km - 5h de marche Une journĂ©e Ă  travers le Lignon et le Meygal oĂč vous traversez Saint-Jeures sous l'oeil bienveillant du pic du Lizieux, puis du Testavoyre pour atteindre QueyriĂšres et son magnifique rocher phonolitique ... Une journĂ©e pour marcher en compagnie des sucs volcaniques. A faire, Ă  voir ‱ Saint-Jeures > Eglise ‱ Araules > Eglise Notre-Dame d'Araules ‱ QueyriĂšres > CheminĂ©e phonolitique de volcan JournĂ©e 12 QueyriĂšres - Saint-Julien-Chapteuil - 10km - 2h30 Quelle magnifique descente pour rejoindre la citĂ© capitolienne de Saint-Julien-Chapteuil. Vous marchez sous le regard complice des sucs volcaniques. Une Ă©tape courte aujourd'hui mais qui vous rĂ©serve bien des surprises ! A voir, Ă  faire ‱ Monedeyres > L'Ă©glise Ă©rigĂ©e par les habitants et jamais consacrĂ©e ‱ Saint-Julien-Chapteuil > Piscine > Eglise romane > Les Autruches de la Tortue > Astronomie > Les Moulins de Neyzac > Le Moulin de GuĂ©rin JournĂ©e 13 Saint-Julien-Chapteuil - Le Puy-en-Velay 17km - 4h15 de marche DerniĂšre Ă©tape de ce parcours oĂč pour rejoindre Le Puy-en-Velay, vous emprunterez conjointement les GR 65 & 430 pour traverser la Loire Ă  Brives-Charensac pour retrouver la capitale altiligĂ©rienne . En potion, nous pouvons prĂ©voir une nuit supplĂ©mentaire au Puy. A faire, Ă  voir ‱ Saint-Pierre-Eynac > L’église romane > Les roches basaltiques ‱ Saint-Germain-Laprade > ChĂąteau du Bourg > Vestiges de l'ancienne Abbaye de Doue ‱ Brives-Charensac > Les ponts qui enjambent la Loire Celui de la Chartreuse du XIIIĂšme siĂšcle, le Vieux pont XIIĂšme siĂšcle dans le centre de Brives-Charensac et dont il ne reste que deux arches et le Pont Gallard empruntĂ© par les voitures. ‱ Le Puy-en-Velay > Le MusĂ©e Crozatier > Notre-Dame de France > L’HĂŽtel-Dieu > La Chapelle Saint-Michel-d’Aiguilhe > La Haute-ville du Puy en Velay – Visite guidĂ©e > La CathĂ©drale > PossibilitĂ© de pass 4 monuments Options En option, L’autre Chemin vous propose Vous voyagez seul ? L’Autre Chemin vous propose un hĂ©bergement de qualitĂ© en chambre single avec supplĂ©ment +350€ Ajouter une derniĂšre nuit au Puy Parce qu’il est toujours agrĂ©able de se reposer et de prendre une bonne douche avant de repartir mais aussi de profiter encore un peu de la ville du Puy, vous pouvez opter pour une nuit supplĂ©mentaire en fin de sĂ©jour. Chambre double – accueil en nuitĂ©e & pdj en hĂŽtel *** 75€ / pers Chambre single – accueil en nuitĂ©e & pdj en hĂŽtel *** en chambre single 110€ Optez pour une assurance multirisques et annulation -Europ Assistance Pour voyager l’esprit tranquille, L’Autre Chemin vous propose une solution d’assurance multirisques et annulation. Parce que vos vacances doivent rester un plaisir, votre assurance voyage vous permettra de faire face Ă  toutes les situations, d’en minimiser les consĂ©quences financiĂšres et de gĂ©rer la suite en toute sĂ©rĂ©nitĂ©. IMPORTANT L’assurance annulation – multirisques doit ĂȘtre prise au moment de la rĂ©servation, pensez Ă  sĂ©lectionner l’option lors de votre rĂ©servation. L’assurance ne peut ĂȘtre souscrite que pour les personnes disposant de leur rĂ©sidence fiscale en France. HĂ©bergements L’Autre Chemin a dĂ©veloppĂ© de nombreux partenariats avec des chambres d’hĂŽtes ou petits hĂŽtels traditionnels pour vous offrir confort et authenticitĂ© et que chaque Ă©tape soit encore une occasion de dĂ©couverte de l’architecture, de l’art de vivre, de la gastronomie mais Ă©galement un moment d’échange et de rencontre. Exemple d’hĂ©bergements Le fort du PrĂ©*** HĂŽtel de La Tour Info tarifs Tarifs Le Chemin de Saint-RĂ©gis en version zen 13 jours Votre randonnĂ©e en demi-pension* Transport de bagages 1 