đ Rien Qu Une Larme Dans Tes Yeux Paroles
Contenudu fichier @KMIDI KARAOKE FILE@Lfrench@TMike Brant -Rien qu'une larme dans tes yeux@Tkaraoke -claude clignez Rien qu'une larme dans tes yeux. C'est toujours ta seul réponse. Quand je te dis qu'il vaudrait mieux ne plus se revoir nous deux. J'était certains cette fois que un homme viendrait. On se trompe quelques fois. Une larme à tout changer.
Danstes visions rĂȘveuses FiĂ©vreuses et dĂ©formĂ©es Quand tes cernes se creusent Tous les mots sont figĂ©s Larme blanche au fond des yeux Larme blanche ou larme Ă feu Larme blanche pas d'accord Larme blanche Ă mort Larme blanche pas d'accord Le regard dans la neige Tu as chaud tu as froid Plus rien ne te protĂšge MalgrĂ© toi malgrĂ© moi
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus malheureux Par ma faute trop de fois
Rienqu'une larme dans tes yeux: C'est Comme Ca Que Je T'aime: Dis-lui (Feelings) C'est Ma PriÚre: My Way (Comme d'habitude) Rien Qu'une Larme: Elle a Gardé Ses Yeux D'enfant: Malaguena: Qui Pourra Te Dire ? On Se Retrouve Par Hasard: Viens Ce Soir: Donne Un Peu De Toi: L'Oiseau Noir Et L'Oiseau Blanc: Dans Les Bras De La Tendresse: Dis-lui
21mai 2017 - VidĂ©o de Theromantiquevirtuelje voudrais ĂȘtre une larme pour naĂźtre aux creux de tes yeux,
Rienqu'une larme dans tes yeux Je veux te revoir sourire Rien qu'une larme dans tes yeux Je comprends combien je t'aime. Lyrics translation. Just a tear in your eyes that's always your only answer when I tell you it's better not to see you again. I was certain this time that nothing would hold me wrong sometimes a tear has changed everything nothing but a tear in your eyes
Rienquâune larme dans tes yeux. Câest toujours ta seule rĂ©ponse. Quand je te dis quâil vaudrait mieux. Ne plus se revoir nous deux. JâĂ©tais certain cette fois. Que tu me retiendrais. On se trompe quelques fois. Une larme a tout changĂ©. Rien quâune larme dans tes yeux.
Rienqu'une larme Lyrics: Rien qu'une larme dans tes yeux / C'est toujours ta seule réponse / Quand je te dis qu'il vaudrait mieux / Ne plus se revoir nous deux / J'étais certain cette fois
Rienqu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que tu me retiendrais On se trompe quelques fois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux C'est moi le plus
titre: rien qu'une larme : de : slow jack (slow jack) rien qu'une larme dans tes yeux c'est toujours ta seule reponse quand je te dis qu'il vaudrait mieux ne plus se revoir nous deux j'etais certain cette fois que rien ne me retiendrais on se trompe quelque fois une larme a tout change rien qu'une larme dans tes yeux et soudain je realises
AA Rien qu'une larme Rien qu'une larme dans tes yeux C'est toujours ta seule réponse Quand je te dis qu'il vaudrait mieux Ne plus se revoir nous deux J'étais certain cette fois Que rien ne me retiendrait On se trompe quelquefois Une larme a tout changé Rien qu'une larme dans tes yeux Et soudain je réalise Je réalise que de nous deux
MikeBrant s'installe au 181-183 avenue Victor-Hugo dans le 16 e arrondissement de Paris [20].Le 28 octobre 1970, il sort Mais dans la lumiÚre (100 000 exemplaires écoulés) et remporte le Grand Prix RTL [21].En revanche, sa chanson écrite et composée par son ami Moshé Michael Tchaban, Why do I love you ?, n'est pas diffusée sur les radios françaises au motif qu'elle est
Jai voulu partir cent fois. Et cent fois je suis resté. Rien qu'une larme dans tes yeux, Je comprends combien je t'aime. Je t'aime et je veux te le dire. Je veux te revoir sourire. Rien qu'une larme dans tes yeux, C'est toujours ta seule
Rienqu'une larme dans tes yeux. 5,492 likes · 2 talking about this. Sur cette page sera publié des citations, des poÚmes, des paroles de chansons,. Objectif: 10000 likes Liker un
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PvDu. Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠MĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RP 2 participantsAuteurMessageAsuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Sam 23 FĂ©v 2008 - 1847 Le dortoir des garçons de Serdaigle Ă©tait dĂ©sormais vide. Les jeunes bleu et argent s'Ă©taient tous levĂ©s pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă l'appel de la biĂšre des trois balais en ce dimanche de sortie Ă PrĂ©-au-Lard. Le silence rĂ©gnait et les garçons ayant eut la flegme d'ouvrir les rideaux, la pĂ©nombre rĂ©gnait elle aussi. Aucun son, aucun mouvement, aucune forme de vie si ce n'Ă©tait le chat d'Asuka Harada qui avait prit pour habitude de venir caliner le petit ami de sa propre maitresse. Mais Lix Ă©tait lovĂ© dans la couette du jeune homme, dormant paisiblement. Tout Ă©tait donc calme quand... La porte s'ouvrit Ă la volĂ©e pour laisser entrer Ă toute vitesse la ravissante Asuka, entrĂ©e ponctuĂ©e par un grand Ă©clat de rire. La belle n'attendit pas une seconde et prit le coussin du premier lit Ă sa portĂ©e et se cacha derriĂšre la porte, reprenant son souffle et Ă©touffant ses rires. Tout cela ressemblait Ă une bataille de polochon... Mais comment en Ă©taient-il arrivĂ©s lĂ , alors qu'aujourd'hui Ă©tait un jour de sortie Ă PrĂ©-au-Lard ?** FLASHBACK **Asuka cherchait quoi enfiler, analysant le contenu de son armoire. Oh des habits, elle en avait bien plus qu'il ne le fallait... Maintenant qu'elle faisait des photos pour des magazines et donc pour quelques marques, elle avait le droit Ă quelques habits coĂ»teux en plus... qui ne lui coĂ»taient qu'un sourire le temps de quelques photos. Asuka adorait les habits. Se maquiller, se faire belle pour voir son ange, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Asuka faisait donc le tri selon ses envies, sous l'oeil amusĂ© d'une amie de Serdaigle qui enviait ce grand choix d'habits, mais qui se riait de l'attention que portait Asuka Ă sa tenue, alors que de toute Ă©vidence, quoi qu'elle porte, elle Ă©tait magnifique. Elle lui fit d'ailleurs remarquer, ce Ă quoi Asuka sourit en silence. Elle se rappelait que lorsqu'elle demandait Ă Atreus si il aimait telle ou telle chose sur elle, il rĂ©pondait quasiment Ă tout les cas quelque chose du genre "J'men fou, je t'aime comme t'est." Elle raffolait de ces moments. Comme de tous les moments passĂ©s avec lui d'ailleurs. Bref. La jeune femme opta pour une tenue dĂ©contractĂ©e Ă©tant donnĂ© la journĂ©e qui les attendaient... La semaine d'avant, ils avaient marchĂ© jusqu'aux Trois balais, et l'un des potes d'Atreus avait tellement bu qu'ils avaient dĂ» le ramener au chateau en le portant Ă moitiĂ© tandis qu'il levait son verre en l'honneur du mariage d'Atreus et d'Asuka. Souriant en repensant Ă cela, Asuka prit un jean et un pull noir avec un dĂ©colletĂ© en forme de V avant de filer direction la dĂ» attendre quelques minutes le temps qu'une fille de seconde annĂ©e sorte, les lĂšvres badigeonnĂ©es d'un rouge Ă lĂšvres rose affreux. Asuka la regarda passer et ne pu s'empĂȘcher de lui conseiller un rouge Ă lĂšvres rouge, Ă©tant donnĂ© qu'elle avait une peau mĂąte. La petite ne pu qu'admirer ce conseil venant d'une si jolie jeune femme. Asuka avait beau aimer le maquillage, elle avait beau passer des heures Ă essayer diverses tenues, connaĂźtre des sorts pour se lisser ou, se boucler les cheveux, rĂȘver de dĂ©filer sur une piste en temps que mannequin des plus grands couturiers... Cela ne faisait pas d'elle une fille superficielle, malgrĂ© ce qu'on pouvait en croire. Au contraire, Asuka Ă©tait bien tout sauf superficielle. Et comme elle l'avait confiĂ© Ă Atreus, le fait que l'on fasse peser sur elle cette rĂ©putation la blessait beaucoup. Mais maintenant qu'elle sortait officiellement avec l'Irlandais, et non pas cachĂ©e au fin fond d'une rĂ©serve miteuse, on la respectait plus. Enfin, les avis Ă©taient partagĂ©s. Certains se disaient que ce n'Ă©tait toujours qu'une "trainĂ©e" et que leur relation n'avait rien de sĂ©rieux. D'autres avaient plus de respect pour elle, du fait qu'Atreus l'ai choisie. car Atreus avait beau ĂȘtre dĂ©tĂ©stĂ© par beaucoup, il y avait Ă©galement beaucoup de gens qui l'admiraient et le respectaient. Mais quoi que pensent les gens de toute façon, Asuka se fichait de leur jugement. Elle aimait Atreus, elle l'aimait plus que tout autre copain qu'elle ait pu avoir. Et elle savait que cet amour Ă©tait rĂ©ciproque. Qu'ils disent ce qu'ils veulent... Atreus et Asuka Ă©taient liĂ©s par le coeur, la tĂȘte... par leur Ăąme. Ils se complĂ©taient, ils pensait sans arrĂȘt la mĂȘme chose... c'Ă©tait comme si ils ne faisaient qu'un. Pensive, Asuka s'enferma dans la salle de bain, enleva sa nuisette et entra dans la douche. Elle resta une bonne vingtaine de minutes sous l'eau, faisant des coeurs sur le rideau de douche avec quelques un de ses cheveux Ă©garĂ©s. Comme dans un Ă©tat seconde, la belle n'avait pas conscience du temps qui passait. La tĂȘte complĂštement ailleurs, ce n'est que quand son amie vint frapper Ă la porte qu'Asuka conssentit Ă sortir de la douche. S'habillant, elle ouvrit la porte et son amie vint lui tapper la discut' tandis que toutes deux se maquillaient devant la Alors ? Ca fait combien de temps avec RomĂ©o ?- Depuis cet Ă©tĂ©... neuf mois. Si on compte depuis la bibliothĂšque, ca doit faire pas loin d'un an... C'est dingue comme ca passe Veinarde... T'a trouvĂ© un mec en N'est-ce pas ?Asuka lui sourit, refermant le mascara et le lui donnant. Oui, elle avait un petit ami en or. Elle en Ă©tait bien consciente. Et pour rien au monde elle ne le lĂącherait... Les deux filles enfin prĂȘtes, elles descendirent dans la salle commune oĂč les attendaient quelques autres filles, Atreus, et ses potes. Au moment oĂč elle le vit, un sourire plus large apparut sur ses lĂšvres tandis que son regard se faisait plus tendre encore. S'approchant, elle passa ses mains autour de son cou et lui donna un baiser, avant de murmurer entre deux baisers- Jolie chemise...Il savait qu'elle l'adorait cette chemise. Ainsi que la cravate qu'il portait avec... Chaque fois qu'il la mettait, elle Ă©tait touchĂ©e par cette petite attention qu'il lui portait tout particuliĂšrement. Le groupe des Serdaigles descendit jusque dans la cour, pour rĂ©pondre prĂ©sent Ă l'appel des profs avant le dĂ©part. Mais une fois chose faite, alors que tout le monde commençait Ă avancer le long de l'allĂ©e, Asuka rĂ©alisa qu'elle n'avait pas envie de ca. Elle aimait ces journĂ©es Ă PrĂ©-au-Lard, la plupart du temps Ă boire un coup en discutant aux Trois Balais... Mais la, elle avait envie de rester avec Atreus. Juste lui. Car les moments oĂč ils pouvaient ĂȘtre en tĂȘte Ă tĂȘte Ă©taient rares... ClouĂ©e sur place, regardant les autres avancer, elle serra la main d'Atreus tandis que lui entamait la marche. Lorsqu'il se retourna avec un regard interrogatif pour savoir pourquoi elle n'avançait pas, elle leva les yeux vers lui avec un petit sourire malĂźn. Caressant sa cravate, elle l'empoigna doucement et l'attira vers elle, faisant se pencher Atreus prĂšs d' Ai pas envie... Elle lui fit sa plus belle mine de boudeuse, et vit le regard de son petit ami s'attendrir. HĂ©hĂ©... Elle savait ĂȘtre persuasive. Mais Jim, un ami de Serpentard, le savait aussi...- Eh m'sieur dame, vous allez venir prendre un verre quand mĂȘme ?Asuka soupira. Celui-la allait tout faire planter ? Tss... Tout le monde savait bien qu'Atreus Ă©tait un bon vivant, qui ne rĂ©sistait pas Ă un petit verre... Mais avant que l'Irlandais ne dise quoi que ce soit, Asuka lanca un regard mauvais Ă Jim et tira de nouveau sur la cravate d'Atreus, se penchant sur la pointe des pieds pour atteindre le creux de son oreille oĂč elle sussura quelque chose... d'apparement plus convaincant que l'argument de Jim. GagnĂ©. Non pas qu'il restait juste pour ce qu'elle venait de dire... elle esperait qu'il n'y ait pas que ca qui l'interesse... Mais bon, aprĂšs tout, elle aussi Ă©tĂ© franchement bien interessĂ©e par cette idĂ©e des plus plaisantes. Alors qu'ils retournaient vers le chateau, on entendit Jim ouvrir de nouveau sa bouche, ce Ă quoi Asuka s'arrĂȘta al bouche entrouverte, Ă moitiĂ© choquĂ©e et vexĂ©e de ses L'amour tuera tout tout les plaisirs...Asuka se retourna, lĂąchant la main d'Atreus, et s'approcha de Jim avant de pointer un index accusateur sur le torse du Tu sais quoi ? Si Eliane t'a larguĂ©, c'est parce-que, justement, tu prĂ©fĂ©rais boire et faire la fĂȘte que passer un moment avec elle. Jim, une fille ne restera jamais avec toi si tu ne la fais pas passer avant tout le reste. Alors vas-y, vas te mettre un peu plus minable que tu ne l'est dĂ©ja. En attendant, Atreus n'aura pas de biĂšre mais je suis sĂ»re qu'il prendra bien plus de plaisir que toi aujourd' ce, elle fit demi tour et revint vers Atreus sous les rires des Serdaigles qui se moquaient de la façon dont il venait de se faire casser en public. Asuka n'Ă©tait pas mĂ©chante... Mais il Ă©tait bien connue qu'elle avait un temperament de Serpentard et que, lorsqu'on la cherchait, elle Ă©tait redoutable... une vraie sauvage. Elle bondissait comme une tigresse et faisait des ravages sur son passage. Mais il n'y avait pas de quoi s'inquieter... Jim et Asuka s'appréçiaient. Mais il avait tendance parfois Ă ĂȘtre un peu trop macho et si il y avait bien quelque chose qui Ă©nervait la miss Harada, c'Ă©tait ca. Alors elle se chargeait de le remettre en place, et le landemain, c'Ă©tait oubliĂ©. De toute façon si il disait quoi que ce soit sur elle, Asuka comptait sur Atreus pour prendre sa dĂ©fense... Histoire tout de mĂȘme de ne pas passer pour la rabas-joise de service, Asuka reprit la main d'Atreus et lança un regard Ă Jim Ă qui elle tira la langue d'une maniĂšre ironique pour dire que c'Ă©tait dĂ©ja oubliĂ©, qu'il n'y avait pas de problĂšme.... Ce qui ne l'empecha pas de partir dans monologue feministe anti macho durant tout le long du chemin les menant jusqu'Ă la salle commune de Serdaigle. Parlant Ă toute vitesse, elle n'Ă©tait pas convaincue qu'Atreus Ă©tait bien attentif Ă ce qu'elle disait... et si il ne l'Ă©tait pas, elle ne lui en voudrait pas... car elle mĂȘme se fatiguait Ă parler, parfois. Mais lorsqu'elle dĂ©blaterait tout un tas de paroles ainsi, s'enervant toute seule, cela faisait sourire Atreus. Et ca, ca valait bien tout l'Ă©puisement du Ă la salle commune, Asuka se dĂ©barrassa de son sac en bandouliĂšre et passa ses bras autour de la taille d'Atreus, l'embrassant. Parce-que cela faisait un moment qu'elle en avait envie. Parce-que rien que ca, c'Ă©tait un rĂ©el plaisir. Mais comme Ă chaque fois, un baiser suffisait Ă faire monter un dĂ©sir enfouit en eux et dĂ©ja elle ne pu se retenir de le pousser jusqu'au canapĂ© oĂč, une fois allongĂ©, elle s'assit Ă cheval sur lui, l'embrassant encore, ses cheveux lissĂ©s tombant de part et d'autre du visage du prĂ©fĂšt. Elle avait envie de lui. Elle en mourrait d'envie. Mais la jeune fille Ă©tait joueuse... et lĂ , c'Ă©tait trop facile. Le distrayant en descendant poser des baisers au bas de son ventre, elle attrapa le coussin au bout du canapĂ©. Une fois celui-ci en main, elle se repositionna Ă cheval sur lui, les mains dans le dos, avant de maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre...En voyant la tĂȘte mi amusĂ©e mi offusquĂ©e d'Atreus, elle ne pu s'empĂȘcher de rire et abattit le coussin sur sa tĂȘte avant qu'il ne puisse Ă©changer les positions. Car il Ă©tait Ă©vident que, au niveau physique, il avait toute maitrise sur elle... Il Ă©tait grand et costaud tandis qu'elle ressemblait Ă une brindille Ă cĂŽtĂ© de lui. Mais elle adorait le provoquer. Oui, tout deux passaient leur temps Ă se taquiner. Qui aime bien chĂątie bien. Pour Ă©viter toute contre attque, la jeune femme se leva en vitesse et partit se rĂ©fugier dans le dortoir des garçons, riant aux Ă©clats.**C'est donc cachĂ©e derriĂšre la porte, avec un nouveau coussin en main, qu'Asuka attendait l'arrivĂ©e d'Atreus. Son coeur battait Ă toute vitesse Ă cause du stress et du sprint qu'elle venait de faire. Essayant de respirer le plus doucement possible, elle attendait, presque silencieuse, l'arrivĂ©e du bel Atreus. MĂȘme si c'Ă©tait, pour l'instant, pour l'attaquer avec un coussin, elle avait hĂąte. Il lui manquait dĂ©ja...DerniĂšre Ă©dition par Asuka Harada le Dim 23 Mar 2008 - 1716, Ă©ditĂ© 1 fois Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 24 FĂ©v 2008 - 623 Dimanche 14 Avril 1984 - 907 - Salle Commune de SerdaigleUn ciel d'un bleu azur. Quelques nuages fins d'un blanc nacrĂ©. Une lĂ©gĂšre brise. Une belle journĂ©e en perspective. Ah... Avril. Beau mois putain... C'est ce que se disait Atreus en contemplant rĂȘveusement le ciel et le paysage qui s'Ă©tendait devant lui, Ă travers une des fenĂȘtres de la Salle Commune. Un lĂ©ger roucoulement le fit tourner la tĂȘte. Oh... PerchĂ©s sur une gouttiĂšres en pierre du toit de la tour, un couple de pigeons roucoulaient paisiblement en se donnant de petits coups d'becs affectueux. Des baisers pour eux quoi. Des baisers... AussitĂŽt, l'image d'Asuka apparut au jeune homme. Son visage d'ange et son sourire qui le faisait fondre Ă chaque fois se dessina devant ses yeux. Ah... Asuka. "Elle" comme il l'appelait... Sa petit amie. Putain... C'kil l'aimait sa Asuka le 'Treus. Comme... Comme un alcoolique chĂ©rie sa bouteille de Whisky par exemple. Euh. Nan c'pas romantique ça. Et puis... Nan ça convient pas. C'est PLUS que ça ! C'est comme... Comme ce couple de pigeon. Il s'aiment Ă la folie ! C'est exactement doux sourire se dessina sur le visage de l'Irlandais. Le sourire d'un homme qui aime. Un Ă©clat de rire le fit redescendre sur terre. Un d'ses potes Ă premiĂšre vue. Aaah... Gros soupir. Asuka lui manquait. Il savait qu'elle n'allait pas tarder Ă descendre, toute fraĂźche et maquillĂ©e, mais, c'Ă©tait trop long dĂ©jĂ . Combien d'fois il lui en coutait de la laisser au pas des escaliers des deux dortoirs ? Je ne les compte plus. Bref. C'est ainsi qu'il prit son mal en patience, ravalant son impatience. Bon. Aujourd'hui, une putain d'journĂ©e s'annonçait. HabillĂ© de sa chemise blanche et de sa cravate rouge, que sa tigresse de petite amie kiffait au plus haut point, et d'un jean, le Serdaigle, et sa bande de potes et amies, attendait Asuka et une autre amie de Serdaigle pour se rendre pour une journĂ©e tranquille et cool Ă PrĂ©-au-Lard. Atreus prĂ©voyait un 'tit dĂ©tour par le parc avec Asuka pour... Batifoler un peu n'est-ce pas ? Les deux jeunes gens prenaient beaucoup de plaisir Ă s'faire toutes sortes de cĂąlins doux ou coquins. Ouf comme c'Ă©tait bien. Clac. Puis un "Tap ! Tap !" rĂ©gulier et des paroles. Et Sa voix. Pas d'doutes. Asuka arrivait. Putain enfin la belle de son cĆur arrivait. Quand elle paru, Atreus ne put s'empĂȘcher de sourire devant sa grĂące et sa beautĂ© gracile. C'te fille, c'est une merveille j'vous dit ! Arrivait Ă sa hauteur, la jeune femme, trĂšs joliment habillĂ©e comme d'habitude, passa ses bras autour du cou du jeune homme et l'embrassa amoureusement. L'Irlandais lui rendit ce baiser pleins d'amour en resserrant la pression et en touchant dĂ©licatement la belle criniĂšre de la jeune femme. Quand ils Ă©cartĂšrent leurs lĂšvres, le murmure d'Asuka parvint Ă ses oreilles. Jolie chemise... » Jolie pull... » riposta gentiment le jeune homme avec un clin d'Ćil amusĂ©. AprĂšs un autre baiser plus rapide cette fois, le groupe des Serdaigles se mit en marche, bavardant et riant forts. Atreus passa sa main dans le bas du dos d'Asuka, entourant ainsi sa taille, et ils partirent Ă la suite du groupe. _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Arrivaient en bas du chateau, devant la porte d'entrĂ©e, Atreus sentit une pression sur sa main. Il se retourna. Asuka ne suivait pas. Il lui lança un regard interrogatif. Asu tu n'vient p... »Il n'eut pas le temps de finir sa phrase car la ravissante jeune femme venait de l'attirer en tirant doucement sur sa cravate. Chose qu'elle adorait faire et... Je dois avouer que le 'Treus kiffait beaucoup ce geste si sensuel. La jeune femme approcha et lui murmura doucement Ai pas envie... »L'Irlandais eut un sourire amusĂ© et pleins d'amour devant la mine boudeuse et maligne de la jeune Asuka. P'tiiin. C'te tĂȘte... Il le rendait fou de dĂ©sir ! C'est pourquoi il n'allait opposer aucune rĂ©sistance Ă ce petit caprice de sa belle petite amie. Quand un pote de Serpy les hĂ©la, Asuka eut une moue encore plus boudeuse et se pencha Ă cĂŽtĂ© de l'oreille d'Atreus. Ce qu'elle lui dit vous l'avez sĂ»rement devinĂ© non ? Bande de pervers va ! Vous avez pas tout Ă fait tord... Le visage d'Atreus ne changea pas, si ce n'est pour afficher un sourire chargĂ© d'amour, de tendresse et de dĂ©sir encore plus jeune homme laissa la belle jeune femme mouchait le Serpy. Atreus s'en foutait car en c'moment il se sentait bien dans la tĂȘte, dans le corps et... Dans le coeur. Hop. Direction... La Salle Commune ! HĂ©hĂ©..._ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _Le retour Ă la Salle Commune fut trĂšs rapide. A peine arrivĂ© que les deux jeunes gens s'enlaçaient passionnĂ©ment en s'embrassant fougueusement. Que c'Ă©tait bon. Asuka le poussa avec un amour sauvage dans le canapĂ© le plus proche. Et elle vint de mettre Ă cheval sur lui tout en l'embrassant avec ardeur. Atreus caressait les courbes de la jeune femme d'un bras alors que l'autre bras Ă©tait logĂ© derriĂšre la nuque de Tigresse tout en l'embrassant avec passion et dĂ©sir. P'tiiin. Des moments comme ça reste gravĂ© dans la mĂ©moire. On souhaite que cela ne s'arrĂȘte jamais. Ou alors seulement pour aller plus loin encore. En c'moment-lĂ , le Serdy Ă©tait vraiment fou de dĂ©sir. Cette fille Ă©tait un rĂȘve. Un rĂȘve qui Ă©tait Ă lui. Rien qu'Ă lui. Alors qu'il l'embrassait dans le cou, la jeune femme dĂ©posa des baises sur son torse pour descendre peu Ă peu. Elle se redressa brusquement pour reprendre sa position initial sur lui, Ă cheval sur son torse. Quelle maĂźtrise... Si tu veux bouger, tu peux pas partir... CouchĂ© le tigre... »Oho. La 'tite coquine... On aime la provoc' hein ? Genre Atreus le savait pas. Depuis l'temps qui se taquinaient avec amour et se provoquer mutuellement, c'en Ă©tait devenu un jeu. Un Jeu de l'Amour. L'Amour façon Atreus et Asuka. C'est un peu plus... SpĂ©cial. HĂ©hĂ©. Elle veut donc jouer à ça ? Elle va avoir l'droit Ă ... BROUF ! Putain ! Le jeune homme venait d'se prendre un gros coussin dans la gueule avant d'entendre le rire amusĂ© d'Asuka s'Ă©loignait. Tout en enlevant le coussin, le Serdy Ă©clata de rire. Putain. Vous l'ai-je dit que j'adore cette fille ? Aussi belle qu'imprĂ©visible. J'ADORE !Et c'est donc un coussin Ă la main et le sourire tendre et amusĂ© aux lĂšvres que l'Irlandais se lança Ă la recherche de sa joueuse de petite amie. Il jeta un Ćil du cĂŽtĂ© de l'escalier des dortoirs des filles mais le rire Ă©touffĂ© de la jeune femme lui parvint du cĂŽtĂ© des dortoirs des mecs. Oho. En territoire connu. Ăa va ĂȘtre marrant. Le jeune homme s'Ă©lança sans faire de bruit dans l'escalier, s'arrĂȘtant de temps en temps devant les porte des dortoirs. Mais il savait oĂč elle s'Ă©tait rĂ©fugiĂ©. Dans SON dortoir Ă lui. Il le sentait. Il le savait. Il la connaissait bien sa Asuka hein ? A pas de loups, il s'approcha donc de la derniĂšre porte, celle de son dortoir. Il resserra sa prise sur le coussin, et aprĂšs un sourire et un frisson d'excitation et d'euphorie, ouvrit rapidement la porte. Un gros coussin s'abattit une fois de plus sur lui mais il se roula Ă terre et, se relevant d'un bond, balança doucement mais rapidement son coussin sur la tĂȘte de la jeune femme. Elle le reçu en plein visage alors qu'elle riait aux Ă©clats. Le PrĂ©fet en profita pour se rapprocher d'elle et se collait Ă son corps. Tout deux riant, ils s'embrassĂšrent un peu partout... Dans le cou, sur le visage, les lĂšvres... C'beau l'amour hein ?Avec un regard amusĂ©, ils se sĂ©parĂšrent et reprirent leurs armes. Le Coussin Blanc - ModĂšle Hot Dreams » d'Asuka VS le Coussin Bleu Ă Franges - dit Tueur de Mouches » d'Atreus. Tantan ! ZE duel ! LEs deux adversaires se font face. Ils s'observent et... C'EST REPARTIT ! Le Coussin Blanc de la jeune femme vole Ă travers la piĂšce et manque de peu l'Irlandais. Ce dernier riposte en envoyant valser son coussin vers Asuka. Cette derniĂšre l'Ă©vite en plongeant sur un lit. Elle se relĂšve, un autre coussin Ă la main et l'envoie de toutes ses forces sur Atreus. Le prĂ©fet, occupait Ă rĂ©cupĂ©rer le premier coussin d'Asuka se prit le coussin ennemi dans la tronche. Dans un grand Ă©clat de rire, il contre-attaqua. Cible touchĂ©e. Asuka resta allongeait sur le lit, riant Ă perdre haleine. Alalaaa... C'trop bon tout ça ! Le jeune homme sauta sur le lit, aux cĂŽtĂ© de sa petite amie. Tout en la serrant dans ses bras, il l'embrassa sur les lĂšvres. La jeune femme tressautait encore d'euphorie mais elle lui rendit son baiser avec autant de fougue que d' releva la tĂȘte. Un sourire amusĂ© et tendre sur les lĂšvres, il balaya une mĂšche rebelle sur le front de la Serdaigle avant de lui caresser la joue. D'une voix douce, lĂącha Je t'aime Asuka. De tout mon cĆur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. »Magnifique. Un moment... Magique. Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Jeu 28 FĂ©v 2008 - 2313 Silence. On entendait qu'un lĂ©ger souffle derriĂšre la porte, tandis qu'Asuka tendait l'oreille. Elle n'entendait pas grand chose, mise Ă part lorsque Atreus arriva devant la porte. Pour ĂȘtre venue souvent en pleine nuit voir son homme, Asuka connaissait la faille dans le plancher juste devant cette porte. On entendit un petit grinçement lorsque le bel Irlandais arriva devant la porte. A ce moment, il ouvrit celle-ci Ă la volĂ©e et sans attendre, Asuka lui sauta dessus, le frappant avec le coussin. Le chat, dĂ©ja rĂ©veillĂ© par l'entrĂ©e fracassante d'Asuka, sauta du lit en un miaulement pour se cacher dessous, ses yeux verts grands ouvert dans l'obscuritĂ©. Atreus, pour Ă©viter plusieurs coups, se roula Ă terre dans une cascade digne de James Bond avant de se relever et jeter un coussin sur Asuka qu'elle n'eut pas le temps d'Ă©viter. Le prenant dans la tĂȘte, elle ouvrit la bouche comme si elle Ă©tait choquĂ©e, bien que ce soit elle qui ait dĂ©clarĂ© la guerre. L'oeil malicieux, cela ne l'empĂȘcha pas de s'approcher d'Atreus lorsqu'il se releva. Passant ses mains derriĂšre sa nuque tandis qu'il la prenait derriĂšre la taille, tout deux se collĂšrent l'un Ă l'autre avec envie. Asuka dĂ©posa ses lĂšvres sur les siennes, leurs langues se touchant, se quittant, et revenant encore l'une Ă l'autre. Puis Atreus quitta ses lĂšvres pour lui baiser le cou tandis qu'elle fermait les yeux, se mordant les lĂšvres sous un frisson de dĂ©sir qui lui parcouru tout le corps. Lorsqu'il revint pour l'embrasser, elle laissa ses lĂšvres Ă quelques milimĂštres des siennes, Ă©vitant tout contact, simplement pour provoquer un peu plus le jeune homme et faire monter l'exitation. Puis elle posa ses mains sur son torse et tout deux se lançÚrent un regard malin. A ce moment, ils comprirent. Se sĂ©parant Ă toute vitesse au mĂȘme moment, comme si ils Ă©taient capables de lire l'esprit de l'autre, ils reprirent tout les deux un coussin et la bataille reprit de plus belle. Tandis que tout deux enjambaient ou s'affalaient sur les lit, le chat quitta le champ de bataille en courant et en poussant un miaulement n'en pouvait plus de rire. DĂ©ja, rien qu'en voyant Atreus, elle Ă©tait obligĂ©e de sourire. Alors lĂ , tandis qu'ils s'amusaient ensemble, elle Ă©tait euphorique. En ayant mal aux joues, elle plongea sur le lit d'Atreus pour essquiver son coussin, et le silence revint doucement, ponctuĂ© par le rire essoufflĂ© d'Asuka qui n'en pouvait plus. Essayant de reprendre sa respiration et d'Ă©touffer ses rires, elle resta ainsi allongĂ©e sur le dos, regardant le plafond avec des yeux pĂ©tillants, la main posĂ©e sur sa poitrine. Et tandis qu'Atreus avançait vers elle, elle enleva ses chaussures Ă talons, qui lui avaient dĂ©ja broyĂ© les pieds suite Ă ces folles aventures... Bien qu'elle en ai l'habitude. Jetant donc les chaussures et un peu plus loin, elle resta allongĂ©e, regardant le plafond avec un sourire amusĂ© et jeune homme vint enfin prĂšs d'elle en sautant sur le lit, faisant grincer les lates tandis qu'Asu se voyait plongĂ©e vers le sol avant de rebondir lĂ©gĂšrement. AussitĂŽt, elle posa un doux regard sur lui tandis qu'il faisait de mĂȘme, et lorsqu'il approcha son visage, elle l'accompagna, posant doucement sa main sur sa joue, la caressant du pouce. Leurs lĂšvres se joignĂšrent, puis se sĂ©parĂšrent, pour se retrouver encore dans des baisers langoureux. Comme toujours, un vrai dĂ©lice. En un regard elle frissonna, tandis que toute sa tĂȘte, ses sens et son coeur lui criaient Ă quel point elle l'aimait. Oh oui elle l'aimait. Jamais quelqu'un ne lui avait autant manquĂ©, jamais elle n'avait dĂ©sirĂ© quelqu'un comme elle le dĂ©sirait, jamais quelqu'un ne lui avait fait autant de bien... jamais personne ne l'avait rendue si heureuse. Et cela, elle voulait lui dire. Il le savait, c'etait Ă©vident... Mais elle avait l'impression qu'elle l'aimait bien plus qu'elle ne le lui disait, et que ce n'Ă©tait jamais assez. Jamais Atreus...- Je t'aime Asuka. De tout mon cĆur. De tout mon ĂȘtre. De toute mon Ăąme. BAM. Asuka resta immobile une seconde, le regard allant d'un oeil d'Atreus Ă l'autre. Puis, sentant une vague de chaleur monter en elle en mĂȘme temps que les larmes lui venaient aux yeux, elle ferma ces derniers et, posant sa main derriĂšre la tĂȘte d'Atreus, elle le rapprocha d'elle en le prenant dans ses bras et en le serrant de toutes ses forces contre lui dire quelque chose de mieux que cela ? Non. Il l'aimait de tout son coeur, de tout son ĂȘtre. Et le fait qu'il le lui dise... Asuka Ă©tait vraiment Ă©motive, et les larmes lui Ă©taient montĂ©es plus vite qu'elle ne l'aurait souhaitĂ©. Mais c'Ă©tait naturel. Des larmes de joie. Parce-que rien ne pouvait lui faire plus plaisir que ces paroles... sincĂšres. Se sentir aimĂ©e, n'est-ce pas ce que tout le monde recherche au plus profond de soi ? Un besoin d'ĂȘtre aimĂ©e, comme on a besoin d'aimer. A vrai dire, son coeur se serra tellement fort Ă ce moment, elle se retrouva tellement Ă©mue, qu'elle fut incapable de lui rĂ©pondre. Et pourtant, ce n'etait pas l'envie qui lui manquait... L'envie. L'envie de lui crier qu'elle Ă©tait dingue de lui. L'envie de vivre avec lui, de l'aimer pour le meilleur comme pour le pire. Certes, elle Ă©tait jeune. Mais elle croyait au coup de foudre, et en l'amour d'une vie. Du moins, elle voulait y croire maintenant, maintenant qu'elle l'avait trouvĂ©. Certes, depuis la mort de sa mĂšre, elle s'etait jurĂ© de ne jamais s'attacher... elle avait cru qu'elle ne serait jamais capable d'aimer, d'ĂȘtre aimĂ©. Elle s'Ă©tait forgĂ© un caractĂšre, il fallait le dire, elle aimait sĂ©duire. C'est cela qui lui avait valu cette rĂ©putation, Ă la base, fondĂ©e... Il faut dire qu'elle avait enchainĂ© les petits amis... Mais aucun ne l'avait aimĂ© sincĂšrement, avant Atreus. Atreus... Il Ă©tait la raison de son bonheur, elle voulait y serrant contre son coeur, elle sentait le sien battre contre sa poitrine. Et se dire qu'il battait pour elle... C'Ă©tait merveilleux. C'Ă©tait parfait. Oui, elle Ă©tait tellement heureuse dĂ©sormais qu'elle soupçonnait parfois le destin de lui prĂ©parer un mauvais coup. Mais cela, elle le refoulait loin dans un petit recoin de sa tĂȘte. Le sourire aux lĂšvres, des frissons plein le corps, elle releva le visage d'Atreus au dessus d'elle et, le regard embuĂ©, l'admira, lui caressant les cheveux. Son regard pĂ©tillait de larmes refoulĂ©es, son sourire Ă©tait tendre. Elle faisait penser Ă un petit animal qui ne demandait qu'un peu d'amour. Et c'est ce qu'elle Ă©tait... Elle le lui avait dit Ă la rĂ©serve de la bibliothĂšque... elle Ă©tait fragile derriĂšre sa carapace. Elle avait besoin d'amour, c'est ce qui faisait sa force. Elle en avait besoin, mais elle avait Ă©galement un coeur Ă©norme, un coeur capable de donner absolument tout son amour Ă quelqu'un. Son amour, et plus Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. - Finit-elle avec un sourire plus large, une larme s'Ă©chappant de son oeil -Tandis qu'il lui caressait la joue pour effacer cette unique larme, elle l'attira vers elle pour l'embrasser profondement, passionement. C'Ă©tait lui sa force. Lui qui lui donnait envie d'avancer, de se battre. Il Ă©tait... tout. Tout pour elle. Et mĂȘme si elle ne lui rĂ©pondait qu'un simple "je t'aime"... cela voulait dire bien plus. Cela voulait dire qu'elle Ă©tait dingue de lui, qu'elle donnerait tout pour l'aimer jusqu'au bout. Mais cela, il le savait. Il n'Ă©tait pas lĂ©gilimens, mais le lien entre eux Ă©tait si fort qu'ils se comprenaient en toute circonstance. Cessant le baiser, Asuka leva les yeux vers lui et sourit plus largement, puis baissant les yeux sur sa cravate qu'elle caressa du bout des doigts, elle dit- Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă me rendre si heureuse...Pourquoi ? Parce-qu'il n'y avait qu'a lui qu'Asuka s'Ă©tait mise "Ă nu". En dehors de sa mĂšre, il avait Ă©tĂ© le seul a entendre ses craintes, ses doutes, ses peurs. Il Ă©tait le seul dĂ©sormais Ă connaĂźtre la vĂ©ritable Asuka Harada. Et Ă l'aimer pour cela. Pensive, continuant de toucher du bout des doigts la cravate de son bel irlandais, elle lĂącha le regard dans le vide- J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. -Elle leva son regard doux dans le sien- Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands en demandait beaucoup. Elle savait que ce voeux n'Ă©tait pas rĂ©alisable... du moins pas pour le moment. Mais ils l'auraient leur palace. Actuellement, elle passait des heures dans ses bras dans la beignoire de la salle de bain des prĂ©fets, entourĂ©s de pĂ©tales de roses. Ca, c'Ă©tait leur petit plaisir en plus, les pĂ©tales... leur petit truc Ă eux. Les calĂźns, elle les avait dans le parc, dans la salle commune... un peu partout. Quand aux nuits... Il y en avait eu Ă divers endroits, et pas forcement pendant la nuit... Bref, c'Ă©tait dĂ©ja parfait. Mais Asuka rĂȘvait de ces moments dans son palace imaginaire... Avec lui. Lui et elle, elle et lui... rien qu'eux et leur amour sans limites. Atreus CalgarNombre de messages 1090Age 31Maison Perso Vous aimeuuuuh ! LTigresse, Evanounette, Stephichou, Jumelle, Meeeeel', Thominou, Maureen... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 17/07/2007Qui fait quoi ?Fonction HRP Modo dĂ©jantĂ© et SpĂ©ciales //Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Ven 21 Mar 2008 - 2220 Silence. Les deux amants se regardaient. A la suite de ce qu'il venait de lui avouer, la belle de son cĆur en fut bouche-bĂ©e. Il eut un sourire de tendresse en la voyant ainsi. Si belle... Ses cheveux bruns lui tombant sur le visage et les Ă©paules. Ses lĂšvres fines si dĂ©sirables. Et ses yeux... Un putain d'regard Ă vous retourner les tripes. Magique. Magni... *ZBROUF* Asuka venait de le serrer de toutes ses forces dans ses bras, le rapprochant d'elle. Se laissant faire, le jeune homme ferma lui aussi les yeux, sans se douter que sa belle faisait de mĂȘme. P'tiiin. C'dans des moments comme ça qu'on se sent... Heureux. Vraiment. A tout faire pĂ©ter Quand il tâemplit le cĆur, la tĂȘte, le corps.. fin tout quoi, bah câest kekâchose. Une sensation de bien-ĂȘtre intense⊠Un sentiment de puissance⊠Sentir que quelquâun tâaime et compte sur toi. Pâtiin. Ca sâest magnifique. Atreus resserra sa pression sur la jeune femme. Long soupir d'aise. Bien ? On n'peut mieux. Le parfum entĂȘtant, lĂ©gĂšrement piquant, d'Asuka lui titillait les narines. Encore une raison de plus de serrer fort dans ses bras la belle jeune femme. Une raison minime en comparaison aux sentiments qu'il Ă©prouvait pour elle. Mais bon... J'aime prĂ©ciser les choses. Tant pis si ça vous embĂȘte. NAH ! Hum. Bref. Ce moment Ă©tait donc intense. Et il promettait mĂȘme de l'ĂȘtre encore plus. Si c'est possible... La jeune femme desserra son Ă©treinte amoureuse. Atreus laissa seulement glisser ses bras jusqu'au Ă©paules de la jeune femme, les caressant avec tendresse et envie. Mais son regard alla direct sur celui de la Serdaigle. Ces yeux brillaient. Et elle lui afficha encore une fois ce sourire si doux et craquant qui lui faisait BONDIR LE CĆUR Ă chaque fois. Elle passa sa main dans ses cheveux. Le contact le fit frissonner mais il adorer c'te frisson caractĂ©ristique. Un frisson qui exprime tout. Il ferma doucement les yeux, le temps d'un instant. De son cĂŽtĂ©, il ne cessait de caresser avec douceur les Ă©paules de la jeune femme. Ouvrant les yeux, il se mit Ă faire courir ces doigts sur le bras dĂ©nudĂ© de la jeune femme, celui avec lequel elle lui Ă©bouriffer les cheveux. Avec un petit sourire malin et taquin sur les lĂšvres, il dĂ©posa des baisers sur la peau de son bras. Remontant bien entendu vers son buste. Vous savez, ce genre de p'tits baisers qui chatouillent. C'est ce genre-lĂ . Moi aussi je t'aime... mon 'Treus. »La voix douce de la Harada et ces paroles firent lever la tĂȘte d'Atreus. Avec un sourire tendre, la lueur encore plus forte de l'amour dans ses yeux, le Serdy enleva dĂ©licatement la larme qui avait perlĂ© dans le coin de l'oeil d'Asuka et qui commençait Ă roulĂ© sur sa joue dĂ©licate. Les deux jeunes gens s'approchĂšrent une nouvelle fois et s'embrassĂšrent langoureusement. Combien de temps ? 5 minutes ? 10 minutes ? Peut-ĂȘtre plus ? Je ne sais pas. Le Bonheur se compte pas en une valeur de temps existante. C'est donc aprĂšs un temps indĂ©terminĂ© que Asuka et Atreus cessĂšrent de joignirent leurs lĂšvres. Avec un regard tout aussi mignon et tendre, la belle Serdy pris entre ses doigts la cravate rouge de l'Irlandais, la caressant... Tu est la seule personne qui m'ai faite pleurer... Paradoxal, quand on sait que tu est la seule personne Ă me rendre si heureuse... »Le jeune homme sourit. Heureuse. Genre il Ă©tait TRĂS MALHEUREUX avec elle. Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des femmes. »L'Irlandais l'entoura de ses bras, tout en lui caressant le dos d'une main, et ses mĂšches folles et rebelles de l'autre. J'ai envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands maharadjahs. »Les mains d'Atreus cessĂšrent un instant leurs caresses. Plongeant son regard dans celui de sa Tigresse, il se mordit la lĂšvre infĂ©rieure, d'un geste d'envie et de dĂ©sir. Un palace. Oui. Ils en avaient dĂ©jĂ beaucoup parlĂ©. C'Ă©tait LEUR rĂȘve. Passer ses journĂ©es dans un magnifique palais au bord de la mer, Ă se cĂąliner, s'embrasser et s'Ă©battre en totale libertĂ© et tranquillitĂ©. Putain. VoilĂ un dĂ©sir intense de la part des deux amants. En faisant le compte ça serait vraiment magique. Magiiique... Et le bain aux pĂ©tales de roses... Aaaah... Ăa s'est de l'extase Ă l'Ă©tat pur. Plaisir il est vrai personnel et peut-ĂȘtre assez original mais... C'Ă©tait normal. Ils Ă©taient tout deux des ĂȘtres exceptionnels, il Ă©tait donc normal qu'ils agissent de façon spĂ©ciale et originale n'est-ce pas ? Non je n'ai pas la grosse tĂȘte. C'Ă©tait comme ça qu'ils se considĂ©raient les deux Serdys. Eh bah quoi ? Ăa pose un problĂšme Ă quelqu'un ? NahmĂ©oh. ferma les yeux, poussa un soupir d'envie ce qui eu pour but de lui faire venir une vague de frisson. Ouf. Il l'adorait cette fille... Il l'adorait... Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle... »Il l'enlaça de nouveau, l'embrassant. Leurs langues s'unir avec fluiditĂ© et vivacitĂ©. Sans quitter ces frissons, Atreus passa sa main sur la hanche de la jeune femme, caressant le bas du ventre de gestes sensuels. Alors lĂ , un autre dĂ©fi va commencer. Sans abandonner l'amour qui unit ces deux jeunes gens, on peut se demander qui va dĂ©shabiller l'autre le premier... DĂ©fi intĂ©ressant n'est-ce pas ? Asuka HaradaNombre de messages 305Age 31Maison SerdaigleMessage Perso L Tigrou, Nado, Thoms, Eva, Thib'... LAge du Perso 17 ansDate d'inscription 19/06/2007Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Dim 23 Mar 2008 - 1705 ... -Ah ma belle... Tu fais d'moi l'plus heureux des hommes aussi. Chaque jour je vois la chance que j'ai de t'avoir avec moi et... C'est assez jouissif » en vĂ©ritĂ© de savoir que j'ai la plus adorable des eut un petit rire en entendant ses paroles, son expression Ă elle sortir de sa bouche. Oui, c'Ă©tait jouissif en effet... Souriant tandis qu'il la prenait dans ses bras en lui caressant le dos, elle colla un peu plus son corps contre le sien, posant la tĂȘte sur son Ă©paule et, en fermant les yeux, rĂȘvassa un envie de partir avec toi. Envie de vacances tout les deux. Quelque part au sud, dans un palace en bord de mer. Je voudrais passer des heures dans tes bras, dans un bain bouillant au milieu de pĂ©tales de roses. Je veux des calĂźns sur la plage, sous le soleil, sur le sable chaud. Je te veux pendant des nuits entiĂšres dans une chambre magnifique digne des plus grands desserra son Ă©treinte pour plonger en elle son regard rĂȘveur, plein d'envie lui aussi. Lorsqu'il se mordit la lĂšvre infĂ©rieur, le regard perdu dans le sien, Asuka crĂ» mourir d'envie tant ses lĂšvres l'attiraient. Mais elle ne bougea pas. Parce-que, mĂȘme si elle pouvait le toucher et l'embrasser autant qu'elle le voulait, elle le voyait toujours comme cet objet sacrĂ© auquel elle l'avait comparĂ© la premiĂšre nuit Ă la bibliothĂšque. Quelque chose de fragile, de trop beau pour elle. Et il Ă©tait si craquant Ă se mordiller la lĂšvre ainsi qu'elle avait peur de le briser si elle faisait quoi que ce soit. Alors elle resta lĂ , Ă l'admirer. Lorsqu'il poussa son profond soupir rempli d'envie, elle crĂ» fondre sur place tant elle aimait quand il faisait Asuka... Je t'aime putain... Je t'aime de trop. 'Fin non. C'est jamais trop... Tu me comprend ma belle...-Oh oui je te comprend...Dit-elle avec un sourire en baissant les yeux, frissonnant. Oui, elle le comprenait... car elle aussi l'aimait, Ă s'en faire pĂ©ter le coeur... Mais comme il le disait, ce n'Ă©tait jamais trop... Non... on aime jamais trop. Elle leva les yeux vers lui et vit qu'il la regardait. Ses yeux... ses yeux bleus... Si elle devait choisir sa derniĂšre vision, sur son lit de mort, ce serait ces yeux. Ses yeux Ă lui, parce-que son regard vĂ©hiculait des tas d'Ă©motions Ă la fois. Parce-que son regard voulait tout dire. Parce-qu'Ă travers son regard, elle sentait qu'elle Ă©tait quelqu'un. Ils se regardĂšrent une longue seconde avant qu'il ne s'approche enfin pour l'embrasser. Basculant au dessus d'elle, il posa son coude Ă cĂŽtĂ© de la tĂȘte de la jeune femme, plaquant le dos de celle-ci sur le lit et sa tĂȘte sur le coussin confortable du jeune homme. Tandis qu'il l'embrassait en lui caressant le bas du ventre, les mains d'Asuka courraient sur ses Ă©paules et sur son torse, tandis qu'elle se courbait de plaisir sous ses caresses. Les gestes gardant toute leur sensualitĂ©, les baisers devinrent cependant de plus en plus fougueux tandis que l'envie ne cessait de monter en eux. Elle l'aimait. Elle l'aimait... Comme une folle. Oui, folle. Elle Ă©tait complĂštement dingue de ce mec. Son visage, son coeur, son corps, son humour, sa gentillesse, son regard... son regard... Asuka ouvrit les yeux entre deux baisers et, comme si il Ă©tait capable de lire dans ses pensĂ©es, il en fit de mĂȘme au mĂȘme instant. Leurs regards se croisĂšrent alors, et tout deux sourirent avant de reprendre le baiser plus passionement encore. En un regard ils se comprenaient. Leurs Ăąmes Ă©taient comme liĂ©es, ils Ă©taient... ils Ă©taient fait l'un pour l'autre. La belle commença Ă dĂ©boutonner la chemise de son homme. D'une main habile, habituĂ©e malgrĂ© elle, elle les dĂ©faisait d'une main tandis que l'autre caressait sa nuque ou Ă©bouriffait ses cheveux. Une fois la chemise dĂ©boutonnĂ©e, Atreus fit de lui mĂȘme coulisser le noeud de sa cravate, l'enlevant ensuite, avant de retirer sa chemise blanche, offrant Ă Asuka la vue de ce corps qu'elle dĂ©sirait plus que tout autre au monde. Atreus Ă©tait un excellent joueur de Quidditch. Et par surcroit, un jeune homme trĂšs bien montĂ©... Une fois torse-nu, il revint Ă elle, ne lui laissant pas une seconde de rĂ©pit. Et tant mieux... Posant ses coudes de part et d'autre de sa tĂȘte, sur elle, il l'embrassa fougueusement tandis qu'elle passa des caresses aux griffures dans son dos, ce qui sembla plaire au jeune homme sauvage, qui aida la jeune femme Ă enlever son pull et son dĂ©bardeur en mĂȘme temps, avant de descendre lui faire des baisers dans le cou. Se courbant sous le plaisir et les frissons, elle laissa tomber sa tĂȘte sur le coussin, fermant les yeux. Atreus descendit un peu plus, dĂ©posant des baisers au milieu de la poitrine de la jeune femme. Sentant la chaleur monter considĂ©rablement en elle, elle empoigna les cheveux du jeune homme tout en faisant courir ses ongles sur son Ă©paule, les yeux toujours fermĂ©s. Du plaisir... Rien que son corps contre le sien, rien que ces baisers la rendaient folle... Elle s'abandonnait Ă lui, elle Ă©tait toute Ă lui...DĂšs qu'elle l'avait vu, Ă la bibliothĂšque, elle l'avait dĂ©sirĂ©. Ce corps, pourtant pas forcement des plus musclĂ©s du collĂšge, lui avait fait quelque chose. Comme si... comme si dĂšs la premiĂšre fois elle avait su. Lorsqu'elle s'Ă©tait approchĂ©e de lui, elle avait vu ce visage, et ce regard... Au delĂ de ses pulsions d'envie, elle avait ressentit autre chose... d'autres pulsions... au coeur. C'est lĂ que tout avait commencĂ©. Lorsqu'en un regard, son coeur s'Ă©tait serrĂ©. Elle l'avait dĂ©sirĂ©, dĂ©sormais elle l'aimait. Ils s'aimaient. Bien plus que du sex, cet instant Ă©tait l'expression de leur amour. Asuka avait couchĂ© avec quelques garçons. Jamais elle n'avait prit tant de plaisir qu'avec Atreus. Parce-que jamais elle n'avait aimĂ© quelqu'un comme elle l'aimait lui. Tout son corps, tout son coeur rĂ©agissait rien qu'au son de sa voix, rien que lorsqu'elle entendait son nom... et quand elle le voyait... c'Ă©tait tout ses sens qui s'Ă©veillaient et s'Ă©merveillaient. LĂ encore, Ă cet instant sensuel et fougueux Ă la fois, elle ressentait autant d'amour que de plaisir. A chaque seconde, elle se retenait de lui crier qu'elle l'aimait. Atreus, qui avait continuĂ© son petit chemin, dĂ©posait dĂ©sormais des baisers sur le ventre plat de la jeune femme, qui se courbait sous les grandes inspirations qu'elle prenait. Du plaisir, encore du plaisir... Frissonnant sans arrĂȘt, les yeux fermĂ©s pour mieux sentir Atreus contre elle, pour mieux sentir chacune de ses caresses et de ses baisers. Puis il remonta jusqu'Ă ses lĂšvres, faisant glisser une des bretelles de son soutien-gorge le long de son Ă©paule. Asuka sourit. Cet instant qu'il venait de lui offrir, ces baisers tout le long de son buste, ses caresses... C'avait Ă©tĂ© un de ces plaisir... La belle avait envie de lui rendre, lui montrant elle aussi de quoi elle Ă©tait capable, bien qu'ils se soient dĂ©ja montrĂ© beaucoup de choses dans ce domaine...Posant les mains sur son torse, elle le poussa doucement, lui faisant comprendre que c'Ă©tait Ă son tour de s'allonger. Atreus ne se fit pas prier, souriant d'un air coquin, se laissant basculer sur le coussin. La jeune femme s'assit Ă cheval sur la taille du jeune homme, rejetant ses cheveux en arriĂšre avant de l'embrasser en lui mordillant la lĂšvre sensuellement. Elle sentit les caresses d'Atreus dans son dos. Chacunes d'elles excitait un peu plus la jeune femme qui descendit dĂ©poser Ă son tour des baisers sur le torse chaud du jeune homme. Joueuse, elle passa sa langue autour d'un tĂ©ton du jeune homme, puis dans son nombril. Remontant le long de son torse en faisant glisser sa langue sur chaque particule de sa peau se trouvant sur son passage, elle revint Ă ses lĂšvres et redescendit encore, faisant cette fois glisser son doigt sur sa peau, si lentement qu'il pouvait en avoir des frissons. Prenant tout son temps pour l'exciter encore et faire durer le plaisir, elle dĂ©tacha sa ceinture...Parce-que ces moments lĂ Ă©taient inoubliables. Parce-qu'elle l'aimait, parce-qu'elle le voulait en elle. Il Ă©tait dĂ©ja dans son coeur, dans sa tĂȘte... et elle en voulait plus. Toujours plus, jamais trop. Leurs Ăąmes ne faisaient qu'une, tout comme leur tĂȘte et leur coeur. Et lorsque leurs corps fusionnaient Ă leur tour, c'Ă©tait l'extase, l'Amour Ă l'Ă©tat pur... Contenu sponsorisĂ©Sujet Re L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] L'echappĂ©e PV Atreus <3 [NC -17] Page 1 sur 1 Sujets similaires» Vol PV Atreus » ENTRE 1 ET 10 pv Atreus» Come Break Me Down... PV Atreus» Rencontre amicale [PV Atreus]Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMĂFAITS ACCOMPLISâą Corbeille &&. ANCIENS RPSauter vers
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠COMMENCEMENT. Corbeille AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet There's an ocean between us , Sookie . Lun 31 Jan - 2331 SOOKIE & HANNAH 2oh. Hannah, avachie dans son canapĂ©, regardait la tĂ©lĂ©, paisiblement, s'ennuyant mĂȘme. Elle regardait sa sĂ©rie favorite, Scrubs, elle connaissait chacun des Ă©pisodes par cĆur et rĂ©citait mĂȘme quelques rĂ©pliques. Cette sĂ©rie avait le don de la faire rire, car elle lui rappelait les souvenirs Ă Vancouver avec Allan, son cousin. Ils passaient des nuits entiĂšre Ă regarder les Ă©pisodes les un aprĂšs les autres, et rigolaient ensembles, un morceau de pizza sur la table basse et bien souvent une biĂšre pour Allan. Mais ce temps Ă©tait rĂ©solu, elle Ă©tait bel et bien seul, devant sa tĂ©lĂ©, Ă regarder pour la Ă©niĂšme fois le baisĂ© entre Elliot et JD. Mais cette fois, aucun rire ne s'Ă©chappait de sa gorge, aucun sourire illuminait son visage, il y avait simplement une vingtaine de larmes, au bord de ses yeux prĂȘtes Ă couler. Ses yeux noisettes brillaient dans l'obscuritĂ© du petit appartement, et seul la voix des acteurs brisait le silence de la journĂ©e qui se mourrait. Hannah se sentait seule, bien trop seule pour ĂȘtre heureuse, pourtant ici c'Ă©tait le paradis. Enfin, un paradis sans ses repĂšres. Et sans Allan. Dans un survĂȘtement dont le port devrait ĂȘtre interdit pour toutes les mannequins du monde tant il Ă©tait immonde, la jeune femme empoigna son cellulaire qui traĂźnait prĂšs d'elle. Sans rĂ©flĂ©chir, elle composa le numĂ©ro de son cousin. Quelques tonalitĂ©s se firent entendre, Hannah mit le haut parleur, et on dĂ©ccrocha. "_ Allo ?", Hannah ne rĂ©pondit pas, Ă©clatant en sanglot. Sa voix Ă©tait si rĂ©confortante, elle aurait voulu qu'il soit lĂ , tout prĂšs d'elle, pour la consoler, elle voulait se sentir en sĂ©curitĂ©, dans ses bras, mais il Ă©tait Ă l'autre bout de la terre, loin d'elle. " _Hannah ? Est ce que tout va bien ? ", sa voix Ă©tait devenue un peu tendue, inquiĂšte. " _ Hannah, je t'entends pleurer, tes sanglots te trahisse, et s'il te plait parle moi .. " La jeune femme, d'un revers de manche, essuya les quelques larmes qui avaient couler le long de ses joues. " _ Allan .. je , j'arrive plus , j'en ai ma claque de ce pays , je veux revenir .. j'arrive pas sans toi .. mĂȘme les rĂ©pliques de Scrubs ne me font plus rire .. " Rien que de savoir que son cousin Ă©tait Ă l'autre bout du fil lui suffisait Ă sĂ©cher ses larmes et l'Ă©couter. Elle savait qu'il allait trouver les mots, comme Ă peu prĂšs tous les soirs. " _ Ma belle Hannah, je veux pas voir une Cartwhite abattue, tu entends ça ? Alors, tu va enlever ce probable sur-vĂȘte que tu porte et qui te fais un gros derriĂšre, et tu va enfiler une belle robe et tu va sortir ce soir. Pas dans un endroit craignos hein ! Dans un bar chic tiens ! Et tu va penser Ă ta nouvelle vie , bon sang Hannah ! Je t'ai vu sur les affiches d'Armani ! T'es incroyable et je laisserais pas un petit coup de blues te faire revenir et abandonner ce pour quoi tu es faite! De toute façon, si tu reviens, je t'ouvre pas la porte !" Hannah mĂȘla larme et rire. Il avait le don de la faire se sentir mieux. Le rire d'Allan raisonna Ă l'autre bout du monde et ils continuĂšrent de parler durant quelques dizaines de minutes et en raccrochant, Hannah se sentait un peu mieux. Mais surtout, elle Ă©tait prĂȘte Ă sortir, voir du monde, et elle se devait d'ĂȘtre souriante. Elle ne devait sous aucun prĂ©texte montrer aux autres ses faiblesses. Elle Ă©teignit la tĂ©lĂ©vision et fila dans la salle de bain. Elle prit une douche rapide, puis se prĂ©para de la tĂȘte aux pieds. Elle enfila une robe verte anis qui se mariait plutĂŽt bien avec ses cheveux blond. Un peu de rouge Ă lĂšvres, du maquillage dĂ©licatement apposĂ© et une paire d'escarpin noir. Quelques bijoux pour habiller le tout et voilĂ Hannah prĂȘte pour sortir. Elle aurait trĂšs bien pu promettre Ă son cousin qu'elle sortirait puis finalement rester chez elle mais si il y avait bien une chose qu'elle ne supportait pas c'Ă©tait bien de trahir la confiance de ses proches. Il avait rĂ©ussit Ă lui redonner de la motivation pour quelques temps et elle en profitait. Enfilant un manteau en lainage noir pour affronter le froid de la nuit, elle noua ensuite autours de son cou un foulard en soie qui la protĂ©gera des courants d'air baladeurs. Hannah, aprĂšs s'ĂȘtre parfumĂ©e un brin, empoigna son sac et quitta son appartement. Elle allait prendre un taxi et lui exiger de l'emmener dans un endroit huppĂ©. En moins d'un quart d'heure, la jeune femme se retrouva Ă l'entrĂ©e d'un bar qui semblait assez remplie pour ĂȘtre amusant mais pas trop craignos. Parfait. La jeune femme paya le taxi puis avant d'entrer dans le bar, elle souffla un bon coup, elle allait ĂȘtre souriante, froide avec les autres pour se protĂ©ger, elle allait se trouver une proie Ă croquer ce soir et elle s'amuserait bien. Plus facile Ă dire qu'Ă faire. VoilĂ une demi heure que la jeune femme Ă©tait assise au bar, elle avait dĂ©jĂ sirotĂ© trois vodka-pĂȘche et si ça continuait comme ça, elle n'allait pas faire long feu. Sa dĂ©prime avait repris le dessus et Ă prĂ©sent, elle ne pensait plus qu'Ă boire et se faire le mec qui Ă©tait au milieu de la piste, avec un fessier de rĂȘve et un dĂ©hanchĂ© Ă faire pĂąlir Elvis Presley. Hannah qui n'Ă©tait pas assez ivre pour l'aborder resta au comptoir, Ă critiquer les filles que son regard croisait. Il s'arrĂȘta d'ailleurs sur Sookie. Ahh ! Sookie ! La grande amie d'Hannah ! Une cruche oui ! Elle ne la supportait pas et elle allait peut ĂȘtre trouver sa distraction avec elle. DiscrĂštement, elle effaça d'un geste du doigt le Rimmel qui avait coulĂ© sous ses yeux et elle se repoudra les joues afin d'ĂȘtre plus pimpante. MalgrĂ© sa tristesse, un sourire de peste s'afficha sur ses lĂšvres. Son regard s'arma, hautain et glacial et elle observa Sookie jusqu'Ă ce que celle ci daigne poser les yeux sur elle. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 FĂ©v - 1543 Pourquoi Ă©tait-elle dans un bar alors quâelle nâĂ©tait mĂȘme pas sensĂ©e ĂȘtre ici ? Ah ouais ! Elle sâen souvenait maintenant⊠Il avait fallut que la plupart des stripteaseuses de la boite oĂč elle travaillait veuillent fĂȘter lâarriver dâune toute nouvelle recrue dâune douceur Ă faire pĂąlir toutes les petites saintes ni touche du coin⊠Cette fille Ă©tait du genre Ă ĂȘtre parfaitement calme, un sourire enfantin, un visage doux et un grand regard bleu ocĂ©an dans lequel on pouvait se perdre en quelques secondes mais derriĂšre toutes cet attirail enfantin se cachait une vraie petite peste chaude comme la braise⊠Bah quoi ?! CâĂ©tait lâentiĂšre vĂ©ritĂ© et savoir quâelle allait faire partie du groupe nâĂ©tait pas quelque chose qui enchantait vraiment une jeune femme aussi calme que Sookie. Câest vrai ! AprĂšs tout, lâentier personne de Bella Ă©tait bien montĂ© sur toute la douceur de la jeune femme, sa pudeur et sa douceur⊠Si une autre venait Ă prendre sa marque de fabrique et y apportait sa touche personnelle alors elle nâaurait bientĂŽt plus de clients du tout ! Quoi que⊠Il fallait avouer quâon pouvait bien deviner quelques vergetures sur ses cuisses plutĂŽt rondouillettes alors si un homme prĂ©fĂ©rait ce genre de femme, quâil la prenne mais Sookie savait une chose Les hommes la choisissait plus sur son physique irrĂ©prochable, ce quâelle pouvait dĂ©gager dans son attitude que nâimporte quoi dâautre chez elle⊠Et oui, Sookie Ă©tait ce genre de femme qui passait trois heures Ă se prĂ©parer chaque soir parce que câĂ©tait bien lĂ son secret pour avoir le plus dâargent possible et de pouvoir se permettre de prendre certains soirs pour pouvoir rester au calme chez elle Elle ne comptait que sur une seule chose Son physique de rĂȘve, sa peau lisse et douce, son visage dĂ©licieux, son ventre plat et la beautĂ© des dessous quâelle pouvait porter⊠Tout nâĂ©tait quâapparence dans son monde et câĂ©tait sĂ»rement pour ça quâelle portait Ă chaque striptease une perruque rose et des lentilles bleues⊠Outre le fait que câĂ©tait pour cacher son identitĂ© aux hommes qui venaient profiter du spectacle, câĂ©tait aussi pour attirer lâattention avec le rose et capter les regards avec le bleu⊠FutĂ©e la belle hein ! Elle savait dâailleurs ce qui plaisait aux hommes parce que dĂ©s quâelle voyait la satisfaction dans les regards elle retenait ce qui a plu et lâutilisait Ă bon escient et câest ainsi quâelle gagnait autant dâargent, en vendant son corps de façon tout Ă fait dĂ©gradante mais plus que lucrative ! Intelligente, elle aurait finalement pu devenir avocate mais quâimporte, elle avait finit stripteaseuse et elle ne pouvait plus revenir en arriĂšre aujourdâhui parce quâelle ne dĂ©pendait que de ces soirĂ©es pour vivre et si elle voulait reprendre ses Ă©tudes, il Ă©tait un peu trop tard sachant que les Ă©tudes de droit Ă©taient plutĂŽt longues⊠Non ? Et bien oui trĂšs cher ! Et ça, elle en avait entiĂšrement conscience et câest sĂ»rement pour cette raison que la jolie demoiselle avait dĂ©cidĂ© que si elle prenait le boulot de stripteaseuse, sâen Ă©tait fini de tous ces plans de carriĂšre quâelle avait pu faire dans sa jeunesse⊠Et elle lâavait fait ! Aujourdâhui ses parents croyaient quâelle Ă©tait une serveuse tout ce quâil y a de plus respectable alors quâen rĂ©alitĂ© elle Ă©tait une stripteaseuse plutĂŽt connue dans le monde de la nuit et plutĂŽt quottĂ©e qui Ă©tait payĂ©e Ă lâheure et ça, câĂ©tait du luxe ! Finalement, elle sâen sortait plutĂŽt bien, elle ne connaissait que trĂšs peu de monde Ă Sidney et vivait surtout la nuit, une vraie noctambule qui se dĂ©cide parfois Ă aller faire les courses aprĂšs le boulot, couverture dâune couche de maquillage impressionnante qui pouvait parfois surprendre la caissiĂšre qui restait lĂ Ă la fixer comme si elle Ă©tait une folle sortie de lâasile alors quâen rĂ©alitĂ© elle sortait seulement du boulotâŠPourquoi avait-il fallut quâelle accepte cette foutue invitation pour lâarrivĂ©e dâune nouvelle peste dans la bande ?! Elles avaient toujours Ă©tĂ© un groupe de cinq jeunes femmes, les meilleures dans la boite oĂč elle travaillait, elles ne sortaient jamais ensembles mais dĂ©s quâelles se croisaient, elles sâadressaient un petit clin dâĆil significatif. Elles ne se cĂŽtoyaient que dans la boite alors pourquoi faire diffĂ©remment pour une idiote ?! Le regard plongĂ© dans son verre de Whisky pur, la jeune femme se demandait ce que faisait quelquâun dâautre⊠Sâil bossait ce soir, si elle pouvait peut-ĂȘtre lâappeler histoire quâils se voient au lieu quâelle se fasse chier ici avec une bande de tarĂ©es idiotes qui sâĂ©taient mises Ă danser dans un coin du bar pendant quâelle, elle restait assise au bar Ă se regarder dans le reflet marron du liquide dans son verre. VDM⊠Elle en avait marre de cette vie, elle en avait marre de porter des dessous un peu trop petits pour elle histoire dâallumer toute une bande de connards qui ne voulaient quâelle, son corps et non la connaĂźtre⊠Caleb⊠Heureusement quâil nâavait pas voulu ça dâelle sinon il serait mal tombĂ© et il serait sĂ»rement retournĂ© bien vite dans son coin tellement elle dĂ©testait ce genre de choses⊠Baissant vite fait sa robe sur ses cuisses, la jeune femme soupira, elles lâavaient naturellement obligĂ©e Ă sortir un Jeudi soir, alors que ce soir-lĂ elle restait toujours chez elle dans des vĂȘtements trop grands pour elle. LĂ , elle portait une robe collante, noire qui attirait les regards, chose quâelle dĂ©testait par-dessus tout, elle avait du se maquiller pour une nulle⊠GĂ©nial ! Elle aurait peut-ĂȘtre pu dire non aprĂšs tout, elle aurait seulement eut Ă dire quâelle ne pouvait pas, quâelle sortait avec quelquâun⊠Pour quâon lâemmerde encore plus et lui demande qui Ă©tait ce fameux rendez-vous et plus dĂ©tails pour ensuite le lui piquer⊠Non, dĂ©cidĂ©ment, elle nâallait sĂ»rement pas parler de Caleb Ă personne, elle allait le garder seulement pour elle, comme un souvenir dĂ©licieux quâon laisse revenir en mĂ©moire seulement lorsquâon veut ĂȘtre heureux. Dâailleurs, celui-ci lui revint bien vite en mĂ©moire et elle finit par sourire bĂȘtement Ă son verre avant de relever les yeux vers le serveur qui lâobservait depuis quelques minutes dĂ©jà ⊠Je crois vous connaĂźtre⊠». Oups⊠Non, non, non ! Elle ne pouvait pas ĂȘtre reconnue aussi facilement ! Elle eut un petit sourire gĂȘnĂ© et fronça les sourcils, faisant dĂ©jĂ dĂ©filer la centaine de visage dâhommes Ă qui elle avait bien pu faire un striptease, cherchant si cet homme lâavait reconnue ou si il lâavait seulement vue un jour auparavant en la bousculant ou quelque chose comme ça⊠Pourtant, il ne figurait pas du tout sur sa liste noire alors qui Ă©tait-il⊠La jeune femme finit par hausser les Ă©paules avec un sourire entendu avant de dire dâune voix presque dĂ©daigneuse sans rĂ©ellement le vouloir Oh vous savez, jâai un visage plutĂŽt commun⊠». Baissant Ă nouveau son regard sur son verre, elle soupira vivement pendant que lâhomme en question sâĂ©clipsait au profit de ses clients. Elle avait eut chaud aux fesses parce que sâil se mettait Ă hurler dans tout le bar quâelle Ă©tait une stripteaseuse, elle se sentirait bien conne comme fille ! Sa vie Ă©tait en jeu, personne ne devait savoir qui elle Ă©tait la nuit, au boulot. Se retournant, la jeune femme se permit un regard vers la bande de fille se dĂ©hanchait Ă prĂ©sent comme des chaudasses devant une bande dâhommes assoiffĂ©s⊠Apparemment, elle nâen avait pas assez de leur boulot, il fallait quâelles continuent en dehors, et en plus, sans ĂȘtre payĂ©es ! Finalement, elle Ă©tait trĂšs bien au bar, au calme, pas du tout embĂȘtĂ©e par une bande de folles, dâailleurs, câĂ©tait comme si elle nâexistait plus du tout et ça câĂ©tait trĂšs bien pour elle ! Manquerait plus quâelles lui disent de venir se trĂ©mousser et lĂ elle se mettait Ă hurler en sâaccrochant au bar pour ne jamais y aller⊠Tiens⊠Alors quâelle se retournait vers le bar, la jeune femme aperçu une jolie blonde quâelle reconnu immĂ©diatement⊠Hannah⊠Mais que faisait-elle seule au monde dans un bar ?! En tout cas, elle nâallait pas lui parler Ă©tant donnĂ© quâelle Ă©tait toujours lĂ pour la descendre et que, franchement, ce soir elle nâavait pas trop envie de se faire emmerder par la reine des petites pestes⊠Elle baissa donc rapidement son regard vers son verre en espĂ©rant pour quâelle ne lâait pas vue et pour quâelle ne dĂ©cide pas de se pointer par ici⊠Sinon, ça allait finir en carnage⊠InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mar 15 FĂ©v - 2120 Ce bar aux allures chic avait finalement un fond qui agaçait Hannah. Ce genre de pseudo bar moderne oĂč la fausse luxueuse jeunesse passaient leurs soirĂ©es. Hannah n'Ă©tait pas issue d'une famille trĂšs riche, elle venait d'une famille plutĂŽt aisĂ©e certes mais qui exerçait dans le domaine artistique. Hannah n'avait pas Ă©tĂ© habituĂ© au soirĂ©e mondaine, au champagne Ă gogo et aux robes de crĂ©ateurs. Elle avait grandit entre deux sĂ©ances photos de son pĂšre et les piĂšces de théùtre de sa mĂšre. Pourtant, aujourd'hui, Hannah agissait comme une garce, elle se rebellait contre ce monde qui lui avait enlevĂ© sa sĆur. Elle voulait faire souffrir les autres autant qu'elle avait souffert. Elle se protĂ©geait aussi, devenant insupportable, faisant rager les autres femmes en allumant leurs conjoints, et se faisant passĂ© pour la salope de service. Cette carapace de haine permettait Ă Hannah de tenir le coup, de ne pas s'effondrer. Elle s'interdisait de craquer, elle devait ĂȘtre forte. C'Ă©tait ce qu'Allan lui avait dit, c'Ă©tait le seul sur cette terre qui connaissait Hannah ainsi, faible, dĂ©truite et rongĂ©e. Lui seul avait le don de la motiver, lui seul pouvait la consoler. Il Ă©tait le seul Ă connaĂźtre la Hannah dĂ©truite qui s'endormait en sanglot le soir et qui souffrait chaque seconde. Toute la superficialitĂ© qui se dĂ©gageait d'Hannah Ă©tait fausse, elle n'Ă©tait pas une fille comme ça, loin de lĂ . Ce soir, elle se fichait bien de la beautĂ© de la robe Armani qu'elle avait sur les Ă©paules , tout autant que ses Louboutins qui lui faisait mal aux pieds. Elle Ă©tait ici avant tout pour aller mieux. Elle devait optimiser. Elle respira un bon coup puis le sourire qu'elle avait perdu s'afficha sur son visage rempli de malice et de mĂ©chancetĂ©. Elle venait de croiser le regard de Sookie. La jeune brune Ă©tait au bar, un peu plus loin. Hannah l'avait bien Ă©videmment vu et elle s'apprĂȘtait Ă lui faire une petite crasse, rien de bien mĂ©chant, juste amusant. Avant d'agir, Hannah commanda un nouveau verre de vodka songeant Ă sa future Hannah et Sokkie ce n'Ă©tait pas l'amour fou. En fait, c'Ă©tait Hannah qui l'avait pris dans sa ligne de mir. Elle Ă©tait un peu son souffre douleur. Elle passait ses nerfs sur elle, sans scrupules. Sookie et Hannah ne se connaissait mĂȘme pas et en y rĂ©flĂ©chissant bien, Hannah ne connaissait rien d'elle hormis son prĂ©nom qui avait, soit dit en passant, le don de l'agacer. Elle ne se souvenait pas oĂč et comment elles s'Ă©taient rencontrĂ©es mais elle s'en fichait pas mal. Son seul but et sa seule envie c'Ă©tait de voir l'angoisse et la panique dans les yeux noisettes de la jeune brune. S'enfilant avec rapiditĂ© sa vodka, Hannah commanda un coktail Ă base de grenadine et de gin. Elle se leva, empoignant sans une main son sac et dans l'autre le verre. Prenant la direction de Sookie, elle arma son regard d'innocence puis arrivĂ© Ă sa hauteur, elle fit mine de trĂ©bucher puis versa "par inadvertance" le liquide carmin sur la robe de la jeune femme. Lançant un regard faussement dĂ©solĂ©, Hannah porta sa main Ă sa bouche et lĂącha un "-Opps !" avant de retrouver un air plus hautain, satisfaite de son petit coup, elle lança un regard victorieux et rempli de haine, un sourire diabolique aux lĂšvres. Elle attendait sa rĂ©action, entendant dĂ©jĂ les commentaires des personnes aux alentours qui avaient vu la scĂšne. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Dim 6 Mar - 1553 La honte⊠La honte cuisante⊠Celle qui rend vos joues rouges tomates et qui vous porte les larmes aux yeux jusquâĂ ce quâenfin, celles-ci se mettent Ă couler sans que vous ne puissiez une seule seconde les retenir parce que, de toute façon, il nây a rien dâautre Ă faire Ă part ça Pleurer. Sookie ne lâavait jamais vraiment ressentie, la honte. AprĂšs tout, lorsquâon est miss catastrophe, on ne peut dĂ©cemment pas avoir honte Ă chaque petite chose qui vient nous gĂȘner tout simplement parce quâon fait trop dâerreurs gĂȘnantes et quâĂ force on nous prendrait pour un arrosoir Ă larmes. Avouons quand mĂȘme que pour sa dĂ©fense, la plupart du temps, ce nâĂ©tait pas vraiment Sookie qui commettait une bourde mais plutĂŽt les gens autour qui avaient deux pieds gauches ou bien deux mains gauches⊠Finalement, les seules rĂ©elles bourdes de sa part se passaient chez elle, lorsquâelle Ă©tait seule et que personne ne pouvait vraiment la voir, Ă part si elle avait des camĂ©ras ou que ses voisins pervers la regardaient de chez eux avec des jumelles⊠Mais franchement elle nâespĂ©rait pas vraiment ĂȘtre Ă©piĂ©e nuit et jour par ses voisins pervers ! Enfin bref, la derniĂšre bourde en date avait dâailleurs Ă©tĂ© vue par un jeune homme qui avait Ă©tĂ© invitĂ© chez elle Ă la suite dâune soirĂ©e merveilleuse, elle avait lĂąchĂ© un verre sans vraiment le faire exprĂšs, le brisant en mille morceaux et devant se mettre Ă quatre pattes histoire de le ramasser, le comble avait Ă©tĂ© lorsquâelle sâĂ©tait coupĂ©e et avait du lui avouer quâelle Ă©tait fortement sensible au sang et quâelle nâallait pas tenir debout, lĂ câĂ©tait vraiment la honte, pour une toute petite blessure de rien du tout, elle avait dĂ©jĂ la tĂȘte qui tournait et devait montrer ses faiblesses Ă un parfait inconnu. Mais la rĂ©elle raison pour laquelle Sookie nâavait pas vraiment honte en publique, câest parce quâelle Ă©tait devenue anormalement attentive Ă chaque dĂ©tails du monde qui lâentourait dĂ©s quâelle sortait de son appartement, ainsi, elle pouvait se pousser dĂ©s quâune femme déçue enverrait son verre dans la tĂȘte de son compagnon sans faire une seconde attention Ă la demoiselle qui se trouve juste derriĂšre et qui nâa mĂȘme pas demandĂ© Ă ĂȘtre arrosĂ©e. Sookie Ă©tait devenue un Ćil de lynx qui regardait partout, tout le temps, mĂȘme au travail, elle avait dĂ©veloppĂ© un sixiĂšme sens histoire de savoir si un client faisait tomber son verre par inadvertance sur la scĂšne et quâelle pouvait risque de glisser sur lâalcool. Ainsi, la jeune demoiselle Ă©tait lâune des personnes les plus prĂ©cautionneuses de la ville, ne sâaventurant pas nâimporte oĂč, nâimporte quand avec nâimporte qui sans savoir si elle pourrait faire une bĂȘtise qui lui mettrait la honte. Malheureusement pour elle, la jeune femme nâĂ©tait pas encore protĂ©gĂ©e contre les sales garces qui venaient dĂ©libĂ©rĂ©ment essayer de lui mettre la honte seulement pour lui en faire voir plein la tronche. Et ouais, depuis toujours, Sookie Ă©tait un aimant Ă boulets du type high level » qui dĂ©cidaient de venir lui pourrir sa vie seulement parce que son corps de rĂȘve et son joli visage ne leur plaisait pas, comme si elle avait demandĂ© autant dâattention. Dâailleurs, Sookie nâavait jamais demandĂ© autant dâattention, de nature plutĂŽt effacĂ©e, Sookie Ă©tait ce genre de fille dĂ©brouillarde qui ne demande Ă personne de lâaide, qui fait tout toute seule, qui nâen tire aucun mĂ©rite et qui Ă©vite tout le temps de faire parler dâelle, surtout au niveau du travail parce quâelle savait que dans le monde du striptease, dĂ©s quâon commence Ă parler une seule fois de vous, on ne vous lĂąche plus et surtout, on veut absolument avoir qui vous ĂȘtes rĂ©ellement et ça, Sookie nâen voulait surtout pas ! Et pourtant, il fallait que ses priĂšres ne soient pas entendues⊠Non, parce que si le tout puissant lâavait rĂ©ellement Ă©coutĂ©e lorsquâelle lui disait quâelle nâavait vraiment pas besoin dâune petite idiote sur ses Ă©paules, elle nâaurait pas eut le droit Ă cette magnifique rencontre avec Hannah, la pimbĂȘche de service qui se croit meilleure que toutes les autres sous prĂ©texte quâelle a plus dâargent, des fringues de crĂ©ateur et quâelle est mannequin ! Une sorte de rivalitĂ© sâĂ©tait instaurĂ©e sans que Sookie ne le demande, comme si elle Ă©tait cette petite saint ni touche que Hannah avait toujours cherchĂ© afin de lui pourrir littĂ©ralement la vie, jusquâau bout, en y prenant un rĂ©el plaisir au passage ! Pourtant la demoiselle ne semblait pas si pimpante quâelle nây paraissait, pire encore, Sookie se demandait si elle Ă©tait rĂ©ellement ce quâelle prĂ©tendait ĂȘtre dans son apparence histoire de faire voir au monde quâelle va trĂšs bien alors quâen rĂ©alitĂ©, elle ne va pas bien du tout. Câest ainsi que lorsque ce soir la jolie brune sâĂ©tait dĂ©cidĂ©e Ă suivre ses copines stripteaseuse, elle ne sâĂ©tait pas vraiment attendue Ă ĂȘtre bien servie si elle croisait ladite Hannah. Elle avait acceptĂ© sans rĂ©ellement le vouloir, se disant que ça la changerait un peu de son appartement vide, quelque chose qui sort du commun en fait. AprĂšs tout, elles avaient bien raison en lui disant quâelle devrait sortir plus souvent et exhiber son joli minois autre part que dans cette boite de striptease oĂč on ne la reconnaissait mĂȘme pas au passage. Elle devait penser un peu Ă vivre, le plus important Ă©tant quâelle avait aujourdâhui vingt-trois ans et quâil Ă©tait temps de mettre le passĂ© derriĂšre elle et que vivre avec le prĂ©sent sans ne plus avoir peur de mal tomber parce quâaprĂšs tout, elle avait toujours la possibilitĂ© dâappeler Caleb si elle prenait peur de quelque chose, il aurait peut-ĂȘtre le temps de la rassurer avant de revenir Ă son travail, vu que le travail dâun policier Ă©tait bien de rassurer parfois des personnes qui ont peur aprĂšs une agression qui les auraient marquĂ©s ! Enfin bon, ce soir elle Ă©tait de sortie et espĂ©rait vivement ne pas voir miss pimbĂȘche une seule fois parce que sinon elle pouvait sâattendre au pire ! Et pourtant, aprĂšs quelques temps passĂ©s seule au bar, accoudĂ©e Ă celui-ci, un verre bien vissĂ© dans sa main comme si le but de cette soirĂ©e Ă©tait plus de boire que de sâamuser avec ses collĂšgues qui se croyaient en boite de nuit et qui dansaient comme des prostituĂ©es sur la piste de danse, lui mettant une lĂ©gĂšre honte dâavoir dĂ©cidĂ© de les suivre ce soir⊠Dans sa tĂȘte, elle se rĂ©pĂ©tait encore et encore Je ne le connais pas, je ne les connais pas⊠» et priait pour quâelles ne se dĂ©cident pas Ă venir lâinciter Ă danser elle aussi pour ne pas que les gens osent porter le regard vers elle, lĂ ce serait une vraie honte cuisante parce quâen rĂ©alitĂ©, Sookie savait se dĂ©hancher, certes, mais danser, non⊠Et puis câest alors quâelle la vit, assise Ă lâautre bout du bar, avec un verre dans les mains, la menace Ă©tait bien prĂ©sente. MERDE ! Elle espĂ©rait vainement ne pas avoir Ă©tĂ© repĂ©rĂ©e mais câĂ©tait peine perdue, cette Hannah avait des yeux partout et avait le don de la voir nâimporte oĂč Ă nâimporte quelle heure de la journĂ©e et de lui faire les pires crasses. Ainsi, Sookie resta les yeux baissĂ©s, priant pour ne pas avoir Ă lui adresser la parole, commandant un nouveau verre aprĂšs avoir vidĂ© le sien. Elle dĂ©testait avoir Ă se cacher de quelquâun sous prĂ©texte quâelle ne voulait pas crĂ©er de conflit et pourtant câĂ©tait ce quâelle avait toujours fait, elle ne voulait surtout pas dâennemis, sa politique Ă©tant que les ennemis nâĂ©taient faits que pour vous pourrir la vie, ce que faisait trĂšs bien Hannah dâailleurs ! En parlant de la blondinette, celle-ci se ramenait par ici avec un verre dans la main, la jolie brune ne bougea pas mais bientĂŽt Hannah fit semblant de faire tomber lâentiĂšretĂ© du verre dans son dĂ©colletĂ©, Sookie sentant le liquide glisser sur sa poitrine. Elle ne pu retenir un petit cri de surprise avant de sentir une nuĂ©e de regards portĂ©s sur elle, certaines personnes riaient, dâautres se demandaient ce quâil se passait, un serveur apportait bien gentiment une serviette Ă la jolie demoiselle qui lui sourit avant de prendre la serviette, le remerciant du regard. Elle nâen croyait pas ses yeux ! Mais pour qui elle se prenait celle-lĂ de venir lâarroser de cette façon ! Nâavait-elle pas de classe ?! Sookie se mit alors Ă rire contre toute attente avant de fixer Hannah et de lui dire dâune voix douce Je me demandais⊠Pourquoi tu tâacharnes sur moi ? Est-ce que je suis seulement un dĂ©fi, une façon de te prouver Ă toi-mĂȘme que oui, tu peux ĂȘtre une garce ? Ou bien est-ce seulement pour voir jusquâĂ quel niveau de la connerie tu peux aller ? Parce que franchement, la moitiĂ© des personnes prĂ©sentes savent que tu en a fait exprĂšs⊠Tâaurais pu avoir le cran de faire mieux⊠». Attrapant son verre la jolie brune le lança en plein dans le visage dâHannah avant de lui tendre bien gentiment la serviette et de lui dire aprĂšs un petit clin dâĆil Comme ça par exemple ! Au moins tâaurais eut lâair dâavoir du caractĂšre⊠Grandis Hannah⊠Et cherche ce qui va pas dans ta petite cervelle⊠» InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . Mer 16 Mar - 2106 Parfois Hannah essayait de comprendre pourquoi elle Ă©tait devenue aussi mauvaise. La question n'Ă©tait pas simple mais pourtant la rĂ©ponse Ă©tait Ă©vidente. La pĂ©riode la plus sombre de la vie d'Hannah n'Ă©tait autre que la mort de sa sĆur jumelle. Elle devait le reconnaĂźtre, elle n'Ă©tait jamais sortie de cette pĂ©riode, elle y sombrait un peu plus chaque jour malgrĂ© l'aide d'Allan. En soit, elle ne s'Ă©tait jamais remise de l'absence de sa soeur. A la seconde oĂč le cĆur de Colleen avait cessĂ© de battre, celui d'Hannah s'Ă©tait vidĂ© d'amour et d'espoir laissant place Ă l'incomprĂ©hension et la colĂšre. Sa moitiĂ© venait de partir, alors qu'elle n'avait que 12 ans. A partir de ce moment, Hannah Ă©tait passĂ© par plusieurs stade. D'abord le deuil, long et douloureux, il avait durĂ© plusieurs annĂ©es. A quinze ans, Hannah avait des envies de rejoindre sa sĆur, pour ne plus souffrir. Mais on lui avait toujours empĂȘchĂ©. Elle s'Ă©tait alors rendu compte que son deuil n'Ă©tait pas achevĂ© et qu'elle n'avait plus qu'une seule solution pour survivre, elle devait se cacher derriĂšre une carapace de mĂ©chancetĂ©, afin de se protĂ©ger. C'est ce qu'elle fit, jusqu'Ă maintenant encore. Elle Ă©tait dĂ©testable, peste, mĂ©chante, garce; tout ce qui Ă©tait nĂ©cessaire afin d'ĂȘtre forte. Elle prĂ©fĂ©rait paraĂźtre odieuse plutĂŽt que d'ĂȘtre faible et d'attirer la pitiĂ©. Pas question de pleurer devant quelqu'un hormis Allan. Ce n'Ă©tait pas marrant pour lui de devoir supporter la tristesse et les plaintes incessantes de sa cousine. Mais il Ă©tait de loin l'homme le plus comprĂ©hensif de la terre et surtout le cousin le plus gĂ©nial de l'univers. Hannah Ă©tait consciente de la chance qu'elle avait d'avoir Allan mĂȘme si elle vivait plutĂŽt mal l'Ă©loignement. Il lui avait presque ordonnĂ© ce soir de sortir et au vu de l'Ă©volution des Ă©vĂšnements, Hannah ne regrettait en rien d'ĂȘtre sortie dans ce bar. Son regard s'Ă©tait posĂ© sur Sookie. Une jeune femme dont elle ne connaissait que le prĂ©nom, Ă vrai dire. Mais peu importe, elle Ă©tait une bonne proie qui n'avait pas tellement de moyen de defense. C'est du moins ce que pensait Hannah. Les lionnes attaquaient toujours les gazelles blessĂ©es et aux yeux d'Hannah, elle Ă©tait la lionne et Sookie la gazelle. Une proie facile et amusante. Ni une, ni deux, aprĂšs s'ĂȘtre re-blushĂ©e les pommettes et effacer les dĂ©buts de larmes, Hannah avait frappĂ©. Renversant son verre sur la belle robe de Sookie. Son geste Ă©tait bien Ă©videmment volontaire et tout le monde avait pu le constater. Hannah essaya d'imaginer ce que dirait Allan en la voyant faire. Il ne serait pas fier certes mais il savait pourquoi Hannah se comportait de cette façon, il ne pouvait donc pas lui en vouloir. Bien Ă©videment, elle omettrait de lui raconter cet Ă©pisode une fois au tĂ©lĂ©phone quoi que Hannah Ă©tait fiĂšre de sa petite personne en faisant une telle chose. Une petite voix dans le fond de sa tĂȘte la fĂ©licitait et elle Ă©tait contente de voir que finalement elle s'amusait bien. Sookie sembla choquĂ©e et son regard si particulier rĂ©galait la mĂ©chancetĂ© de la belle Cartwhite. Comment allait-elle rĂ©agir ? Hannah n'attendait que ça , voir la rĂ©action de la brune et en rire. Rien ni personne ne pouvait l'atteindre, les paroles blessantes, les actes violents ou dĂ©gradants.. tout ça lui passait au dessus de la tĂȘte et elle trouvait toujours les mots pour rabaisser son interlocuteur. L'unique chose qui ferait qu'Hannah s'effondre n'Ă©tait autre que le sujet extrĂȘmement sensible.. la mort de sa sĆur. Mais personne ici n'Ă©tait au courant , elle tentait donc d'y penser le moins possible pour ne pas se trahir. Sookie prit alors la parole, envoyant au visage d'Hannah des mots bien trop doux pour atteindre Hannah. Portant le bord du verre vide Ă ses lĂšvres, un sourire de peste et hautain dessina sa bouche. L'attaque de Sookie Ă©tait prĂ©visible et elle n'Ă©tonna qu'Ă moitiĂ© la jeune blonde. Elle Ă©tait certes couverte de cocktail mais elle te flancha pas. Il fallait bien plus pour faire tomber la jeune femme. Ignorant la serviette que Sookie lui tendait, elle passa dĂ©licatement sa main sur sa joue afin d'enlever une goute d'alcool parmi les milliers qui se trouvait sur son visage, ses cheveux et son cou. Elle arma son regard de mĂ©chancetĂ© et de froideur, elle laissa une seconde de silence s'Ă©couler puis prit la parole, d'un ton calme mais terriblement Tu sais la diffĂ©rence entre toi et moi Sookie, hormis le fait que tu portes des vĂȘtements de la saison derniĂšre, c'est que moi, mĂȘme avec mes cheveux trempĂ©s et mon maquillage dĂ©goulinant, je reste classe. Tout vas trĂšs bien pour moi, c'est gentil de t'en inquiĂ©tĂ©, quant Ă toi, je m'en fou, mais sache que ce verre que je t'ai lancĂ© Ă la figure est bien loin d'ĂȘtre le dernier. Je suis pas immature, je ne t'aime pas c'est tout, fais toi une raison. Et je ne te lĂącherais pas, imprime bien ça dans ta petite tĂȘte de faible fille qui pense ĂȘtre mieux que les autres alors que trĂšs sincĂšrement, tu ne m'arrive pas Ă la cheville. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re There's an ocean between us , Sookie . There's an ocean between us , Sookie . Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum COMMENCEMENT. Corbeille
-33% Le deal Ă ne pas rater Jumbee Roundnet â Jeu de plein air Ă 29,99⏠⏠⏠Voir le deal Immortel Paris L'Ange-Cornu +2SunieAriana6 participantsAller Ă la page 1, 2 AuteurMessageArianaNombre de messages 123Ordre Seth...Date d'inscription 20/08/2007Sujet Comme jadis... Dim 24 Jan 2010 - 1709 La seth Ă©tait confortablement installĂ©e, assise dans l'un des salons privĂ©. Elle devinait que son compagnon prĂ©fĂšrerais l'ambiance plus rĂ©servĂ©, et surtout, l'absence de regards dĂ©sagrĂ©ables. Bien assise sur les coussins moelleux, car chaque salons avaient un ameublement diffĂ©rent, elle buvait tranquillement un verre d'absinthe, souriant de ses dents de fauve, sa langue fourchue de vipĂšre dardant l'air autour d'elle. DĂ©cidĂ©ment, elle se sentait bien a Paris. Mais il faisait trop froid...dĂ©cidĂ©ment. Et dans ces moments ou la tempĂ©rature extĂ©rieure Ă©tait trop basse, la seth se trouvait dans un Ă©tat semi comateux, seul ses yeux se dĂ©plaçant, observant les alentours. LovĂ©e, elle attendait. Et qui d'autre que ClĂ©menceau venait la dĂ©ranger aurait affaire a elle...Mais qui voudrais se frotter a une dame a l'allure d,assassin? Et comme il n'y avait que trĂšs peu de moltanor en ville, pas la peine de s'angoisser. Rare Ă©tait les immortels qui apprĂ©ciait la compagnie des seths et de leur allure de serpents. Et ce n'Ă©tait pas aujourd'hui qu'ils allaient faire diffĂ©rent. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Ven 29 Jan 2010 - 1848 La lourde porte de l'Ange Cornu s'ouvrit aprĂšs un court Ă©change verbal entre le portier et quelqu'un qui cherchait apparemment Ă entrer. Sunie passa alors le cadre pour enfin rĂ©ussir Ă entrer dans l'auberge d'immortels, Ă peine eu-t-elle fait un pas que, tout en fermant la porte, SamaĂ«l lui dit"Je doute d'avoir fait le bon choix en te laissant entrer, j'ai une mauvaise impression Ă ton propos, sans compter que ton mot de passe n'est plus valide. La seule chose qui fait que je te laisse entrer est que tu est une immortelle sans aucuns doutes et que ton visage me dit quelque chose, n'oublie pas le mot de passe que je viens de te dire car je ne serais pas aussi clĂ©ment la prochaine fois."Sunie acquiesça et observa un peu l'intĂ©rieur avant de s'y avancer. Elle avait changĂ©, Ă peine quelques mois avaient passĂ©s depuis que Vilya lui avait rendu l'usage de ses jambes et elle marchait dĂ©jĂ comme avant. Sa silhouette avait changĂ© d'autant qu'elle arrivait Ă se tenir droite maintenant, sa posture ne trahissant plus son ancien handicap. Elle portait un Ă©pais manteau de fourrure de castor qui lui arrĂȘtait aux genoux pour se tenir au chaud. Ses cheveux noirs semblaient avoir encore pris en taille, arrĂȘtant autrefois Ă ses hanches, elle les arboraient maintenant jusqu'Ă la mi-cuisse tout en les laissant dĂ©tachĂ© en permanence. Elle portait son traditionnel maquillage rouge et avait fait particuliĂšrement attention Ă ne pas manquer un seul trait. Un Ă©tui de cuir sous le bras elle se dirigea vers une table libre prĂšs du centre de la salle et s'y assis, laissant son manteau sur le dossier de la chaise voisine. Elle portait une grande robe entremĂȘlĂ©e de rouge vin et de noir dans laquelle elle Ă©tait sublime. Cela n'empĂȘchait pas la majoritĂ© des gens dans la salle de la regarder comme si elle fut une humaine, c'est-Ă -dire comme si elle ne collait pas au dĂ©cor et n'avait rien Ă y faire. Quelques personnes Ă©changĂšrent de courtes phrases afin de savoir si quelqu'un la connaissait, ceux qui Ă©taient plus loin semblaient soit curieux ou ennuyĂ© par son absence d'aura. Ceux qui Ă©taient plus prĂšs semblaient plus sur les nerfs, agressifs voir, car son aura ne collait avec aucune de celle qu'elle devrait avoir en tant qu'immortelle. Elle ouvrit son Ă©tui et le regard de plusieurs passa de l'agacement au questionnement lorsqu'elle en sortit son violon. Celui-ci, au contraire de sa propriĂ©taire, n'avait pas changĂ© pour un sou, fait de l'Ă©bĂšne de la meilleure qualitĂ©, avec ses reliures de bronze reluisantes et ses gravures en or. l'archet qui suivit Ă©tait beaucoup plus banal, un archet des plus normal qui pouvait ĂȘtre achetĂ© pour une poignĂ©e de francs probablement. Sunie regarda autour d'elle un instant et remarqua que la plupart des regards Ă©taient fixĂ©s sur elle, la majoritĂ© Ă©taient curieux mais certains demeuraient alertes, prĂȘts Ă tout. Sunie se leva debout et plaça le violon sous son menton et porta lentement l'archet sur les cordes, elle testa dĂ©licatement chacune d'entre elle, toujours et encore accordĂ©es. Elle laissa ensuite le flot de ses Ă©motions guider l'archet, la chanson n'Ă©tait pas joyeuse, ni triste, la peur, le rejet et la mĂ©lancolie y Ă©tait omniprĂ©sente mais on pouvait y trouver l'espoir. Tant d'Ă©motions Ă©taient charriĂ©s par le son du violon, tranquillement les gens se rassirent, Ă©coutant la mĂ©lodie bien que certains n'eut aimĂ© pour rien au monde le violon, ils Ă©coutaient tout de mĂȘme, l'endroit devenant silencieux d'un seul coup. Sunie l'ignorait mais son violon avait la facultĂ© de catalyser sa prĂ©sence, rendant le son non pas hypnotique, mais le rendant capable de transmettre les Ă©motions. Ă cet instant son aura Ă©tait presque palpable, si fort mais fragile Ă la fois, il ne quittait pas la salle toutefois, le son ne pouvant porter son pouvoir plus joua durant un bonne dizaine de minutes, n'arrĂȘtant de jouer que lorsqu'elle en sentit le besoin. Ă ce moment, tout les gens de la salle et mĂȘme certains des salons Ă©taient prĂ©sents et Ă©coutaient, certains avaient les larmes au yeux, d'autres semblaient perdus dans leurs souvenirs, aux moments de leur longue vies marquĂ©s par ces Ă©motion. Une fois terminĂ© elle rangea l'archet puis le violon dans l'Ă©tui et se rassit, laissant les gens revenir Ă eux-mĂȘme, son aura se rĂ©sorbant lentement suite Ă l'arrĂȘt de la musique. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 31 Jan 2010 - 1544 Le portier eut une crise de cĆur lorsqu'il vu l'ange de la mort. Il atterrit devant l'ange cornu comme un ange noir, sorti tout droit des cieux. Ses ailes noires et son regard froid. Cypher plongea son regard dans celui du mortel, la voie caverneuse de la crĂ©ation rĂ©sonna dans le crĂąne du pauvre homme "Soit tu ouvre cette porte, soit je te tue et je l'enfonce avec ton cadavre."l'homme fixa devant le Valkar armĂ© de sa faux. Il n'avait pas l'air de bonne humeur. Samael... tĂ©taniser par le colosse qu'il avait devant lui ouvrit. "Je ne veux pas tuer ta race, mais je viens simplement chercher quelqu'un. Si tu fais quoique ce soit, je te tuerais. J'exterminerai Ă©galement, les immortels que tu cache dans ton refuge. SI tu ne veux pas de bain de sang, tu ferme ta gueule et tu me laisse faire mon travail."Il garda le mĂȘme regard froid en passant Ă cĂŽtĂ© du portier. La figure fantomatique du Valkar avança Ă travers les tables. Les immortels regardĂšrent la crĂ©ature sans trop savoir quoi penser. Il Ă©tait pied nu, ne portait qu'une toge comme vĂȘtement. Son regard Ă©tait vide, sans par l'Aura de sa proie, Cypher, avança jusqu'Ă la table de Sunie. Il resta plantĂ© devant, le corps droit comme une barre de fer et le visage sans la moindre traces d'Ă©motions. Machinalement, il finit par dire d'un ton froid et direct "Vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre, immortelle hybride." VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 1701 Vigortsen avait Ă©tĂ© surpris d'entendre un violon. Il sortit des toilettes oĂč il Ă©tait allĂ© se dĂ©barbouiller puisque rentrant d'une poursuite d'un criminel mortel qui c'Ă©tait terminĂ©e pour se dernier derriĂšre les barreaux. A peine fut-il sortit qu'il reconnu Sunie, SA Sunie, jouant sur un superbe violon en Ă©bĂšne. Il s'adossa Ă la porte, en retrait dans l'ombre pour ne pas la perturber et fut embarquĂ© par les sentiments de sa jeune arrĂȘta de jouer, il resta dans le vague des Ă©motions durant quelques minutes, l'observant s'asseoir sur sa chaise. Il fini par se dĂ©cider Ă la rejoindre lorsqu'un immortel aux sombres ailes et Ă la feau menaçante s'approcha d'elle. Il n'aimait pas ce personnage pieds nus vĂȘtu d'un bout de tissu crasseux, il l'aima encore moins lorsqu'il entendit ce qu'il dit Ă Sunie. *Qu'est-ce que c'est que cette histoire de rendez-vous?