sac maxi 13kg / pers. inclus Trace GPX incluse Topoguide du Chemin inclus 1435€ / pers. OPTIONS Voyageur non isolĂ© –SupplĂ©ment chambre single +350€ Voyageur isolĂ© SupplĂ©ment chambre single Nous consulter Ajouter un transport de sac supplĂ©mentaire 13kg +100€ / sac *Hors Ă©tapes du Puy-en-Velay – Pour vous offrir plus de souplesse dans le choix de votre restaurant l’étape du Puy en Velay vous est proposĂ©e en NuitĂ©e + petit-dĂ©jeuner. ‱ Ce prix comprend Le logement en chambre twin, double ou single selon la formule choisie en demi-pension hors Ă©tape du Puy-en-Velay proposĂ©e en nuitĂ©e & pdj, Les taxes de sĂ©jours, Le transport de bagages 1 sac maxi 13kg / pers. 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, nous pourrons alors Adapter les hĂ©bergements selon la composition de votre groupe Vous proposer, si vous le souhaitez, les services d’un accompagnateur diplĂŽmĂ© Vous adresser un devis sur-mesure Que vous soyez un club de randonnĂ©e pĂ©destre, un comitĂ© d’entreprise, une grande tribu ou des amis, nous sommes Ă  votre Ă©coute pour vous proposer une solution adaptĂ©e en profitant du confort By L’Autre Chemin. Ensemble Ă©changeons sur votre projet de randonnĂ©e ou de voyage Ă  vĂ©lo en groupe soit par mail ou par tĂ©lĂ©phone 09 83 64 00 86 Venir au Puy En train La ville du Puy-en-Velay dispose d’une gare qui vous conduit juste dans le centre de la ville Ă  proximitĂ© de votre premier hĂŽtel et de tous les lieux de visites, des commerces. Bref, il est trĂšs agrĂ©able de prendre le train depuis chez soi pour venir dĂ©buter votre randonnĂ©e au Puy. Psst, mĂȘme si le trajet peut paraitre long, lorsque vous arrivez via Saint-Etienne, les voies longe la vallĂ©e de la Loire sauvage, c’est un spectacle trĂšs sympa et en plus vous pouvez vous faire de nouveaux amis dans les wagons ! En voiture Le Puy est accessible par la route notamment par deux axes routiers, la RN88 depuis Saint-Etienne / Lyon ou Aubenas / Mende ou via la RN 102 Clermont-Ferrand. Su rplaces vous disposez de parkings adaptĂ©s mais cela on vous explique tout dans votre carnet de voyage ! Paris 515km Lyon 134km Marseille 300km Toulouse 350km Montpellier 250km Ou se garer au Puy ? Parking Foch – 6 avenue du MarĂ©chal Foch – VidĂ©osurveillance – 7 jours / 7 – 7 jours 22€ & 14 jours 44€ – RĂ©servation 07 68 10 76 81 Parking souterrain du Breuil – Place du Breuil – FermĂ© dimanche et fĂ©riĂ©s – 7 jours 60€ & 14 jours 100€ / 14 jours – RĂ©servation 04 71 02 03 54 Parking Bertrand de Doue Gare SNCF – VidĂ©osurveillance – 7 jours / 7 – RĂ©servation 04 71 02 60 11 – 10€ / semaine gratuit week-end et jours fĂ©riĂ©s Parking Montredon – Avenue de Montredon – 7 jours / 7 – VidĂ©o surveillance – 10€ / jour Parking Estroulhas – Boulevard Chantemesse – VidĂ©osurveillance – 7 jours / 7 – RĂ©servation 04 71 02 60 11 – 5,20€ / jour Parking du Saint-Jacques – 13 bis de Roderie – Aiguilhe – VidĂ©osurveillance – RĂ©servation 04 44 43 97 43 – 7 jours / 7 – 7 jours 20€ & 14 jours 40€ La Malle Postale – Parking Ă  7km du Puy – DĂ©pose et reprise assurĂ©es – 7 jours / 7– 7 jours 25€ & 15 jours 45€ – RĂ©servation 04 71 04 21 79 Tarifs prĂ©sentĂ©s Ă  titre indicatif sous rĂ©serve de modification sans prĂ©avis En avion AĂ©roport Le Puy-Loudes qui dessert Paris AĂ©roport Lyon Saint-ExupĂ©ry AĂ©roport de Clermont-Ferrand Et maintenant, Ă  vous de choisir votre moyen de transport pour rejoindre votre point de dĂ©part ! Besoin d'aide Que ce soit pour rĂ©server votre sĂ©jour randonnĂ©e Le Chemin de Saint-RĂ©gis en version intĂ©grale ou nous poser des questions complĂ©mentaires, n’hĂ©sitez pas Ă  nous contacter.

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