* Se dit-il amĂšrement. L'instinct lui conseilla d'ĂȘtre mĂ©fiant, aussi dĂ©cida-t-il de se diriger vers la porte du en marchant, il glissa une main dans la poche droite de son manteau et referma la main sur la paire de menottes. Il se dĂ©plaçait silencieusement, l'air de rien. Son comportement ne pouvait le trahir puisqu'il avait l'habitude de suivre ses cibles et que jamais il n'avait Ă©tĂ© repĂ©rĂ©. Lorsqu'il passa Ă quelques mĂštres dans le dos de l'immortel ailĂ©, il jeta un regard Ă sa douce et lui fit un clin d'oeil. Ce petit signe disait *Ne t'inquiĂšte pas, je suis lĂ *. Il attrapa sa biĂšre sur la table et s'adossa Ă un pilier, seulement cinq mĂštres derriĂšre toujours dans la poche fermĂ©e sur les menottes, il attendit prĂšs Ă bondir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 4 FĂ©v 2010 - 2029 Cypher regarda l'arriver de virgotsen d'un air froid et impassible. Il vu de coin de l'Ćil cette ĂȘtre peu plaisant. Il Ă©tait sur ses gardes. Comme de nombreux immortels dans l'auberge d'ailleurs. Il gardait nĂ©anmoins le regard sur Sunie. Il parlait machinalement en gardant un ton froid. "Je me rĂ©pĂšte, vous avez rendez-vous avec mon maĂźtre Aemon Targaryan. Sur son ordre, je dois vous mener Ă lui. Je n'ai pas reçût de directive sur la maniĂšre de vous conduire Ă lui. Je ne cherche pas Ă faire un massacre, mais les ordres de mon maĂźtre sont immuables. Je vous demande donc de me suivre, de votre plein grĂ©. Sans quoi hĂ©las, je devrai prendre des parla Ă l'attention de la foule. "Je n'ai aucune instruction sur vous, immortels. Je ne suis venu que pour reconduire madame. Je ne pense pas que personne ici n'a d'objection ? d'ailleurs, la dĂ©cision vous reviens." SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1347 Sunie terminant de ranger son violon lorsque SamaĂ«l laissa entrer un ĂȘtre Ă©trange qui ne semblait pas ĂȘtre le bienvenu. On aurais dit un cadavre tant sa peau Ă©tait terne et ses habits laissaient vraiment Ă dĂ©sirer. Il avait quelque chose de terrifiant, sa posture, son ton, mais surtout sa faux ne lui donnaient pas un aspect trĂšs commode. Lorsqu'il se dirigea vers elle Sunie se figea, que pouvait-il bien lui vouloir. Lorsqu'il s'adressa Ă elle, son ton lui glaça le sang, il Ă©tait plat et fixe, comme une machine et cet homme connaissait ses origines hybridĂ©s, qu'Ă©tait-il donc. Il lui dit qu'elle avait un rendez-vous avec quelqu'un puis, lorsqu'elle ne lui rĂ©pondit pas, il ajouta que ce n'Ă©tait pas un rendez-vous mais bien une demande Ă ne pas refuser. Il ne semblait pas trĂšs amical, menacer la foule d'immortels prĂ©sents dans l'ange cornu n'Ă©tait pas une mince affaire. Elle avait vu Vigo, quand elle avait croisĂ© son regard celui-ci lui avait fait un clin d'Ćil pour qu'elle sache qu'il Ă©tait lĂ et prĂȘt Ă agir. Sunie rassembla tout son courage et s'adressa au valkar lui faisant face"Je suis dĂ©solĂ©e de vous dire que votre *rendez-vous* ne m'intĂ©resse pas, je ne connais pas votre maitre et je n'ai donc rien Ă lui dire, en plus vous me parlez sans vous prĂ©sentez et vous voulez que je vous suive sans discutions, non mais quel manque de classe. Vous croyez vraiment que je vais suivre quelqu'un d'armĂ© et qui me menace sciemment d'utiliser la force si je suis contre. Partez d'oĂč vous venez oiseau de malheur, vous gĂącher l'ambiance."Sunie ne savait pas trop si c'Ă©tait une bonne idĂ©e de refuser mais elle n'allait tout de mĂȘme pas suivre cette chose qui semblait ĂȘtre un valkar mort. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1712 Vigortsen grimaça lorsqu'il entendit la rĂ©ponse de Sunie, cela ne prĂ©sageait rien de particuliĂšrement bon. Si le valkar l'Ă©nervait trop, il risquait de voir Liliana prendre le contrĂŽle, et lĂ tout aussi puissant qu'il fĂ»t c'est Ă©tait fait de lui, Ă coup voici que l'autre s'adressa Ă toute l'assemblĂ©e. Lorsqu'il demanda si quelqu'un voyait une objection Ă se qu'il embarque Sunie, Vigo s'Ă©tait dĂ©jĂ Ă©lancĂ©. N'Ă©tant qu'Ă cinq mĂštres et dans une salle basse de plafond, le Valkar pour peu qu'il remarque Vigo qui se trouvait dans son dos, ne pourrait user de ses ailes. Mais Ă la vue de la distance qui les sĂ©paraient, de l'habiletĂ© de Vigo Ă fondre en silence sur sa proie et du fait que l'autre lui tournait le dos, c'Ă©tait presque impossible qu'il fasse quelque chose, d'autant que l'endroit Ă©tait fort allait user d'une technique d'apprĂ©hension fort peu commune. Il allait user du poids du valkar contre lui. Au dernier instant de sa course, il fit une glissade afin de faucher les chevilles de l'oiseau maudit. Cela comportait plusieurs le valkar sautait juste avant que vigo ne le fauche, ne pouvant user de ses ailes, il retomberait sur lui, mettant ses chevilles Ă portĂ©es des rĂ©ussissait Ă se rattraper plus ou moins aprĂšs avoir Ă©tĂ© fauchĂ©, Vigo n'aurait qu'Ă tendre la main pour lui passer les menottes aux tous se passait comme prĂ©vue, le valkar tomberait en arriĂšre et viendrait s'emprisonner tout seul dans les menottes, grace Ă son propre le valkar Ă©tait assez rĂ©actif pour sauter en avant, Vigo le cueillerait Ă l'atterrissage grĂące Ă une sautait en arriĂšre, se serait encore plus facile, il lui suffisait d'attendre que les chevilles passent Ă portĂ©es de ses passer les menottes Ă©tait LA spĂ©cialitĂ© de trĂšs rapide, l'effet de surprise Ă©tait total du fait de l'attaque totalement silencieuse que Vigo tous les cas, Vigo avait fait sortir sa lame de sa manche, prĂšs Ă l'utiliser si besoin ce qui normalement ne devait pas ĂȘtre le cas. Si tout se dĂ©roulait bien, Vigo aura passĂ© les menottes avant mĂȘme de devoir user de sa lame. En thĂ©orie, le valkar n'avait aucun moyen d'Ă©chapper aux menottes grĂące Ă cette attaque et une fois qu'il serait prisonnier ne serais-ce que de l'un des bracelets, tous ses pouvoirs seraient annulĂ©s. Il deviendrait simple mortel ailĂ© et armĂ© d'une valkar Ă©tait idiot. En entrant dans la taverne, il annulait sa plus grande force, celle de Ă©dition par Vigortsen le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 300, Ă©ditĂ© 2 fois CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Lun 8 FĂ©v 2010 - 1853 Cypher regarda la demoiselle, il n'en avait vachement rien Ă faire. Il Ă©couta les paroles de l'hybride sans la moindre expression faciale. Il en avait rien Ă foutre de la ramener en morceau. il allait poursuivre sa conversation lorsque Virgotsen fonça en direction de l'immortel. il effectua un placage, dans un plus grand des silences, avantages que les sens amĂ©liorĂ©s de Cypher soit toujours actifs. il effectua donc son placage et tenta de faucher les chevilles du Valkar. Sa tentative de placage ne s'effectua cependant pas, comme il l'avait prĂ©vu. Lorsque l'attaque principal de Virgotsen fut effectuĂ©, Cypher d'une simple action de pensĂ© activa sa vitesse surhumaine. ContrĂŽlant celle-ci avec la maĂźtrise d'un MarĂ©chal, il propulsa son corp d'un saut rapide et ne utilisant son dernier pouvori de cĂ©lĂ©riter plana un peu un plus loin. Il contourna avec une agilitĂ© et une vitesse surprenante le corps de Virgotsen qui ce relevait de son placage. Avec une vitesse surnaturelle, il lui porta un coup de pied ossature mĂ©lange entre du titane et de l'acier - poids total du corps environ 3 tonnes. Il stoppa directement Ă quelques dizaines de mĂštres du Luna. il avait peu ĂȘtre perdu ses ailes, mais la cĂ©lĂ©ritĂ© d'ArnĂ©us Valkar avait Ă©tĂ© sa spĂ©cialitĂ©. DerniĂšre Ă©dition par Cypher le Jeu 11 FĂ©v 2010 - 1549, Ă©ditĂ© 1 fois SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 10 FĂ©v 2010 - 2343 Sunie ne vit pas Vigo se prĂ©parer et fut surprise lorsqu'il s'attaqua Ă ce drĂŽle d'oiseau. Mais lui apparemment ne fut pas surpris le moins du monde et esquiva sans mal l'attaque tout de mĂȘme bien planifiĂ© de Vigo. Ce n'Ă©tait pas tant sa vitesse de rĂ©action qui l'Ă©tonna mais la force avec laquelle il envoya Vigo valser contre le mur en un seul coup de pied. Sur le coup Sunie figea sur place, il venait tout de mĂȘme de frapper son amant mais pourquoi avait-il fait cela. Puis une fraction de seconde plus tard elle Ă©tait Ă cĂŽtĂ© de lui pour essayer de le rattraper avant qu'il ne tombe au sol. Comment elle avait fait cela, elle n'en avait pas la moindre idĂ©e, mais elle rĂ©ussit, sans toutefois rattraper Vigo, Ă empĂȘcher celui-ci de se cogner lourdement Ă terre. Ă peine la scĂšne reprenait sa vitesse normale et que les gens s'exclamaient de ce qui venait de se passer que Sunie Observait Vigo sous toutes ses coutures pour voir s'il Ă©tait blessĂ©."Vigo, ca va, pourquoi t,a fait ca, fallait pas, ca va?"Elle resta ainsi dos Ă Cypher afin de s'occuper de Vigo, elle n,en Ă©tait pas moins alerte mais son amant Ă©tait peut-ĂȘtre blessĂ© et elle tenait Ă s'occuper de lui s'il Ă©tait blessĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2024 Vigortsen ne compris pas complĂštement ce qu'il se passa. Il reçu un coup de pied extrĂȘmement violent qui l'envoya voler un peu plus loin, il s'Ă©crasa contre le mur, mais grĂące Ă une paire de mains, il ne s'Ă©croula pas trop mĂ©chamment au sol. C'est donc un peu sonnĂ© et les cottes endoloris qu'il se redressa sous le regard de Sunie."Ca va, ça va, merci. Il frappe fort le bougre."Il posa sa main sur l'une des Ă©paules de Sunie et nota la couleur jaune de ses yeux. Il se redressa, chancela briĂšvement avant de se mettre debout puis regarda Sunie. Il lui parla dans un murmure Ă peine audible mĂȘme pour elle."DĂšs que tu le peux, sauve toi et fonce chez moi, je te rejoins."Puis immĂ©diatement aprĂšs, il se tourna vers le "valkadavre", se postant devant sa compagne. Il avait eu suffisamment de rĂ©flexes pour ne pas lĂącher ses menottes lors de son Ă©chec. En revanche, il avait eu beaucoup de chance de ne pas s'empaler lui mĂȘme sur sa propre plongeĂąt ses yeux dans ceux de l'oiseau et ce dernier pouvait y lire la dĂ©termination et la colĂšre."Au cas ou cela t'aurais Ă©chappĂ© oiseau de malheur, elle ne veut pas te suivre. Si ton maitre veut lui parler il n'a cas se bouger le cul au lieu d'envoyer son chien de garde. Menacez encore une fois ma compagne et vous ĂȘtes une volaille morte qui me servira de dĂ©jeuner Ă NoĂ«l."Il Ă©tait bien remontĂ© et attendit la rĂ©ponse Ă©ventuelle de l'autre. Il reculait doucement vers la porte en poussant Sunie dans cette direction, toujours en se tenant entre elle et le valkar. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 FĂ©v 2010 - 2126 [i]Cypher fut trĂšs surprit de ne pas avoir causĂ© plus de dĂ©gĂąts. Dommage... il aurait aimĂ© rendre le combat rapide. Puis, il vu l'immortel qui s'Ă©levait devant lui. Bravoure ? Cela ne voulait rien dire pour l'ancien Valkar. " Tu parle immortel ? Dommage que de part mon coup, je n'aille pas couper ta langue. Sa m'aurait Ă©viter d'entendre tes menaces. Moi un simple poulet ? Je te trouve bien faible, pour voir Ă©tĂ© projeter si loin, par une simple poule. D'ailleurs, j'ai trĂšs mauvais goĂ»t. De nombreux immortels, s'y sont cassĂ©e bien des dents. "Lorsque Virgotsen poussa Sunie vers la porte, l'ange de la mort poussa un soupir. Il regarda rapidement le plafond... deux Ă©tages... hummm...plancher de bois verni ? " Elle peut courir, mais elle ne peut rien contre moi, ou mon maĂźtre. TĂŽt ou tard, mon maĂźtre viendra la quĂ©rir. Alors ? Tu vas t'Ă©carter ? OĂč je vais ĂȘtre obligĂ© de dĂ©truire ton code gĂ©nĂ©tique ? Je nâai aucune objection Ă te combattre, mais mon devoir n'est pas de te tuer."[/i] Aemon TargaryenNombre de messages 115Date d'inscription 07/11/2009Sujet Re Comme jadis... Mar 16 FĂ©v 2010 - 009 Une ombre Ă©tait poster dans la pĂ©nombre. L'attente Ă©tait terrible mais le grabuge Ă l'intĂ©rieur de l'Ă©tablissement laissait prĂ©sager que le plan avait bel et bien mis en marche pour la capture de l'hybride. Ă la moindre vue de la sortie de celle-ci l'ombre entrerait en action. Attendant sa proie avec impatience avec une salve d'anesthĂ©siant dans ses deux mains au moindre cri Marcus se tenait prĂȘt ainsi que Targaryen juste sur le mur oĂč menait la porte que sa crĂ©ation avait emprunter. Bien sur il pourrait entrer mais il valait mieux passer inaperçu pour le moment. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mer 17 FĂ©v 2010 - 1149 Sunie recula derriĂšre Vigo et le laissa la pousser vers la porte, aprĂšs tout comment pouvait-elle espĂ©rer faire quoique ce soit, elle n'utilisait ses pouvoirs que de façon instinctive et souvent ceux-si ne voulaient pas fonctionner lorsqu'elle le voulait. Leur position n'Ă©tait pas prĂ©caire mais vu la vitesse Ă laquelle le valkar bougeait, elle pouvait le devenir bien vite. Sunie regardait le dos de Vigo, se rappelant toutes les cicatrices qu'elle y avait vu, voulait-elle vraiment qu'il se risque Ă en cumuler une autre, ou pire. Mais elle savait qu'aller avec cette chose qui ressemblait Ă un valkar ne pouvait que lui amener des problĂšmes, peu importe qui Ă©tait son maitre, elle ne voulait pas finir comme cet homme. Mais que faire?Soudain tout devint noir, un noir d'encre insondable, seule une petite lueur rouge brillait au loin, semblant ĂȘtre Ă des kilomĂštres. En un clin d'Ćil la lueur Ă©tait devant elle, une belle orbe rouge sang similaire Ă du verre, la lumiĂšre provenait du plus profond de la petite sphĂšre qui devait ĂȘtre grosse comme le poing. Sunie tendit la main vers celle-ci et entendu une voix, la voix qu'elle damnait Ă chacune de ses pertes de contrĂŽle, la voix de sa NĂ©mĂ©sis, Liliana."Alors, dans le trouble encore une fois?"Elle ne semblait toutefois pas aussi haineuse qu'Ă l'habitude, plutĂŽt irritĂ©e et ironique. Sunie ne savait pas trop quoi faire, elle regarda autour, Ă perte de vue il n'y avait rien, pas de sol, pas de murs, que cette petite orbe. Qu'allait-elle donc faire avec elle, Ă chaque fois qu'elle lui parlait elle se sentait faible et Liliana lui volait les commandes mais cette fois il n'en Ă©tait rien."Alors, il t'as coupĂ© la langue sans que tu t'en rendre compte?""Non, qu'est-ce que tu veux salle garce."Liliana Ă©clata de rire"Alors, tu n'as rien d'autre Ă faire que m'insulter? Qu'est-ce que tu compte faire contre cet espĂšce de valkar, pleurer, demander Ă maman de venir t'aider? Pour une fois que je te demande ton opinion, t'as pas Ă te plaindre.""Quelle sournoiserie es-tu en train de me faire cette fois? OĂč est-ce qu'on est en premier, pourquoi tu n'a pas pris le contrĂŽle tout de suite comme Ă ton habitude espĂšce de pute.""Mais ma parole, arrĂȘte de me jeter des compliments, tu va me faire rougir. Je t'offre de l'aide et tu ne semble pas comprendre que je suis autant en danger que toi, Ă ce que je sache on a encore le mĂȘme corps, non? Alors tu va me laisser contrĂŽler pour lui foutre une raclĂ©e parce que ton baiseur professionnel d'amoureux m'a... BlessĂ©e avec ses menottes Ă la con, normalement je crois que nous devrions nous voir face Ă face en reflets de miroirs, voilĂ ce qu'il me reste, pas beaucoup j'en consent mais je suis encore lĂ et moi je les contrĂŽle les pouvoirs, pas toi.""Et alors, ce n'est pas ton corps, c'est le mien, Ă chaque fois oĂč tu prend le contrĂŽle tu fout tout en l'air et tu fait des choses qui me dĂ©goutent. Et si tu est si faible, comment tu ferais pour garder le contrĂŽle de toutes façons."C'est lĂ le problĂšme j'ai besoin de toi, je ne dit pas que je t'aime et t'embrasserais, j'ai besoin de toi et sa s'arrĂȘte lĂ . Tu as tout ce qu'il me manque prĂ©sentement, le contrĂŽle, l'Ă©nergie, la vigueur, vois tout ce qu'il me reste, je peux Ă peine survivre. Et je ne voudrais pas jouer les casse-pieds mais si je meurs tu ne vaudra pas mieux, tu mourras aussi. Alors, devant l'impasse, il ne reste qu'une seule option, accepte moi, intĂšgre moi, ne faisons qu'une, nous serons plus fortes et tu pourra survivre, n'essaye pas de dire qu'il y a une autre issue, tu l'as goutĂ© aussi bien que moi, il y a une autre personne de l'autre cĂŽtĂ© de la porte, les effluves de l'air de mentent pas."Sunie se tut, elle avait raison... mais qui lui disait que ce n'Ă©tait pas une autre de ses sournoiseries bien mieux planifiĂ©e que les autres, aprĂšs tout n'Ă©tait-ce pas sa spĂ©cialitĂ©, mentir et tromper? Il y avait beaucoup Ă perdre qu'elle dise oui ou non, ce valkar ou bien la garce qui partageait son corps, ne restait qu'Ă savoir lequel reprĂ©sentait le plus grand mal."Alors tu dit que tu veux m'aider, pourquoi, qu'est-ce que tu as Ă y gagner quelle conneries vas-tu faire?""Rien, pense-tu vraiment que je puisse faire quoique ce soit aussi affaiblie? Je prend ton estime comme un compliment mais j'ai Ă peine la force de me garder en vie, encore moins celle de te dominer comme Ă l'habitude, fait moi confiance, je ne pourrais pas faire plus de dĂ©gĂąts que ce que j'ai dĂ©jĂ fait."AussitĂŽt que Liliana prononça le mot confiance Sunie Ă©clata de rire"Moi, te faire confiance? PlutĂŽt mourir aprĂšs une longue agonie."Liliana soupira, Sunie ne semblait pas comprendre Ă quel point sa situation Ă©tait prĂ©caire, ses forces s'amenuisant Ă simplement lui parler, la taille de l'orbe diminuant peu Ă peu. Pour la premiĂšre fois SUnie lut de la franchise et non de la malice dans la voix de Liliana"Ăcoute, c'est ta derniĂšre chance, si tu ne dit pas oui je vais mourir et tu peux parier que je t'emmĂšne avec moi dans la tombe. Sois tu accepte de devenir une seule personne avec moi ou tu meurs avec moi, n'est-ce pas simple.""Tu as l'air tellement sincĂšre que je te croirais, si seulement tu ne m'avais pas pourrie la vie autant, peut-ĂȘtre que j'aurais dit oui, maintenant laisse moi partir d'ici."Un autre soupir de la part de Liliana"TrĂšs bien, tu me pousse dans mes derniers retranchements. Ne dit pas que tu ne l'aura pas cherchĂ©."L'orbe fonça alors sur Sunie, la percutant Ă la poitrine, projetant celle-ci Ă une distance qui lui sembla incroyable. Lorsque Sunie se releva elle ne voyait plus la sphĂšre rouge mais la lueur semblait Ă©mettre de son propre corps dĂ©sormais. Sunie se demandait quelle sournoiserie Liliana avait encore commise, lorsqu'elle se sentit mal, sa tĂȘte semblant vouloir exploser tant la douleur Ă©tait ceux qui l'observait, Sunie sembla absente quelques fractions de secondes, le regard dans les vapes. Puis elle s'effondra sur le sol sans plus de cĂ©rĂ©monies, son aura disparaissant d'un seul coup, ses yeux affichant alors la seule couleur qu'ils n'avaient jamais pris, le noir. Quiconque aurait pris le temps de regardĂ©, il aurait constatĂ© qu'elle ne respirait plus . Graduellement, son corps s'enveloppa d'une fumĂ©e noire et malodorante disparaissant de vue en quelques secondes. La fumĂ©e, toutefois, n'arrĂȘta pas son avancĂ©e et se rependit tel un tapis de brume sur le sol de l'auberge. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 FĂ©v 2010 - 1810 Son regard dorĂ© transperçait littĂ©ralement le valkadavre de ses reflets jaune comme deux Ă©tincelles devant un chalumeau, prĂȘts Ă cracher de gigantesques flammes. Si ses yeux nâĂ©taient pas particuliĂšrement terrifiants, on devinait une bonne puissance et une trĂšs forte dĂ©termination. Ainsi, le dĂ©nommĂ© Cypher put lire dans ces yeux que sâil voulait embarquer Sunie de force, une lutte terrible Ă©claterait en prĂ©ambule. Câest lâun des pouvoirs que confĂšre lâamour, celui de multiplier la force, la puissance et la dĂ©termination lorsque lâĂȘtre tant aimĂ© est menacĂ©. De la mĂȘme maniĂšre quâune mĂšre est prĂȘte Ă donner sa vie pour sauver ses enfants, un amant irait jusquâĂ condamner son Ăąme pour sauver sa distinguant tout cela dans les yeux de Vigortsen, le valkar put noter une autre chose, lâabsence totale de peur, ce qui le rendrait encore plus farouche et dĂ©terminĂ©. Il put Ă©galement sentir que si lâamoureux de Sunie devait frapper, ce serait pour faire sentait sa douce reculer dans son dos, mais il sentait Ă©galement quâelle le faisait avec hĂ©sitation. Aussi, passa-t-il sa main gauche dans son dos et attrapa celle de lâhybride quâil serra fort. Il tourna alors la tĂȘte, gardant son Ćil droit sur le valkar et lui murmura quelques mots. - Je tâais jurĂ© que jamais je ne laisserais personne te faire du mal et que je ferais tous pour que lâon ne tâen fasse pas. Ne mâempĂȘche pas de tenir ma promesse quelle quâen soit lâissue. »Il serra un peu plus fort encore la douce et tiĂšde main avant dâajouter - Je tâaime mon cĆur. »Alors reprit le bras de fer que les deux immortels se lançaient du regard. Puis Vigo sentit quelque chose. Un bruit retentit derriĂšre lui, un bruit inquiĂ©tant. Il se retourna brusquement pour voir sa belle Ă©croulĂ© au sol, sa cage thoracique ne bougeant plus. Elle ne respirait devint comme fou et se jeta Ă genou Ă ses cĂŽtĂ©s. Ses yeux, noirs comme les tĂ©nĂšbres, une couleur quâil ne leur avait jamais vue et qui lui glaça le sang. Une larme perla et câest dans une rage titanesque quâil se redressa, lentement avant de faire face Ă lâauteur prĂ©sumĂ©. Pour lui, seul le valkadavre pouvait ĂȘtre responsable de cet Ă©tat. Il avait due user dâun pouvoir obscur quelconque et maintenant sa raison de vivre, son cĆur Ă©tait visiblement morte. - Quâas-tu fais engeance dĂ©moniaque ? Que lui as-tu fais ? TU ES MORT ! »Les derniers mots avaient Ă©tĂ© prononcĂ©s dans une sorte de rugissement. Une voix mĂȘlant humain et loup. Vigo ne dĂ©sirait plus quâune unique chose, atomiser le piaf. Aussi laissa-t-il sa place Ă son second lui, un Ă©norme loup-garou couleur de lâor de prĂšs de deux mĂštres cinquante de haut. A la grande surprise de Vigo, il put garder le contrĂŽle de la bĂȘte ce qui Ă©tait habituellement impossible. Il se rendit alors compte que sa fureur Ă©tait telle que lâĂąme de la bĂȘte Ă©tait terrĂ©e dans son coin, ne se rendit pas immĂ©diatement compte de la fumĂ©e noire et poussa un rugissement de fureur pure qui fit trembler le bĂątiment. La gueule grande ouverte, il dĂ©voila ses dents dont les plus grandes, les canines Ă©taient de la taille dâun poing fermĂ© du valkar. Son hurlement durant vingt bonnes secondes, secouant toutes les personnes prĂ©sentes et leur hĂ©rissant le poil. Puis il fit claquer sa mĂąchoire dans un CLAC » sec et la fumĂ©e lui enveloppa les pattes arriĂšre et il se retourna de avait disparue, invisible dans les volutes de cette Ă©trange fumĂ©e noire. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 20 FĂ©v 2010 - 2021 Deimos... SaletĂ© de cochonnerie. Comment... ah oui, elle est hybride. Cypher ce questionna un moment, Quel clan Ă©tait-elle ? Enfin... Cypher d'un puissant coup d'ailes, propulsa l'air. Comme un grand Ă©ventail, il propulsa la fumĂ©e dans le coin de la salle. Cette tentative avait pour but de simplement faire disparaĂźtre la fumĂ©e. Il regarda un court instant le plafond... Bonne idĂ©e. Puis... le Luna dans un rugissement bestial, transforma son corps en forme de guerre. Contrairement aux Sadizar, les Luna contrĂŽlaient leur forme de guerre. Au moins, les menottes ne serait plus un problĂšme, comment pourrait t'il les utiliser avec des aussi grosse pattes ? Cependant, les griffes de Virgotsen... risquait de lui faire mal. Durant les 20 secondes, ou le Luna hurlait, il en profita pour s'injecter une seringue. Puis d'une voie grave " En plus d'ĂȘtre une erreur de la nature, tu est complĂštement stupide. Tu pense me vaincre ? Parfait. Cependant, tu sera mort pour rien. Je n'ai rien fait Ă cette hybride, elle a simplement utiliser le pouvoir de Deimos, des SĂ©thites. Tu veux donc toujours de battre ? BĂȘte ?"Il chargea sa cĂ©lĂ©ritĂ©, concentra son pouvoir et prĂ©para son corps Ă esquiver. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Mar 2 Mar 2010 - 1314 Le temps Ă©tait flou, depuis combien de temps Ă©tait-elle lĂ , qui Ă©tait-elle donc, laquelle des deux femmes dont elle avait les souvenir Ă©tait vraiment elle, comment savoir? D'ailleurs que c'Ă©tait-il passĂ©, pourquoi n'arrivait-elle pas Ă se rappeler qui elle Ă©tait, ce qui venait de se passer ou encore tout ce qui prĂ©cĂ©dait ses interrogations. Tout cela Ă©tait des plus Ă©trange, comment cela pouvait-il arriver. Elle se dĂ©cida finalement Ă ouvrir ses yeux mauves et fut surprise de ne voir qu'une sorte de brume noire, oĂč pouvait-elle bien ĂȘtre. Au bout de quelques secondes le brouillard se dissipa et elle pu voir ce qui l'entourait, elle ne fut pas Ă©tonnĂ©e de voir tant de gens tout comme de voir cette Ă©trange crĂ©ature poilue devant elle ou encore cet Ă©trange homme ailĂ© plus loin. Qui pouvait donc ĂȘtre tout ces gens? Elle rĂ©flĂ©chit quelques instants puis se rĂ©signa Ă chercher dans les souvenirs Ă©tranges et sans sens des deux femmes qu'elle semblait si bien connaitre. Elle chercha une Ă©ternitĂ© qui ne dura qu'une seconde puis rĂ©ussit Ă se faire une semblant d'idĂ©e sur le pourquoi elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait venu jouer d'un instrument de musique qu'une des deux femmes savait trĂšs bien utilisĂ© puis l'homme aux ailes Ă©tait venu la voir en causant toute une commotion auprĂšs des autres personnes prĂ©sentes. Il faisait peur Ă la femme avec l'instrument de musique mais pas Ă la seconde qui semblait dĂ©terminĂ©e Ă lui casser la gueule au sens propre du terme. Ensuite la bĂȘte poilue qui grognait devant elle face Ă l'homme oiseau Ă©tait au dĂ©part un homme qui avait tentĂ© d'attaquer ledit homme oiseau sans grand succĂšs, s'attirant les foudres de la jeune femme au violon qui semblait tenir Ă cette seconde de rĂ©flexion, elle s'assit lentement par terre, le dos contre le mur, ignorant les personnes autour ou leurs rĂ©actions, qu'avait-elle Ă en faire de toutes façons. Elle chercha alors encore dans les souvenirs des deux femmes et vit qu'elle Ă©tait Ă Paris, une grande ville... elle chercha immĂ©diatement ce que voulait bien pouvoir dire une ville et cueillit quelques concepts dans les souvenirs parfois clair de la jeune femme au violon, Sunie, ainsi se faisait-elle appeler puis dans ceux plus nĂ©buleux, incomplets et emplis d'Ă©motions noires de Liliana, l'autre femme. Une seconde passa pour toute la durĂ©e de ses recherche, mais qu'est-ce qu'une seconde pour elle, qu'est-ce que cela reprĂ©sente vraiment pour son esprit troublĂ© par l'absence de tout souvenir ou premiĂšre fois elle regarda autour d'elle et vit d'Ă©tranges choses qui soutenaient d'autres choses tout aussi Ă©tranges que deux ou trois personnes calmes portaient Ă leur bouche. Comme les fois prĂ©cĂ©dant elle chercha dans les souvenirs de ses deux jeunes femmes et trouva ses rĂ©ponses, une table et un verre, apparemment des choses banales qui Ă©taient construites pour un but utilitaire. Mais qui Ă©tait-elle?Pourquoi Ă©tait-elle?OĂč?Pourquoi...hrp, dĂ©solĂ© pour le dĂ©lais, des Ă©vĂšnements dans la vie rĂ©elle m'ont volĂ© mon inspiration pour un temps hrp VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1247 Lorsque le valkadavre se mit Ă battre de ses ailes dĂ©charnĂ©es, La fumĂ©e se retira lentement. Bien conscient que câĂ©tait la pire des choses Ă faire, Vigo se retourna pour voir si Sunie Ă©tait toujours lĂ . Personne ne pouvait savoir en cet instant Ă quel point il Ă©tait soulagĂ© de la voir sâasseoir contre un mur. Elle semblait totalement perdue mais au moins Ă©tait-elle en vie. La pression de lâadrĂ©naline redescendit dâun coup dans les veines de lâhomme Ă la vue du magnifique corps de sa chĂšre et tendre intacte. RassurĂ©, il fit un bond pour se tenir de nouveau face Ă lâoiseau mal faisant et grogna lorsquâil parla. Une fois que son adversaire eu terminĂ©, Vigo se dressa de toute sa hauteur et rĂ©pondit dâune voix rauque, grave et gutturale Ă la limite du grognement. Je ne suis pas plus une erreur de la nature que toi. Je suis un Luna et toi un Valkar. Seulement tu nâes quâun chienchien enragĂ© Ă la botte de ton maitre prĂšs Ă commettre des atrocitĂ©s pour tâattirer les gratitudes dâun ĂȘtre qui te tient en laisse. Un Valkar vient en aide aux faibles, il ne les attaque pas. Ton maitre nâest pas un Dieu qui a le droit de dĂ©cider de la vie des autres. Sâil veut Sunie il lui faudra me tuer mais cela lui coutera la vie. De mĂȘme pour toi ose seulement lâeffleurer et je rĂ©duirais ton squelette en poussiĂšre pour ensuite emballer le tout dans tes ailes en lambeau. Quiconque approchera Sunie avec des intentions nĂ©fastes apprendra ce quâest la colĂšre dâun loup-garou. »Comme pour confirmer ce quâil venait de dire, Vigo empoigna une table quâil lança en direction du valkar de toute sa force. Autant dire que si le piaf nâarrivait pas Ă lâesquiver, il se retrouvera projeter contre le mur du fond dans lequel il finirait incrustĂ©. Joli tableau en perspective. A lâinstant mĂȘme oĂč il eu lancĂ© ladite table, Vigo se tourna vers sa dulcinĂ©e et lâattrapa avec son Ă©norme patte gauche. Il avait Ă peine attrapĂ© la jeune femme quâil plongea son regard dans celui de Sunie et quâil lui dit rapidement Ne tâen fais pas ma Sunie, je vais te sortir de lĂ . »Surement put-elle voir dans lâor de ses yeux la sincĂ©ritĂ© de ses mots et lâamour quâil avait pour elle, mĂȘme en cet instant ⊠sâĂ©lança alors Ă une impressionnante vitesse au vue de sa masse pas loin de 800 Kg vue sa taille en direction de la cuisine. Ainsi il pourrait fuir par la porte de derriĂšre sans avoir Ă tourner le dos au valkar. Si le valkadavre se plaçait devant lui, il goutterait de sa patte et de ses griffes dont un seul coup lâenverrais assurĂ©ment voler sur prĂšs de dix mĂštres. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIĂRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 3 Mar 2010 - 1838 Thilix dormait dans le fond de l'ange cornu et tout le raffut l'avait rĂ©veillĂ© mais il aimait la scĂšne qui se passait devant lui, une bataille Ă©tait imminente c'Ă©tait sĂ»r puis ça Ă©clata, le Luna Ă©tait en furie, le Valkar sur ses gardes, il adorait regarder les combats comme dans le ColisĂ©, ça lui rappelait le bon vieux temps ou il Ă©tait une des attractions prĂ©fĂ©rĂ©e de tous. Puis sa vodka se renversa Ă cause de toute l'action, ce fĂ»t la pire erreur qu'ils avaient pu faire depuis le Pourriez-vous sortir? Moi pas vouloir dĂ©truire endroit ici, toujours ĂȘtre confortablement installĂ© et autres immortels pas faire chier moi mais si vous faire conneries dans cette place moi ĂȘtre obliger de sĂ©vir. Et quand moi ĂȘtre fĂącher moi pas ĂȘtre gentil gentil. Toi homme aux ailes, doit savoir ça! Et moi me foutre de tes griffes! Parce que toi pas ĂȘtre assez puissant contre moi! Alors moi ĂȘtre gentil aujourd'hui et demandez gentille ment, mais une seule fois, aprĂšs c'est le dĂ©sastre!Il regarda Cypher un moment puis maintenant la bĂȘte qui Ă©tait Ă©norme puis se retourna s'asseoir. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Dim 7 Mar 2010 - 1831 Cypher entendant la voie, du Sadizar qui l'avait battu, resta de marbre. Il avait un Loup Garou or en face de lui. "Tu gaspille ton talent Luna, tu est comme ceux de ta race territoriale et bestiale. Je te conseille de me remettre la fille, avant que ce combat ne soit nĂ©faste pour nous deux. Tu va essayer de me tuer ? Tu ne ressortira pas indemne de ce combat. Je peux te le jurer. Mon maĂźtre veux que je l'amĂšne Ă lui. Ses intentions, je m'en balance. Puis le lycan, propulsa vers lui une table. Le Valkar, esquiva avec cĂ©lĂ©ritĂ©, le projectile improvisĂ© avec aisance et Ă plus de 50km/h, propulsa son corps Ă la poursuite du Loup. Il lui laissa nĂ©anmoins assez d'avance au Luna pour le laisser sortir par la porte de derriĂšre. Lorsqu'il furent a l'extĂ©rieur, il envoya en direction du Garou un coup de faux, allongeant la lame de celle-ci afin qu'elle lui tranche, derriĂšre les genoux. En utilisant une vitesse surhumaine et une prĂ©cision critique. Il voulait que le Loup Garou, tombe Ă la renverse. Le combat n'Ă©tait pas terminĂ©. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 924 Le sadizar pouvait bien tenter quelque chose mais mĂȘme puissant comme il l'Ă©tait, si Vigo le percutait dans sa course il pouvait ĂȘtre sĂ»r d'avoir au moins le souffle coupĂ©. Mais le loup-garou n'en avait cure, il filait vers la porte qu'il ne prit mĂȘme pas la peine d'ouvrir, passant au travers comme s'il eu s'agit d'une tapisserie. Elle vola en Ă©clat qui se dispĂšrsairent un peu avait fait une dizaine de pas lorsqu'une trĂšs forte douleur le prit au genou gauche, genou qui cogna le sol, devenu faible. Pour le coup, le valkar allait vraiment avoir des problĂšmes. Vigo poussa un hurlement de rage et de douleur tellement monstrueux que tous ceux qui l'entendire durent sentir tous les poils de leur corps se fermemant Sunie contre lui, il usa de sa jambe droite pour sauter de deux bons mĂštres vers la feau qu'il empoigna de sa patte qu'il eu refermĂ© ses griffes sur le manche, il usa de toute sa force pour propulser le valkar contre un mur oĂč il espĂ©rait qu'il s'Ă©craserait. ImmĂ©diatement aprĂšs, il parti aussi vite que possible pour ramener Sunie chez lui afin qu'elle soit en lieu sĂ»r."Je ne t'abandonnerais pas Sunie, mĂȘme si je dois en mourir." CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 11 Mar 2010 - 1833 Bordel... Son coup avait marchĂ©. Cypher fut propulsĂ© vers l'arriĂšre, intelligent le bestiaux. Cependant Voyant la force extrĂȘme dont disposait le Luna, le Valkar n'eu hĂ©las pas la vitesse d'esprit pour rĂ©agir aussi vite que lui. Il fut propulser directement sur le mur de l'Ange Cornu. Le corps de Cypher s'enfonça de quelques millimĂštre dans le mur. Le coup n'avait pas vraiment sonnĂ© le Valkar... Qui reparti aussitĂŽt Ă la poursuite du Luna. Son but Ă©tait de rĂ©cupĂ©rer le colis... en vu du Luna, avec sa vitesse surhumaine, il propulsa en sa direction ses deux dagues en visant une fois la gorge et la seconde fois le jambes. Avec la grande vitesse ou ce dĂ©plaçait la bĂȘte... il lui serait trĂšs facile avec cette douleur d'ĂȘtre dĂ©sĂ©quilibrĂ©. De toute façon, un seul dart de son maĂźtre et l'immortel Ă©tait Ă terre. SunieNombre de messages 193Localisation QuĂ©bec, Canada, AmĂ©rique, Terre, Sol, Voie LactĂ©e, Amas de la Vierge, UniversRang PremiĂšre hybrideOrdre MĂ©tisse Carnival-sethDate d'inscription 02/12/2008Sujet Re Comme jadis... Sam 13 Mar 2010 - 052 Elle ne bougea pas durant tout ce temps, Ă quoi bon rĂ©agir, pourquoi rĂ©agir, elle ne faisait que se faire transporter dans les pattes d'une loup gĂ©ant et un homme ailĂ© semblait vouloir quelque chose. Ătrangement, cela n'avait rien d'Ă©trange pour elle, aprĂšs tout, qu'en savait-elle. Elle laissa donc le loup la prendre et faire ce qu'il voulait pendant qu'elle cherchait encore Ă comprendre ce qu'elle Ă©tait ou qui elle Ă©tait dans les souvenirs des deux femmes qu'elle semblait connaitre comme si elle avait Ă©tĂ© l'une d'elle a un moment puis l'autre ensuite. Puis le gros loup lui parla, il l'appela Sunie, comme la jeune femme qui savait jouer du violon, Ă©tait-elle celle-lĂ alors? Mais dĂšs que cette pensĂ©e vint Ă son esprit elle la rejeta, comment pouvait-elle ĂȘtre cette Sunie si elle en possĂ©dait les souvenirs mais rien d'autre. Elle ne rĂ©pondit donc pas au loup, ignorant en dĂ©duit donc qu'il devait la prendre pour une autre, peu-ĂȘtre que les deux femmes dont elle avait les souvenirs Ă©taient des jumelles et que sa jumelle Ă©tait cette Sunie... Puis elle se ramena Ă l'ordre, elle cherchait une rĂ©ponse lĂ oĂč il n,y en avait peut-ĂȘtre pas, mieux valait ne penser Ă rien et attendre que les gens lui expliquent ce qui se passaient. Puis elle se rendit compte que plus elle fouillait les souvenirs des autres et utilisaient leurs concepts plus elle arrivait Ă comprendre ce qui l'entourait. Elle profita de la cohue pour fouiller plus profondĂ©ment dans les souvenirs des deux femmes apparemment opposĂ©es. VigortsenNombre de messages 57Age 34Localisation DerriĂšre toiOrdre LunaDate d'inscription 30/08/2009Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 959 MalgrĂ© sa blessure, Vigo avançait vite, trĂšs vite. Pour soulager sa patte blessĂ©e, il s'Ă©tait baissĂ©, usant de sa patte avant droite. Coup de chance, il vit une dague passĂ©e lĂ ou sa tĂȘte se trouvait une demi-seconde avant. Il sentit en revanche trĂšs bien la seconde lui percer la bruit qui suivit fut un mĂ©lange de chute sourde et de grognement. La lame l'avait dĂ©sĂ©quilibrĂ©e et il avait juste put faire une vrille pour ne pas tomber sur Sunie, la collant contre son ventre il s'Ă©crasa sur le dos. Il savait qu'il pouvait continuer et encaisser encore nombre de blessures du fait de son imposante carrure, mais la prioritĂ© Ă©tait de protĂ©ger sa belle. Une idĂ©e lui vient alors Ă l'esprit. Elle valait ce qu'elle valait, mais autant se mit Ă hurler de façon Ă ce que sa voix porte jusque dans l' SUNIE EST L'AMI DE VILYA ET CE VALKAR UN DEMON QUI LUI VEUT DU MAL! AIDEZ MOI A LA PROTEGER JE VOUS EN insupportable de devoir presque supplier ainsi, mais comme c'Ă©tait pour SA Sunie, il pouvait mettre son honneur dans sa se releva alors et retira la dague de sa cuisse avant de la propulser de toutes ses forces vers le valkadavre. Il baissa la tĂȘte vers la jeune femme et dans un souffle, il lui effleura le front de son gros il se mit en position debout, parĂ© au combat Ă mains nues. Sur ce terrain, lĂ , il avait fois en ses capacitĂ©s et le valkar aurait du soucis Ă se faire. Il se mis en position dĂ©fensive, en attente que l'autre attaque, colant Sunie contre jeune femme Ă©tait relativement bien protĂ©gĂ©e des potentiels coups puisque contre le ventre doux et chaud du loup-garou et enroulĂ©e dans la massive et puissante patte de Cypher venait attaquer, il se ferait trĂšs gravement amocher par les puissant coups de pattes et de griffes que distriburait seule chose pire qu'un Luna en colĂšre, c'est un Luna dĂ©fendant sa compagne. ThilixNombre de messages 227Age 31Localisation DERRIĂRE TOI!Rang Amiral-MarĂ©chalOrdre SadizarDate d'inscription 27/08/2007Sujet Re Comme jadis... Mer 17 Mar 2010 - 1023 -HAhahaha! Ăa fait bien longtemps que moi pas avoir battus! Au moins 2 heures! Pourquoi pas!?Puis le grand Thilix sortit de la place et s'avança tranquillement jusqu'au cadre de porte pour regarder la bataille et savoir quel bord prendre, parce qu'un bord perdant n'est jamais intĂ©ressant selon lui. Il ne s'Ă©tait pas du tout rendu compte d'Aemon qui attendait lĂ -bas tranquillement et non plus de tout cette merde qui l'entourait, c'Ă©tait encore cette sorte de crĂ©ature qui avait essayer de tuer son amour, mais il y avait cet homme qui avait appelĂ© son nom, qui Ă©tait-ce? Il n'en avait aucune idĂ©e mais il Ă©tait massif et si il mourrait il pourrait rĂ©cupĂ©rer les os et... Mais en mĂȘme temps il Ă©tait dĂ©chirĂ© par le choix de tuer Cypher qui avait quasiment assassinĂ© sa bien-aimĂ©e. Il restait lĂ et ne disait plus un mot. CypherNombre de messages 58Age 35Localisation QuĂ©becRang Ancien Gouverneur portĂ© disparutOrdre ValkarDate d'inscription 25/03/2008Sujet Re Comme jadis... Jeu 18 Mar 2010 - 1242 Cypher resta de glace, il recula de quelques mĂštres lorsque son attaque rĂ©ussit. Il ne voulait pas risquer, une attaque du Luna. MalgrĂ© son ossature de mĂ©tal, les griffes des Luna Ă©taient capable de trancher des mĂ©taux, donc... pas vraiment conseillĂ© d'en recevoir les coups. Sa cĂ©lĂ©ritĂ© lui permettrai d'esquiver de nombreux coups mais il n'en suffit que d'un dague fut propulsĂ© Ă une vitesse excessive en direction de Cypher. Il Esquiva de justesse sa propre dague, qui termina sa trajectoire sur le mur. Lorsque Cypher entendit le Fauve hurler Ă l'aide, il n'Ă©tait pas trĂšs Ă l'aise. Que Thilix, un Sadizar puissant viennent aidĂ© une Luna ? Ce-lĂ tiendrais de la fable. De plus comment le Luna avec pu savoir que Thilix et Vilya Ă©tait ensemble ? Encore une fois le nom de Vilya rĂ©sonna dans sa tĂȘte, comme une mine d'un temps passĂ© qui explose au moment ou on ne s'y attend pas. Il ramassa sa faux. " Tu manque de courage Luna ? Tu appel Ă l'aide ? Remet moi la fille. Mes ordres, ne sont pas de te faire la peau. RĂšgle tes comptes toi-mĂȘme. Ta mĂšre ne sera pas toujours derriĂšres toi. Garde ta fiertĂ© de mĂąle."Il posa sa faux sur ses Ă©paules et attendit."Tu ne peux rien faire, Luna. Ta bien-aimĂ© est bien trop prĂ©cieuse Ă nos yeux. Elle sera traquĂ© toute sa vie, par les immortels aussi bien que par les mortels. Tu lui Ă©viterait bien des tourments, si simplement tu nous la remet sans faire d'histoire. D'autre que nous viendrons... jours aprĂšs jours, la meilleur chose que tu a Ă faire c nous la donner. Je te garanti, qu'elle sera traitĂ© avec dignitĂ©. Tu semble ĂȘtre un Luna puissant, sert toi de ta sagesse au lieu de tes muscles."Le ton de sa voie avait changĂ©, formulant les mots de maniĂšres normale. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Comme jadis... Comme jadis... Page 1 sur 2Aller Ă la page 1, 2 Sujets similaires» Comme c'est beau les champs...Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumImmortel Paris L'Ange-CornuSauter vers
Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Back to 4 Juin - 2355 BACK TO YOU⊠Tu Ă©tais au travail, une journĂ©e comme les autres pour toi. Tu avais depuis quelque temps beaucoup pensĂ© Ă ta mĂšre, Ă pouvoir la rencontrer d'une certaine maniĂšre. Tu avais pris le temps de faire pas mal de recherche et tu avais concoctĂ© un breuvage prĂ©vu Ă cet effet. Heureusement, tu avais Charlie avec toi au magasin qui pouvait te permettre de te concentrer sur ton projet tandis qu'elle s'occupait des clients. AprĂšs tout, en ce qui concernait tout ce qui touchait aux potions et autres breuvages, tu savais que tu ne pouvais pas douter des capacitĂ©s de ton employĂ©. Tu savais qu'elle Ă©tait une sorciĂšre bien que tu ne lui avais jamais dit. Tu Ă©tais avec un client en train de le conseiller tandis que la blonde Ă©tait derriĂšre le comptoir. Tu avais rĂ©ussi Ă satisfaire la demande de ton client et ce dernier s'en alla vers la caisse tandis que la cloche du magasin sonna, indicateur qu'une nouvelle personne entra dans l'Ă©tablissement. Tu Ă©tais tellement ravie que ton magasin soit si populaire et que tu ne sois pas en manque de clients. Enfin, il faut dire qu'avec une ville comme Tulsa, berceau des mystĂšres de la vie, berceau du royaume de la nuit. Tu allas donc voir le client en question quand tu vis cet homme, ton cĆur eu un ratĂ©. Il Ă©tait tellement beau, comme si, d'une certaine maniĂšre, tu le connaissais. Sa beautĂ© et sa prestance te frappĂšrent en premier lieu tandis que tes joues se rĂ©chauffĂšrent et que ton cĆur cognait ardemment dans ta poitrine. Cela te perturba davantage Ă©tant donnĂ© dont cela ne t'Ă©tait pas arrivĂ© depuis la mort de ton fiancĂ©, mort que tu venais rĂ©cemment d'en faire le deuil. Tu avais pris l'habitude de perdre tes proches depuis tes parents et celui que tu aimais. Tu repris rapidement contenance Monsieur, puis-je vous aider ? » Fis-tu alors en souriant grandement tandis que ton esprit continuait de chercher d'oĂč est-ce que tu avais bien pu le connaĂźtre pour que ce visage te sois si familier Vous cherchez quelque chose en particulier ? » Repris-tu alors en essayant d'ĂȘtre le plus professionnel possible. Tu Ă©tais aprĂšs tout la patronne des lieux et il serait dĂ©placĂ© qu'en tant que dirigeante, tu ne puisses pas ĂȘtre maĂźtresse de toi-mĂȘme en ce lieu. Bien que tu savais que Charlie pour t'occuper des autres clients. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 047Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ La journĂ©e avait Ă©tĂ© longue. Trop longue mĂȘme. Alexys avait enchaĂźnĂ© plusieurs gardes. Les malades continuaient d'affluer et le travail ne se faisait pas attendre. Cela faisait 72 heures qu'il n'avait pas quittĂ© les locaux de l'hĂŽpital. Heureusement pour lui, personne ne l'attendait Ă la maison. Son cousin Ă©tant parti en voyage, Alexys avait tout le loisir de s'atteler Ă ce qu'il savait faire le mieux Aider les humains. Bien qu'Ă©tant un vampire qui s'abreuvait du sang des ĂȘtres humains, il avait Ă cĆur d'essayer par tous les moyens possibles de les sauver. Ces derniers jours, une patiente en particulier, avait retenu son intention. C'Ă©tait une petite mamie, pas plus vieille que la sienne. Elle Ă©tait tombĂ©e dans la rue. Rien de bien grave, si ce n'est une belle fracture du fĂ©mur. La dame avait quittĂ© les urgences pour le service de chirurgie orthopĂ©dique depuis un moment, mais Alexys passait chacune de ses pauses Ă ses cĂŽtĂ©s. Le jeune homme aimait beaucoup sa compagnie. Depuis qu'il Ă©tait revenu Ă Tusla, sa vie Ă©tait bien solitaire, sa grand-mĂšre Ă©tant restĂ©e en Irlande. Avoir cette petite dame dans les parages, lui faisait beaucoup de bien. Alexys s'Ă©tait mĂȘme surpris Ă lui parler un peu de sa vie. Bien sĂ»r, il Ă©tait loin de lui avouer son petit secret, mais leurs conversations l'amusaient. Alors qu'Alexys quittait l'enceinte de l'hĂŽpital, l'un de ses collĂšgues le rattrapa. La petite mamie avait besoin d'huile de lavande et de citron pour son diffuseur qu'elle emmenait toujours avec elle. Il Ă©tait vrai que le jeune homme s'Ă©tait proposĂ© pour lui en ramener au besoin mais ... Pourquoi aujourd'hui ? Il avait tellement Ă faire. Et puis, oĂč allait-il trouver ça ? Tusla avait bien changĂ© depuis le temps oĂč il y avait vĂ©cu. Pas le choix. Alex s'arma de son tĂ©lĂ©phone et lança une recherche internet. Le nom d'une boutique sortit du lot. Le LusanaĂ«l, 5 minutes Ă pied. Parfait ! En arrivant devant la devanture du magasin, Alexys s'arrĂȘta. Sortant le petit mot qui lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de la part de la mamie, il tenta de se rappeler des huiles pour lesquelles, il se trouvait ici. Quand cela fĂ»t encrĂ© dans sa mĂ©moire, il pris une grande inspiration et entra. A l'intĂ©rieur, il y avait des gens mais pas non plus la cohue. Les vendeuses avaient l'air occupĂ©e donc il patienta sagement en regardant les diffĂ©rentes pierres. Alexys n'Ă©tait pas friand de ce genre de croyance, mais cela ne l'empĂȘchait pas de les trouver jolies Ă regarder. D'ailleurs, en parlant de jolie Ă regarder ... Son regard fĂ»t attirĂ© par l'une des vendeuses. La brunette. AĂ«lynn. Mais que faisait-elle lĂ ? A premiĂšre vue, elle semblait travailler ici. Dommage. Alexys eu bien envie de fuir devant la dĂ©couverte, mais trop tard, la brunette se dirigea dĂ©jĂ vers lui pour le renseigner. Quand AĂ«lynn lui demanda si elle pouvait l'aider, Alexys resta stoĂŻque ... Comme paralysĂ©. Pour ĂȘtre honnĂȘte, il ne s'attendait pas Ă tomber sur elle. Autrefois, il l'aurait bien envoyĂ© balader mais aujourd'hui, l'enjeux avait changĂ©. Le jeune homme devait absolument se reprendre. Et son sourire ... Oh misĂšre. " Je ... Hum ... A vrai dire ... Oui. J'aurai besoin d'huiles essentielles de lavande et de citron, s'il vous plait. "Ce ton embarrassĂ© ne lui convenait vraiment pas, mais que faire ? La brunette ne semblait pas le reconnaĂźtre. A vrai dire, il sentait une pointe de dĂ©ception lui parcourir les veines. Depuis son retour, le jeune homme ne s'Ă©tait jamais vraiment approchĂ© de la jeune femme, l'observant de loin, comme un vieux pervers. Si dans sa jeunesse, elle ne l'avait jamais intĂ©ressĂ©, aujourd'hui, la donne avait changĂ©e. Quelque chose qu'il ne pouvait expliquer l'attirer inĂ©vitablement vers elle. Sortant de sa stupeur, Alexys tenta une petite approche furtive afin de voir si la brunette ne gardait pas quelques souvenirs du petit garçon qu'il avait Ă©tĂ©, il fĂ»t un temps." Vous me rappelez beaucoup une jeune fille que j'ai connu, il y a quelques annĂ©es ... "DĂ©routant. Ca l'Ă©tait. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 5 Juin - 1151 BACK TO YOU⊠Il Ă©tait vrai qu'en te levant le matin, tu Ă©tais loin de te douter de ce qu'il allait pouvoir se passer dans la journĂ©e, tu avais des talents certes, mais tu n'avais pas le pouvoir de prĂ©monition. Quand bien mĂȘme certains pouvaient le penser, tu n'Ă©tais pas une sorciĂšre. Tu avais acquis l'art des plantes, des runes, des potions... Mais tu n'avais pas de pouvoir magique ou quel autre don. Bien souvent, on l'oubliait, mais tu Ă©tais une chasseuse comme tes frĂšres et sĆurs, enfin, tu l'avais dans le sang. En fronçant les sourcils, tu avais l'impression d'ĂȘtre une cracmol comme dans la littĂ©rature d'Harry Potter, avoir les gĂȘnes, mais pas le pouvoir. Pourtant, tu avais bien la force surhumaine ainsi que l'ouĂŻe, l'agilitĂ©, le rĂ©flexe et la guĂ©rison rapide des chasseurs. Toutes ces caractĂ©ristiques qui te diffĂ©renciaient des simples mortels. Tu secouais la tĂȘte et tu te concentras sur ta tĂąche maintenant que tu avais pus venir en aide Ă une personne, c'est Ă ce moment-lĂ que la cloche retentit, indiquant qu'un nouveau client entra dans ton magasin. Et lĂ , comme si plus rien existait autour de toi, tu ne voyais que lui. Ce grand blond, les cheveux bouclĂ©s et les yeux d'un bleu ocĂ©an tel qu'on pourrait s'y noyait. Ton cĆur dĂ©jĂ conquis Ă cette simple vision, cela te perturbait au plus au point et pour cause, premiĂšrement tu Ă©tais certaines de le connaĂźtre, ton Ăąme peut-ĂȘtre ? Il est dit que certaines Ăąmes sĆur pouvaient se reconnaĂźtre instantanĂ©ment, mais tu savais bien que c'Ă©tait autre chose. DeuxiĂšme, c'Ă©tait bien l'unique et premiĂšre fois que ton cĆur battait de la sorte et depuis la mort de ton fiancĂ© jamais tu ne l'aurais cru possible.... D'autant plus, que d'aussi loin que tu t'en souviennes, mĂȘme pour ce dernier, il n'avait jamais bats de la sorte. Tu t'en voulais instantanĂ©ment, mais aprĂšs tout, tu Ă©tais libre et tu ne le lui devais plus rien maintenant qu'il Ă©tait parti rejoindre l'au-delĂ , que son Ăąme sâapprĂȘtant Ă habiter un autre corps. Car oui, tu croyais en la rĂ©incarnation, tout comme en Karma... Sinon, comment cela pouvait ĂȘtre possible qu'autant de malheur s'abatte sur toi ? Si ce n'est que tu devais ĂȘtre une horrible personne dans ta vie antĂ©rieure. Enfin, calmant ton cĆur fougueux et reprenant tes esprits, tu fis ton devoir de vendeuse et te renseignant sur la demande de ton client C'est pour quel usage ? Demandas-tu ? » Te renseignas-tu donc Nous allons avoir de la citronnelle de Java pour ce qui recommandĂ© pour d'arthrites, tendinites ou rhumatismes ou alors celle de Ceylan plus pour les moustiques ou dĂ©mangeaisons » Fis-tu donc tout en prenant un sachet d'huile de lavande. Tu le regardais, toujours troublĂ©e, fascinĂ©e et attirĂ©e par lui. Tu fronças les sourcils quand il te disait te connaĂźtre. Tu ouvris la bouche puis tu la refermas ne sachant pas quoi dire. Alors peut-ĂȘtre que lui aussi pensait comme toi. Peut-ĂȘtre ressentait-il aussi ce que tu ressentais ? Tu rougis immĂ©diatement Ă cette pensĂ©e et tu te maudis. Tu Ă©tais pourtant si douĂ©e pour cacher tes Ă©motions habituellement, mais avec lui, c'Ă©tait plus compliquĂ©e Tu vis Ă Tulsa depuis longtemps ? » Demandas-tu bien que dans ta mĂ©moire, ce visage et cette allure imposante Ă ton cĆur, tu l'aurais reconnue. Cependant, tu n'avais jamais quittĂ© cette ville alors tu ne pouvais connaĂźtre que d'ici. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 5 Juin - 1403Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ Pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte. Alexys n'y connaissait strictement rien aux plantes, huiles et autres objets mystiques. Le jeune homme avait bien conscience que les vampires n'Ă©taient pas les seules et uniques crĂ©atures qui existaient et cohabitaient ensemble. Des loups, des sorciĂšres et mĂȘme des chasseurs. Quel beau petit monde. Tout cela, il l'avait dĂ©couvert lorsqu'il avait rĂ©alisĂ© des recherches aprĂšs sa transformation. Tusla semblait compter dans sa population bon nombre de ses crĂ©atures. A l'Ă©poque, il lui avait semblĂ© essentiel de revenir sur sa terre natale afin de dompter sa nouvelle nature. La seule chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait de devoir dompter la nouvelle nature de son cousin. Grand bien lui fasse, ce dernier avait dĂ©cidĂ© de faire le tour du monde. Un problĂšme de moins dans les environs, c'Ă©tait dĂ©jĂ pas contre, la deuxiĂšme chose qu'il n'avait pas prĂ©vu, c'Ă©tait que la petite moche d'Ă cĂŽtĂ© qui aujourd'hui, Ă©tait devenue une trĂšs belle chenille, provenait d'une cĂ©lĂšbre famille de chasseurs. Etant enfant, la famille n'avait pas vraiment d'importance. Mais aujourd'hui, l'histoire Ă©tait tout autre. C'est surement la raison pour laquelle Alexys n'avait jamais vraiment osĂ© s'approcher d'AĂ«lynn. Bien qu'elle l'attirait beaucoup. Tragique existence. Comment faire quand l'objet de vos dĂ©sirs, pouvait se rĂ©vĂ©ler ĂȘtre l'objet de votre perte ? Bien qu'Alexys aie une fĂącheuse tendance aux comportements auto-destructeurs, il n'Ă©tait pas suicidaire pour autant. Leur rencontre aujourd'hui, Ă©tait tout bonnement fortuite. Une simple demande d'une grand-mĂšre qui avait su effleurer le cĆur de pierre du jeune homme. Alors qu'Alexys buvait ses paroles d'une façon trĂšs niaise, la carotide de la jeune femme attira son attention. L'odeur de son sang mĂȘme, l'attirait. Comme un doux parfum dont ses narines, ne pouvaient se dĂ©faire. Quoiqu'il en soit, ses instincts de vampire se devaient de disparaĂźtre aussi vite que l'Ă©clair. Le jeune homme ne pouvait se trahir aussi facilement. Sa main se posa dans sa chevelure blonde, jouant quelques instants avec une boucle afin de donner l'impression d'une rĂ©flexion intensive. Ou pas. " Je pense que la citronnelle de Java fera l'affaire. C'est pour l'une de mes patientes qui a quelques soucis de hanche pour le moment. C'est elle qui m'a demandĂ© de lui en rapporter. Les huiles et les cailloux, ce ne sont pas vraiment mon domaine de prĂ©dilection pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte. "Instant live OK. Oui bon, la petite explication n'Ă©tait pas vraiment nĂ©cessaire, mais Alexys ressentait un rĂ©el besoin de se justifier. Le jeune homme ne voulait pas passer pour un petit ĂȘtre fragile qui avait besoin de ses petites huiles pour soigner des maux de grand-pĂšre et il ne voulait surtout pas que la jeune femme pense qu'une autre femme se cachait sous cette demande. Il Ă©tait bien connu que ce genre de pratique Ă©tait trĂšs souvent fĂ©minine. Se grattant doucement la tĂȘte pour cacher une petite gĂȘne, Alexys se rendit compte que les joues de la jeune femme, avaient rougi Ă sa question. Cependant, cela fit vite effacĂ© par des sourcils froncĂ©s et une mine qui en disait long. Apparemment, la tĂȘte du jeune homme ne lui disait rien. Dommage. Cela aurait tellement Ă©tĂ© plus simple pour l'aborder. Arriver avec des gros sabots et lui dire Hey Meuf ! Tu me plais. Ăa fait un moment que je t'observe Ă la façon de Joe Goldberg dans la sĂ©rie You. Non. Hors de question. Croisant les bras derriĂšre son dos, Alexys lui servit son plus beau sourire. Ce sourire, il en avait dĂ©jĂ fait des ravages. C'Ă©tait son meilleur numĂ©ro de charme pour attirer l'attention des jolies filles. Jusqu'Ă prĂ©sent, cette technique avait toujours portĂ©e ses fruits." Je suis originaire de Tusla mais j'ai dĂ» quitter la ville quand j'Ă©tais enfant pour rejoindre de la famille Ă l'Ă©tranger. Maintenant, ça doit faire environ deux ans que je suis revenu dans le coin. "AĂ«lynn semblait troublĂ©e par l'interrogation du jeune homme. Ne voulant pas la brusquer puisqu'il avait enfin rĂ©ussi Ă lui adresser quelques mots, il soupira lĂ©gĂšrement avant de continuer sur sa lancĂ©e." Mais ne vous en faites pas. J'ai surement dĂ» me mĂ©prendre. J'ai connu quelqu'un qui vous ressemblez beaucoup dans ma jeunesse. C'est surement la raison pour laquelle, je vous ai confondue. Veuillez m'excuser pour ma maladresse. " Une petite rĂ©vĂ©rence Ă la maniĂšre des bourgeois. L'arme ultime de sĂ©duction. CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 6 Juin - 016 BACK TO YOU⊠Et tu Ă©tais lĂ , Ă faire ton travail de vendeuse tandis que ton esprit et ton cĆur n'Ă©taient plus vraiment lĂ , distrait par la beautĂ© de ce jeune homme. Tu avais du mal Ă garder contenance et ton sĂ©rieux, mais tu Ă©tais la propriĂ©taire de ces lieux. Alors quand il te parla de ce qu'il voulait, tu sautais sur l'occasion pour parler des produits, cela t'obligeait Ă ne pas penser Ă l'impact de ses lĂšvres sur les tiennes, de ses baisers le long de ta nuque. Ce n'Ă©tait pas du tout professionnelle d'une part et d'un autre, tu ne le connaissais mĂȘme pas ce n'Ă©tait pas sĂ©rieux du tout. Tu te mis Ă rire quand il s'expliqua Effectivement alors, c'est mieux celle de Java » Fis-tu alors Les cailloux, vraiment ? » Repris-tu en levant les sourcils tout en ayant une petite moue amusĂ©. Comment pouvait-il dire cailloux » dans ce genre d'Ă©tablissement Je vous crois quand vous me dĂźtes que vous y connaissez rien » Repris-tu alors toujours le sourire aux lĂšvres tandis que tu t'Ă©loignais de lui dĂ©jĂ pour lui prendre son huile de Java et ensuite pour pouvoir reprendre tes esprits, cela ne te ferait pas de mal, au contraire. Avant de le rejoindre de nouveau, tu fis un petit dĂ©tour afin de prendre un petit bouquin concernant les runes et les pouvoirs de pierres sur l'environnement, les personnes Peut-ĂȘtre que ceci vous intĂ©resserez ? Si jamais les cailloux vous intrigues » Proposas-tu donc en reprenant exprĂšs son terme afin de la taquiner. Et tout comme le fait qu'il te paraissait si familier, le fait de parler ou bien mĂȘme de plaisanter avec lui Ă©tait comme naturel, comme si vous Ă©tiez des vieux amis de longue date. Et pourtant, ce n'Ă©tait pas le cas. IndĂ©niablement, il y avait un lien entre vous. Et d'ailleurs, ce dernier devait penser la mĂȘme chose puisque tu avais pour lui, la mĂȘme familiaritĂ©, Tulsa Ă©tait une si petite ville. Et comme une dĂ©charge Ă©lectrique, ce sourire. Bien sĂ»r que tu le connaissais, ce cĂŽtĂ© charmeur. Tu compris, tu savais Je n'y peux rien, c'est de ma famille... Si tu voyais celui de mon cousin, il est encore plus diabolique » C'Ă©tait ce que James te disait. James, l'homme avec qui tu Ă©tais, ton premier amour, ton fiancĂ©, qui est mort il y a un moment maintenant. Et comme une dĂ©ferlante de souvenirs de toi enfant, ta meilleure amie, James et son cousin jouant ensemble, son cousin qui t'agaçait Ă avoir de trop longue jambes pour pouvoir lui courir aprĂšs Alexys ? » Fis-tu avec un mĂ©lange d'affirmations et de questionnement. InstantanĂ©ment, tu reculas, te cognant par la mĂȘme occasion contre le meuble derriĂšre toi. Tu n'avais jamais eu de nouvelle de lui, il n'avait mĂȘme pas dĂ©niĂ© venir Ă l'enterrement de son cousin, pourtant si proche. Une vague de colĂšre naquit en toi et surtout, un torrent de culpabilitĂ©, comment cela se faisait-il que le seul gars qui avait rĂ©ussis Ă faire battre de ton cĆur depuis la mort de ton fiancĂ© Ă©tait le cousin de ce dernier. Une petite larme tentait de s'Ă©chapper dans le coin de ton Ćil. Tu avais l'impression d'ĂȘtre une horrible personne quand mĂȘme. Et pourtant, tu ne pouvais admettre que James avait eu raison Ă chaque fois, le sourire et le charme d'Alexys Ă©tait bien plus diabolique que celui de James, bien difficile Ă y rĂ©sister. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 6 Juin - 2148Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸ Les cailloux que la jeune femme vendait, n'intĂ©ressaient vraiment ... Vraiment ... VRAIMENT pas Alexys. Un peu macho sur les bords, le jeune homme avait toujours considĂ©rĂ© que certaines activitĂ©s Ă©taient beaucoup plus fĂ©minines que d'autres et que cela devait le rester. AĂ«lynn se serait surement bien entendu avec MĂ©mĂ© Ellis. Durant sa jeunesse, sa grand-mĂšre rangeait toujours des pierres Ă de nombreux endroits dans la maison. Alexys n'avait jamais vraiment compris pourquoi. Maintenant qu'il Ă©tait tombĂ© Ă ses dĂ©pends dans le monde surnaturel, les lubies de sa grand-mĂšre, Ă©taient peut-ĂȘtre justifiĂ©es en fin de compte. Quoi qu'il en soit, Alexys ne voulait pas se montrer impoli envers la jeune femme qui semblait dĂ©jĂ contrariĂ©e par le surnom que donnait le jeune homme aux pierres mystiques. SacrilĂšge. Voyant qu'AĂ«lynn s'Ă©loignait de quelques pas afin d'aller chercher l'huile que lui avait demandĂ© Alexys, il l'a suivi. " Vraiment. Ce n'est pas que je remets en doute leurs ''propriĂ©tĂ©s'', bien au contraire. Et puis, je n'oserai pas insultĂ© la profession d'une si jolie demoiselle. Avec votre sourire, je suis sĂ»re que vous arriveriez Ă vendre un livre Ă un aveugle. "Bien que le compliment soit trĂšs grossiĂšrement lancĂ© dans la marre aux grenouilles, Alexys Ă©mit un petit rire. Il Ă©tait vrai que plus jeune, AĂ«lynn n'avait pas vraiment marquĂ© de sa beautĂ© l'esprit du jeune homme qui a cet Ăąge, pensait plus Ă jouer au playmobil qu'Ă draguer les petites filles. Mais aujourd'hui ... Quelle beautĂ©. D'ailleurs, Alexys se souvenait trĂšs bien du jour oĂč il avait revu la jeune femme par le plus grand des hasards. Comme Ă son habitude, Alexys traĂźnait dans le parc municipal sans rĂ©el but, si ce n'est que d'observer les nuages. C'est Ă ce moment-lĂ qu'elle apparue sur le sentier non loin de lui, telle une dĂ©esse tombĂ©e du ciel. Les cheveux virevoltant Ă la brise lĂ©gĂšre, sa dĂ©marche affirmĂ©e, son sourire ... Oh son sourire... Aussi flamboyant que le soleil. L'image semblait irrĂ©elle. Jamais une femme n'avait su attirer son regard de cette façon. Sans vraiment savoir le pourquoi, du comment, Alexys se sentait comme attirĂ© vers elle. D'ailleurs, il chercha par tous les moyens Ă la revoir. Ce n'est que bien plus tard, qu'il dĂ©couvrit que la jeune femme n'Ă©tait autre que son ancienne voisine. Puisque gentiment AĂ«lynn lui tendit un livre afin de combler son manque de connaissances en matiĂšre de pierre, Alexys n'eue pas le cĆur Ă lui refuser. Tout en lui souriant, il lui pris des mains. Pour ĂȘtre tout Ă fait honnĂȘte, Alexys se sentait déçu que la jeune femme ne se souvienne pas de lui. Avec ses bouclettes blondes, il pensait ĂȘtre inoubliable dans l'esprit des gens. A croire que le ressenti que le jeune garçon avait Ă cette Ă©poque envers elle, Ă©tait rĂ©ciproque. MĂȘme si Ă son habitude, Alexys avait l'art d'insister lorsqu'il voulait obtenir quelque chose, cette fois-ci, il n'en Ă©tait rien. Cette fille avait ce genre d'emprise sur lui, sans s'en rendre compte. Il ne voulait pas la brusquer. Et puis, il avait tout son temps. AprĂšs tout, le jeune homme Ă©tait vampire maintenant. Alors s'il fallait d'abord passer par le stade connaissance et ami afin d'acquĂ©rir sa confiance, Alexys comptait bien le faire. D'ailleurs, depuis tout ce temps, le jeune homme ne s'Ă©tait mĂȘme pas posĂ© la question de savoir si AĂ«lynn avait quelqu'un dans sa vie ? De toute façon quoi qu'il en Ă©tait, Alexys comptait bien rentrer dans la vie d'AĂ«lynn comme une petite puce. D'abord, invisible. Ensuite, envahissante. Et quand on se rend compte qu'elle est indĂ©logeable, il est dĂ©jĂ trop tard, vous ĂȘtes mordu. Le jeune homme Ă©tait loin d'ĂȘtre un expert en amour. D'ailleurs, pouvait-on rĂ©ellement parler d'amour ? L'amour ? Quesako ? Alexys n'avait jamais aimĂ©. Mais par contre, rien ne l'arrĂȘter. Dans le genre dĂ©terminĂ©, c'Ă©tait un expert. L'espace d'un instant, Alexys ne compris pas trop ce qui venait de se passer. Alors qu'il s'Ă©tait rĂ©signĂ© pour cette fois, Ă ce qu'AĂ«lynn ne le reconnaisse pas, cette derniĂšre cita son prĂ©nom et se retrouva l'instant d'aprĂšs en mode table bancale contre un meuble. D'une Ăąme chevaleresque, le jeune homme s'approcha d'elle et lui tendit sa main afin de l'aider Ă se remettre sur ses jambes, tout en lui souriant." Si on m'avait dit que citer mon prĂ©nom procurait cet effet, je ne t'aurai pas demandĂ© si tu me reconnaissais ... Tu ne t'es pas fait mal, j'espĂšre ? "Un rapide coup dâĆil et de narines, permit Ă Alexys de supposer que la jeune femme n'avait rien. Le choc n'avait pas Ă©tĂ© violent mais tout de mĂȘme. Cependant, mĂȘme si Alexys avait pris l'accident comme une maladresse, il se surpris Ă se demander pourquoi AĂ«lynn avait un air aussi triste. " Si j'avais su que me revoir te dĂ©plairait autant, je n'aurai rien dit. "Le jeune homme Ă©tait un peu blessĂ© par la rĂ©action de la jeune femme. D'ailleurs, sa mine charmeuse laissa place Ă un petit rictus gĂȘnĂ©. MĂȘme s'ils n'avaient jamais Ă©tĂ© aussi proche qu'une moule et son rocher, Alexys espĂ©rait quand mĂȘme un peu plus d'enthousiasme. Un peu comme lorsqu'on retombe sur son vieux survĂȘtement prĂ©fĂ©rĂ© qu'on avait oubliĂ© de mettre au lavage depuis un mois et qu'on pensait avoir perdu ... Tenant fermement le livre que lui avait donnĂ© plus tĂŽt AĂ«lynn dans sa main gauche, le jeune homme jeta un rapide coup dâĆil Ă l'environnement. Une deuxiĂšme vendeuse se tenait Ă la caisse et par miracle, elle ne semblait pas occupĂ©e. Grimaçant lĂ©gĂšrement avant de soupirer doucement, Alexys lui sourit timidement un instant." Je ne vais pas te dĂ©ranger plus longtemps. Tu dois surement ĂȘtre occupĂ©e. "Ătait-ce l'unique Ă©chappatoire pour se tirer de cette situation plutĂŽt embarrassante. Bien qu'Alexys n'avait pas envie de partir aussi prĂ©cipitamment, la tournure de la situation lâexigeait. En tout cas, il n'aurait jamais imaginĂ© que leurs retrouvailles se dĂ©rouleraient de la sorte ... Et Me*de !! CODAGE PAR AMATISDerniĂšre Ă©dition par Alexys Ellis le Mer 17 Juin - 026, Ă©ditĂ© 1 fois Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 7 Juin - 017 BACK TO YOU⊠Ătait-ce bien sĂ©rieux de se laisser charmĂ© de la sorte en plein milieu du magasin, de ton magasin ? Tu connaissais bien la rĂ©ponse, cela ne se faisait pas. Mais combien de personne pouvait nous transporter en si peu de seconde avec un regard, une odeur, un sourire ? C'Ă©tait juste irrĂ©elle, oui, c'Ă©tait ça le terme, lui et toute cette Ă©nergie qui se passait entre vous... Tu croyais fĂ©rocement aux Ăąmes sĆurs, tu croyais rĂ©ellement que deux personnes Ă©taient destinĂ©e tout comme tu croyais farouchement qu'on pouvait aimer plus d'une personne en mĂȘme temps et encore plus tout le long d'une vie, qu'on pouvait tomber amoureux plusieurs fois lors de notre passage sur terre, mais pour l'Ăąme-soeur, sa moitiĂ©, il n'y en avait qu'une. Et c'est donc comme cette Ă©vidence qui te frappa l'esprit... Pourtant, tu Ă©tais dĂ©jĂ tombĂ©e amoureuse, tu avais dĂ©jĂ connu l'amour, le bonheur, un homme dont tu Ă©tais persuadĂ© que tu finirais avec, oĂč tu avais rĂȘvĂ© de construire une famille, un empire avec. Tu l'avais aimĂ© de tout ton cĆur, pourtant, tu devais bien le reconnaĂźtre... MĂȘme s'il y avait eu de l'amour et de la complicitĂ©, de la tendresse et du respect... Il n'y avait pas cette attraction incontrĂŽlable, cette attirance dĂ©chaĂźnĂ©e. Tu n'Ă©tais qu'un pantin manipulĂ© par le fil du destin. Il est vrai que tu t'Ă©tais souvent imaginĂ© avoir un fil invisible au-dessus de ta tĂȘte oĂč l'univers dirigeait avec un sadisme sans borne. Tu le regardas, rougissante Ă nouveau avant de regarder le sol, son regard d'un bleu/vert si magnifique en Ă©tait trop pour toi, incapable de le soutenir sans perdre tout sens de la rĂ©alitĂ© Et vous, guĂ©rir toutes les mamies avec un regard pareil » RĂ©pliquas-tu doucement en rentrant dans son jeu, sans pour autant te mettre en danger plus que tu ne le faisais dĂ©jĂ . Et tu pensais qu'il ne pourrait pas plus t'atteindre, mais tu te trompais lourdement... Ce sourire qu'il venait d'afficher, tu le connaissais, tu le connaissais pour avoir vĂ©cu une belle histoire d'amour avec un autre qui possĂ©dait la mĂȘme, un homme que le destin t'avait arrachĂ©. Ce charme familial. En prononçant son prĂ©nom et voyant son visage confirmer que c'Ă©tait bien lui, tu reculas, comme pour te protĂ©ger de cette attraction. Tu Ă©tais pourtant si prĂȘte Ă te laisser embarquĂ©e dans ce bateau mystĂ©rieux, mais cette rĂ©vĂ©lation te fit froid dans le dos. Comment se pouvait-il que celui que tu croyais ĂȘtre ton Ăąme sĆur soit le cousin de l'homme avec qui tu devais t'unir pour la vie ? Tel un chevalier, il t'aida Ă te remettre sur pied, Ă contre cĆur, tu acceptas. Son touchĂ©, le seul touchĂ© de sa main sur la tienne te donna des frissons et ta douleur et ta colĂšre refirent surface. Bien sĂ»r que je n'Ă©tais pas ravie de le voir, tu l'avais tellement maudits ces derniĂšres annĂ©es, il avait abandonnĂ© son cousin, son cousin qui le considĂ©rait comme son meilleur ami, comme son confident Tu n'as jamais Ă©tĂ© trĂšs sympa avec moi lorsque nous Ă©tions enfants » RĂ©pondis-tu, c'Ă©tait une demi vĂ©ritĂ©, mais bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas les souvenirs et les comportements d'enfants qui te repoussait chez lui, c'Ă©tait le fait qu'il n'avait mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent pour les obsĂšques de ton fiancĂ©, de son propre cousin, et cela, ce n'Ă©tait pas pardonnable pour toi. Tu t'Ă©loignas de nouveau de lui, faisant attention cette fois, croisant les bras tandis qu'il avait pour projet de partir et d'aller rejoindre la caisse. Tu le laissais faire ses achats. Comme bloquĂ©e, paralysĂ©e, tu ne bougeais pas. Une part de toi te suppliait de ne pas le laisser partir comme ça, sur cette note frustration et surtout, ce n'Ă©tait pas ton genre de ne pas dire ce que tu pensais. Il quitta le magasin, tu avais dĂ©tournĂ© la tĂȘte quand tu sentis son regard une derniĂšre fois se poser sur toi. Et c'est Ă peine la porte fermĂ©e que tes jambes et ton esprit reprirent contenance. Sans un mot, tu quittais le magasin Ă ton tour James » t'Ă©crias-tu alors James tenait Ă©normĂ©ment Ă toi, il parlait souvent de toi, constamment, tu n'Ă©tais pas que son cousin, tu Ă©tais son frĂšre, son meilleur ami, son confident » Fis-tu donc tandis que le blond se retourna Et il est mort, il est mort et tu n'as rien fait... Tu n'as mĂȘme pas Ă©tĂ© prĂ©sent lors de ses funĂ©railles... Comment as-tu pu lui faire ça ? » Demandas-tu, la larme roula le long de ta joue. Tu ne savais pas si c'Ă©tait une larme de colĂšre ou de tristesse, peut-ĂȘtre mĂȘme bien les deux, qui sait. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 17 Juin - 023Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸCette situation, Alexys ne l'avait jamais vĂ©cue auparavant. Il y avait toujours une premiĂšre Ă tout. C'est vrai. Mais, le jeune homme dĂ©testait se sentir impuissant. Et quelle ironie lorsqu'un vampire se sentait impuissant. Perdu entre un sentiment Ă©trange qu'il ne pouvait comparer Ă aucun autre, et un sentiment de jet-lag complet. Un peu comme si un train lui Ă©tait roulĂ© dessus. Plus rien n'avait de sens. Cette AĂ«lynn, Alexys l'avait dĂ©jĂ tellement mĂ©prisĂ© Ă©tant enfant. A juste titre. Comment aimer une gamine aussi collant qu'un chewing-gum collĂ© Ă une basket ? OĂč qu'ils allaient, la petite fille les suivait. Gentille ? Elle l'Ă©tait. Mais, la gentillesse ne faisait pas tout. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle Alexys se sentait aussi perdu Ă l'instant prĂ©cis. Comment avait-il pu penser de telle chose alors qu'aujourd'hui, la petite moche l'attirait comme jamais personne ne l'avait fait ? Pendant tout un temps, il avait pensĂ© Ă un effet secondaire au vampirisme. Cependant, aprĂšs de nombreuses recherches dans la littĂ©rature existante sur le monde surnaturel, rien n'avait Ă©tĂ© dĂ©montrĂ© Ă ce sujet. Et Ă©videmment, Twilight n'Ă©tait pas une rĂ©fĂ©rence, hein !Alors qu'Alexys dĂ©vorait littĂ©ralement du regard la jeune AĂ«lynn, la rĂ©alitĂ© le rattrapa aussi vite que la vitesse de la lumiĂšre. Pouf. Hypercute. KO total. Que rĂ©pondre à ça ? La jeune femme avait totalement raison. DĂšs le moment oĂč Alexys avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, l'ambiance avait brusquement changĂ©. Le charme semblait avoir laissĂ© sa place Ă l'amertume. Le jeune homme n'avait pas l'habitude de perdre le contrĂŽle. Il ne pouvait pas se dĂ©filer alors qu'il venait de faire le plus gros du travail d'approche. Un peu comme Ă la chasse, le plus important, c'Ă©tait d'approcher de l'animal sans qu'il ne fuit. Maintenant que cette Ă©tape Ă©tait passĂ©e, il ne restait plus qu'Ă apprivoiser la tigresse qui lui lançait des regards aussi enflammĂ©s que des mitraillettes prĂȘtes Ă faire feux Ă tout moment. Je ⊠Euh. Disons simplement que l'Ăąge fait mĂ»rir notre intelligence. C'est bien connu ⊠»Alexys balbutia ces quelques mots avec beaucoup de difficultĂ©s. Comment justifier la bĂȘtise de sa jeunesse ? AprĂšs tout, il n'y avait que les idiots qui ne changeaient jamais d'avis ⊠Mais quel idiot ! Quel idiot faisait-il maintenant ! Alexys avait beau avoir eu des dizaines de filles dans ses bras, jamais aucune d'entre elles, ne l'avaient bouleversĂ© comme le faisait la jeune femme. MĂȘme un million de leurs Je t'aime », n'ont jamais rĂ©ussi Ă faire fondre son cĆur de glace. Comment expliquer qu'un simple battement de ses cils, l'enflammait instantanĂ©ment ? Chacun de ses sourires rĂ©chauffaient son Ăąme. La regarder, Ă©tait un rĂ©el plaisir. Une rĂ©elle obsession. Un rĂ©el besoin. Cette rencontre, Alexys en avait souvent rĂȘvĂ©. Et pourtant, la tournure que prenait cette conversation, frĂŽlait bientĂŽt la sensation dĂ©sagrĂ©able, Alexys l'avait ressenti en aidant AĂ«lynn. Le dĂ©testait-elle autant pour frissonner de cette façon Ă son contact ? Jetant un coup dâĆil rapide Ă sa main, le jeune homme resta bloquĂ© un instant. Ses pensĂ©es dĂ©ferlaient dans son esprit comme les rapides d'une riviĂšre tourmentĂ©e. Beaucoup de sentiments se bousculaient. Devait-il ĂȘtre exĂ©crable avec elle ? Devait-il la pousser d'oĂč il l'avait aidĂ© Ă sortir pour se venger de sa rĂ©action ? Devait-il lui avouer son obsession ? OĂč devait-il tout simplement fuir ? La fuite n'avait jamais Ă©tĂ© sa meilleure tactique. En d'autres temps, il l'aurait sĂ»rement repoussĂ© dans le meuble sur lequel, elle Ă©tait tombĂ©e. Se moquant royalement de sa douleur. Ătrangement, c'est la fuite que choisit Alexys. Un lĂąche. VoilĂ ce qu'il Ă©tait pour le que ses achats Ă©taient rĂ©glĂ©s, Alexys pouvaient prendre ses jambes Ă son cou et partir loin. TrĂšs loin de cette boutique. Cette boutique, le jeune homme n'y aurait jamais mis les pieds s'il n'avait pas eu pitiĂ© de cette petite vieille aux yeux de biche. Pourtant, en posant sa main sur la poignĂ©e, un sentiment de regret le traversa comme un coup de poignard en plein cĆur. L'espace d'un instant, la vision de cette femme marchant dans ce parc, repassa devant ses yeux. Elle, qui l'avait tant obnubilĂ© depuis ce jour. Devait-il s'avouer vaincu aussi facilement ? Lui qui avait tellement espĂ©rĂ© ce contact ⊠Aussi simple et bref avait-il Ă©tĂ© ⊠Rapidement, le jeune homme pesa le pour et le contre. Mais pourquoi rester alors que sa prĂ©sence semblait dĂ©ranger la jeune femme au plus haut point ? C'est donc avec beaucoup d'amertume qu'Alexys ouvrit la porte et sortit de la boutique, jetant un dernier regard dĂ©sespĂ©rĂ© Ă la jeune femme, avant de tourner les talents. Puisqu'il Ă©tait en possession de l'huile, autant la ramener Ă la petite vieille. Et puis, autant lui donner le livre par la mĂȘme occasion. Alexys ne voulait garder aucun souvenir de cette rencontre. Le mieux, Ă©tait de tout donner. Pourtant, alors que ses pensĂ©es s'entrechoquaient entre-elles, telles des boules de pĂ©tanque qu'on lançait lors d'un tournoi, le jeune homme entendit des pas trĂšs rapides qui se dirigeaient dans sa direction. Ne voulant pas paraĂźtre dĂ©sespĂ©rĂ©, Alexys ne se retourna pas pour assouvir sa curiositĂ© ardente. Pourtant, le prĂ©nom que prononça au loin la jeune femme, fit stopper net Alexys. La suite de son discours, finit par le scotcher littĂ©ralement. Pourquoi accordait-elle tout Ă coup, autant d'importance Ă James, son cousin ? Alexys ne comprenait pas un traitre mot de ce que dĂ©blatĂ©rait AĂ«lynn. D'ailleurs quand il se retourna pour lui faire face, la vision qui lui fit face, le choqua profondĂ©ment. Pourquoi pleurait-elle ? Pourquoi semblait-elle aussi atteinte par la mort de James ? Enfin la mort ⊠James ne valsait pas avec les vers de terre, certes. Mais ça, Alexys ne pouvait l'avouer Ă la jeune femme. La seule chose qu'il avait envie de faire ⊠C'Ă©tait de lui crier dessus. Une vague de colĂšre l'envahit. Que sais-tu vraiment de notre relation avec James ? Qui es-tu pour me juger ? Que sais-tu de moi ? De ma vie ? De mon passĂ© ? Comment peux-tu te permettre de me faire la morale de la sorte alors que je ne t'aurai mĂȘme pas donnĂ© l'heure, il y a quelques annĂ©es ? Ne fais pas comme ci tes pleures m'attendrissaient au point de me justifier, AĂ«lynn. Je n'ai de compte Ă rendre auprĂšs de personne. »Dur. Les mots que venaient d'employer Alexys, Ă©taient durs. TrĂšs durs. MĂȘme trop durs. Le jeune homme se sentait en colĂšre. La colĂšre Ă©tant amplifiĂ©e par le cĂŽtĂ© vampirique, le rendait encore plus exĂ©crable qu'avant. Il n'avait pris aucune pincette avec AĂ«lynn. Alexys avait simplement balancĂ© les premiĂšres remarques qui lui Ă©taient venues Ă l'esprit. Au risque de blesser la jeune femme. D'ailleurs, l'Ă©tat dans lequel elle se trouvait, lâĂ©nervait autant qu'il l'intriguait. Pourquoi rĂ©agissait-elle comme ça ? Quelle relation pouvait-elle bien entretenir avec James pour se mettre Ă pleurer ? Alexys avait toujours su que si la jeune femme les collait Ă©tant jeune, c'Ă©tait sĂ»rement parce qu'elle en pinçait pour l'un d'eux. Pourtant, James n'avait jamais fait d'allusion Ă son sujet. Alexys savait que son cousin entretenait une relation avec une jeune femme, au point de vouloir l'Ă©pouser mais jamais, James n'avait fait d'allusion Ă AĂ«lynn. Il disait sans cesse qu'Alexys ne le connaissait pas. Se pourrait-il qu'il lui aie menti ? Non. Cela ne pouvait ĂȘtre vrai ⊠Alexys sentait la jalousie lui monter aux joues. Ses poings se serraient au point dĂ©crasser totalement la poignĂ©e du sac contenant l'huile et le livre. Beaucoup de scĂ©narios se jouaient dans son esprit. Le pire d'entre tous, c'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel AĂ«lynn jouait la fiancĂ©e Ă©prise de son dĂ©funt qui n'Ă©tait pas si dĂ©funt que ça. Le meilleur ? C'Ă©tait sĂ»rement celui dans lequel la jeune femme jouait simplement l'amie d'enfance un peu rabat-joie. Finalement, c'est celui que le jeune homme dĂ©cida de choisir pour apaiser ses Ă©motions, parties un peu trop en vrille. L'instinct animal du vampire s'Ă©tait rĂ©veillĂ©. Un peu comme si ses Ă©motions Ă©taient passĂ©es en Off. MĂȘme s'il ne l'avouera jamais, entendre AĂ«lynn s'inquiĂ©tait de ce qu'avait pu vivre ou ressentir un autre homme que lui, le rendait fou. Malade. Malade de jalousie. Ou tout simplement malade d'amour pour la jeune femme ? Quoi qu'il en soit, Alexys ne comptait pas se dĂ©gonfler. Il devait savoir. Elle devait passer aux vĆux. Qu'elle le veuille ou non. D'un pas un peu trop dĂ©cidĂ©, il s'avança vers la jeune femme. Croisant ses bras sur sa poitrine, le sac pendait contre son torse, il nargua AĂ«lynn du regard, arborant cet air suffisant qui l'avait tant caractĂ©risĂ© auprĂšs de ses anciennes conquĂȘtes, signe que la tempĂȘte Ă©tait proche ⊠D'ailleurs, que nous vaut cette soudaine considĂ©ration ? Il y a quelques instants, tu m'as rappelĂ© Ă quel point je te mĂ©prisais quand nous Ă©tions enfants. Pourquoi penses-tu qu'il n'en Ă©tait pas de mĂȘme pour James ? Tu penses avoir eu la moindre importance pour lui ? Je rĂȘve. Tu te prends pour sa copine ou quoi ? Qui Ă©tais-tu pour lui ? Qui Ă©tais-tu pour te permettre de me faire un sermon sur mon devoir de cousin de la sorte ? Stuart, je ne suis plus cet enfant que tu peux sermonner comme bon te semble. Grandis un peu. Si je n'Ă©tais pas prĂ©sent, c'est sĂ»rement parce que j'avais mes raisons. Et ces raisons, elles ne concernent que moi. "Qui a dit que les retrouvailles devaient toujours ĂȘtre joyeuses ? Ce qui Ă©tait sĂ»r, c'Ă©tait que lâimpertinence et lâarrogance d'Alexys, allaient sĂ»rement lui jouer des tours ⊠CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 021 BACK TO YOU⊠Comment cela Ă©tait-il possible de changer d'une situation de tout au tout en une fraction de seconde. Tu Ă©tais grossiĂšrement en train de flirter avec lui en pleins milieu de ton magasin, rougissante comme une adolescente avec le cĆur en crise de tachycardie et l'instant d'aprĂšs, la colĂšre, la tristesse et la rancune tâenivras. C'est dingue comme l'identitĂ© d'une personne pouvait jouer sur l'aspect relationnel. Tu tombes en amour et ensuite tu haĂŻs instantanĂ©ment, le tout, en un prĂ©nom. Bien sĂ»r, dit comme cela pouvait bien ĂȘtre ridicule, mais au final, il Ă©tait devenu un homme grand beau et trĂšs sĂ©duisant... Mais cela ne changeait pas rĂ©ellement qui il Ă©tait et ce qu'il avait fait.. Enfin, ce qu'il n'avait pas fait dans ce cas contraire. Et toi, tu ne pouvais pas te sentir plus bĂȘte, tombĂ©e sous le charme pour la premiĂšre fois depuis la mort de l'homme que tu aimais de son cousin. C'Ă©tait vĂ©ritablement le comble. Tu Ă©tais pourtant la premiĂšre Ă insulter les filles de sĂ©rie tĂ©lĂ© qui passe de frĂšre en frĂšre ou bien alors de gars en gars dans la mĂȘme bande de pote, les insultĂ©s de filles faciles et d'hypocrite. Au final, tu Ă©tais exactement pareil. Et tu te mis Ă froncer les sourcils, si James Ă©tait encore vivante, aurais-tu ressentie cette attirance et cette connexion indĂ©niable avec le revenant blond ? Tu ne savais pas rĂ©pondre Ă cette question, et au final tu ne prĂ©fĂ©rais pas savoir. Bien entendu, rien ne justifiais la situation, et malgrĂ© son identitĂ© connu, la sensation de sa peau contre la tienne quand il t'aida Ă te relever te fit plus d'effet que tu ne le voulais. IndĂ©niablement, il avait ce pouvoir sur toi, du moins, sur ton corps et ton cĆur qui Ă©tait incontrĂŽlable, mais ton esprit et ton Ăąme ne pouvait l'accepter. Alors, justifier l'enfance pour excuse de ta rĂ©action Ă©tait la seule et la premiĂšre chose qui te vint Ă l'esprit Oui c'est vrai, on change tous » RĂ©pondis-tu gĂȘnĂ©e par la situation, par ce tourment entre ta tĂȘte et ton cĆur. Sans oubliĂ©e du coup, cette atmosphĂšre palpable, cette situation oppressante et le malaise qui se dĂ©gageait au final. Tu soufflais et fermais les yeux quand il partit rĂ©gler ses achats et tu essayais de reprendre tes esprits, mais c'Ă©tait impossible pour toi. Tu ne pouvais pas faire comme si de rien Ă©tait, tu Ă©tais bien trop franche et bien trop grande bouche pour laisser croire Ă un simple souvenir d'enfance alors que ta rancune Ă©tait bien plus profonde, bien plus enracinĂ©e dans tes entrailles. Et c'est alors qu'il partit de l'Ă©tablissement que tu rĂ©agissais enfin. Sans prĂ©venir ta vendeuse, tu quittas Ă ton tour le magasin pour ouvrir ton cĆur Ă cet homme si mystĂ©rieux. AprĂšs avoir sortit tout ce que tu avais sur le cĆur, il s'Ă©tait retournĂ© et tu pouvais voir la peine et la colĂšre dans son regard et aussi dans l'aura qu'il dĂ©gageait. Bien entendu, tu avais Ă©tait dure avec lui. Et sa rĂ©ponse ne se fit pas tarder. Tu baissais un instant le regard, il avait pas tort au final, qui Ă©tais-tu pour le juger, que savais-tu de lui. Tu te mordis la lĂšvre infĂ©rieure et surtout, tu ne compris pas tout de suite la suite de son dialogue et tu ne savais pas vraiment comment rĂ©agir et surtout une intense colĂšre naquit vers l'homme que tu avais tant aimĂ©. Alexys n'Ă©tait-il donc pas au courant pour elle et son cousin ? Ne lui avait-il pas dit ? Pourtant, quand il te parlait de son cousin, il disait qu'il y avait une transparence entre les deux. Qu'ils Ă©taient proches et qu'ils se disaient tout. Qui lui avait mĂȘme proposer d'ĂȘtre son tĂ©moin Ă son mariage, mais au final, peut-ĂȘtre qu'il en Ă©tait rien. James lui avait menti, avait-il honte de toi ? Du souvenir qu'Alexys avait envers ta personne ? Tu respiras fortement, levant la tĂȘte, lui faisant face avec un regard sĂ©vĂšre. Tu n'Ă©tais certainement pas le genre de femme Ă te laisser marcher dessus ou t'Ă©craser. Tu Ă©tais une Stuart aprĂšs tout C'est vrai, je n'ai pas Ă te juger et je ne te connais pas, pourquoi es-tu revenu que maintenant ? Et qui es-tu ? » RĂ©pliquas-tu en croisant les bras en le dĂ©fiant du regard. Bien entendu, il continua dans son discours et tu levas les yeux Non, ce n'Ă©tait pas le cas de James, de votre trio de copain tu Ă©tais bien le seul Ă ne pas vouloir m'accepter » Fis-tu alors Et au final Ă la seconde oĂč tu es parti, James et Angel sont restĂ©s tous les jours avec Soline et moi, et toi, tu n'existais plus... On se portait bien mieux avec aucune nĂ©gativitĂ©, nĂ©gativitĂ© que tu dĂ©gageais Ă chaque fois » Repris-tu donc. Avec sa rĂ©vĂ©lation, tu prĂ©fĂ©rais pas lui rĂ©vĂ©ler ta vraie relation avec son cousin, parce que dĂ©jĂ il ne mĂ©ritait pas de savoir, ça ne le regardais pas. Mais d'une certaine maniĂšre, tu Ă©tais blessĂ©e que James ne l'ai jamais fait et du coup, tu avais besoin de temps pour accuser le coup de cette histoire Je ne suis pas du genre Ă sermonner, je ne sais pas pour qui tu me prends, mais de toute Ă©vidence tu te trompe de personne, ta mĂ©moire est de toute Ă©vidence, dĂ©faillante » Fis-tu, une pointe blessĂ©e d'avantage. Bon d'accord, tu avais toujours eu tendance Ă donner ton avis sur tout, mais de lĂ Ă sermonner les autres, c'Ă©tait un peu fort quand mĂȘme. Et tout en cette situation Ă©tait que tu repartes dans ton magasin, qu'il parte de son cĂŽtĂ© Ă lui aussi. Mais sans que tu ne saches pourquoi, une partie de toi ne voulait pas, ne pouvait pas s'en aller loin de lui, pas sur cette tension si mauvaise. Car, de toute Ă©vidence, tu avais peur de ne plus jamais le revoir et c'Ă©tait tellement contradictoire avec toute la situation. Ce n'Ă©tait Ă ne plus rien y comprendre. En cet instant, tu avais envie qu'Angel et Soline soit prĂ©sente, qu'ils t'expliquent et qu'ils te disent quoi faire, comment agir et rĂ©agir. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 18 Juin - 2156Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸQui Ă©tait-il ? Qui Ă©tait-il ? That is the question. Cette question, Alexys se l'Ă©tait souvent posĂ© ces derniers temps. Entre sa transformation, celle de James et l'attirance inexplicable qu'il Ă©prouvait envers la belle brunette, le jeune homme ne se reconnaissait plus. TantĂŽt le loup dans la bergerie, tantĂŽt le mouton prĂȘt Ă se faire dĂ©vorer par le loup. Sa transformation n'avait pas Ă©tĂ© un moment des plus agrĂ©able. Ne se considĂ©rant plus comme un humain, le jeune homme avait repris goĂ»t aux joies et aux peines de la vie humaine qu'il avait perdu grĂące Ă son travail. Tenter de sauver des gens Ă la place d'en tuer, victime de ses pulsions meurtriĂšres de vampire, Ă©tait d'un grand bonheur dans sa vie. Puis la descente aux enfers Ă©tait repartie avec la transformation de James, son cousin. MĂȘme si Alexys s'Ă©tait souvent reprochĂ© d'avoir donnĂ© cette fiole de sang, James semblait profiter pleinement de sa nouvelle vie et c'est ce qui Ă©tait le plus important. Vivre le conflit perpĂ©tuel que vivait quotidiennement le jeune homme, n'Ă©tait Ă souhaiter Ă personne. Finalement, la donne avait rĂ©ellement changĂ© lorsqu'AĂ«lynn rentra de nouveau dans sa vie. Lorsqu'Alexys la voyait au loin, c'Ă©tait un peu comme si la gravitation ne le retenait plus, flottant sur son petit nuage. La regarder lui procurait de l'apaisement. Cet apaisement qu'il n'espĂ©rait plus depuis ces derniĂšres annĂ©es. Malheureusement, il est des choses qu'on ne peut jamais avouer. Surtout pas maintenant qu'AĂ«lynn lui aie mis les nerfs en boule. Hors de question. Il Ă©tait hors de question qu'Alexys crache le morceau. Sa fiertĂ© oblige. Je vais te le rĂ©pĂ©ter puisque tu sembles ne pas comprendre ce que je te dis ⊠» Dit-il en se penchant lĂ©gĂšrement vers elle. La raison pour laquelle je suis revenu, ne te regarde absolument pas. Et quand bien mĂȘme. Je suis nĂ© ici. Faut-il vraiment une raison pour revenir ? A t'entendre, j'ai l'impression de passer un interrogatoire devant l'immigration ! » Dire qu'ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able avec la jeune femme l'amusait, Ă©tait trĂšs exagĂ©rĂ©. Alexys n'avait aucune envie de lui balancer son venin. Mais puisqu'elle l'avait cherchĂ© et puisqu'il ne pouvait pas lui avouer qu'il Ă©tait en rĂ©alitĂ©, irrĂ©mĂ©diablement fou d'elle, le jeune homme n'avait pas d'autres choix que d'ĂȘtre aussi naturel que possible. AprĂšs tout, ce caractĂšre de cochon, il l'avait toujours eu. C'est juste qu'avec elle, il devenait un petit canard. D'ailleurs, depuis que le jeune homme avait rĂ©vĂ©lĂ© son identitĂ©, AĂ«lynn ne se gĂȘnait pas pour lui rappeler sans cesse. Cependant, la suite de ses paroles commença rĂ©ellement Ă le consumer de l'intĂ©rieur. Ses yeux Ă©taient plus qu'en Fire, consumĂ© par la jalousie. Si tu crois vraiment ça, c'est que tu es encore plus idiote que dans mes souvenirs ! » Dit-il dans un sourire narquois. Comment peux-tu ĂȘtre aussi sĂ»re de ce que tu avances ? MĂȘme si je n'Ă©tais plus lĂ , j'Ă©changeais avec James frĂ©quemment. C'est juste qu'il n'osait pas t'avouer Ă quel point tu Ă©tais envahissante et oppressante rien de plus. »Plus AĂ«lynn tentait de dĂ©fendre James, plus Alexys devenait cinglant dans les mots qu'il employait. L'entendre dire que tout ce qu'il incarnait une fois parti, n'existait plus, le blessait sincĂšrement. Alexys avouait avec beaucoup de mal, avoir Ă©tĂ© injuste avec elle en Ă©tant enfant mais comment avait-elle pĂ» devenir aussi blessante ? Finalement, plus la conversation avançait, plus le jeune homme se rendait compte que la petite fille fragile qu'il avait connu, n'existait plus. La jeune femme semblait plus forte, plus dĂ©terminĂ©e. Et mĂȘme si cela lui plaisait beaucoup, se disant qu'il avait enfin trouvĂ© quelqu'un Ă sa hauteur, certaines de ses rĂ©pliques lui plaisaient vachement moins. Finalement, Alexys avait la simple impression que toute cette histoire allait mal se terminer. AĂ«lynn ne semblait pas vouloir se faire malmenĂ©e par le jeune homme, et ce dernier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă avoir le dernier mot sur tout ce que dirait la jeune homme, convaincu qu'il avait toujours raison, mĂȘme contre vents et marĂ©es. Au bord de l'implosion, son sang ne faisant qu'un tour dans son corps, Alexys laissa tomber le sac qu'il tenait toujours dans ses mains et s'approcha dangereusement d'AĂ«lynn. Son sourire crispait, n'annonçant rien de bon, il posa ses mains sur les Ă©paules de la jeune femme et les serra lĂ©gĂšrement, son visage s'Ă©tant rapprochĂ© du sien afin de lui susurrer dans un semblant de calme les mots qui allaient suivre. Tu sais quoi ma belle ? Pense ce-que-tu-veux de moi, je m'en contre-fiche totalement. D'autres me supplieront Ă ta place pour leur donner le peu d'attention que je te porte depuis toute Ă l'heure. Te crois-tu aussi irrĂ©sistible pour que je tolĂšre que tu me traites de la sorte ? A moins que tu me voues un amour irrationnel, le fait que nous nous sommes connu Ă©tant enfant, ne te donne aucun droit sur moi. Mais puisque tu sembles accorder tant d'importance Ă James, je vais te dire une bonne chose ⊠»Alexys s'Ă©loigna du visage de la jeune femme et recula de deux pas, son regard noir comme le fond de l'ocĂ©an, fixant avec insistance celui de la jeune femme. Sa folie bestiale ayant repris le dessus. C'Ă©tait un peu comme si son cĆur meurtri par la haine que lui vouait la jeune femme en cet instant, s'Ă©tait mis en OFF afin de limiter la souffrance. Il ne t'a jamais vraiment apprĂ©ciĂ©. La seule chose et unique chose qui l'a fait se rapprocher de toi ... C'est le vide que j'ai laissĂ© aprĂšs mon dĂ©part. Rien de plus. Alors arrĂȘte de croire au prince charmant sur son beau cheval blanc. Car sans vouloir te dĂ©cevoir, il n'existe pas. Ou du moins ⊠Plus. »Alexys avait cruellement besoin de savoir jusqu'oĂč AĂ«lynn Ă©tait prĂȘte Ă aller pour sauver la mĂ©moire de James. Ătrangement, le jeune homme avait l'impression que l'amitiĂ© Ă©tait certainement plus que ce qui liait la jeune femme Ă son cousin. Et ça, il ne pouvait l'admettre. Mais Ă©tait-il prĂȘt Ă perdre AĂ«lynn ?CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 18 Juin - 2348 BACK TO YOU⊠Tu avais beau avoir une attirance certaine pour cet individu, son caractĂšre te repoussait au plus haut point et au fur et Ă mesure que le ton montait entre vous, tu le revoyais enfant. Il avait toujours Ă©tĂ© si mĂ©chant et dĂ©sagrĂ©able. Pas seulement qu'avec toi, mais aussi avec les autres hormis ses deux meilleurs copains. Et le voir comme ça, tu pouvais bien te demander comment pouvait-il ĂȘtre si gentil avec des petites mamies et horribles avec les autres ? Comme s'il Ă©tait deux personnes diffĂ©rentes en mĂȘme temps. Mais cela ne changeait pas la douleur qu'il reprĂ©sentait pour toi, incontestablement, tu ne pouvais que l'identifier Ă l'amour que tu as perdu. Et tu ne comprenais pas tout, comment pouvait-il dire tout cela, comment ne pouvait-il pas savoir pour son cousin ? Il avait pourtant invitĂ© au mariage. A part si, Ă©galement de ton cĂŽtĂ©, il y avait eu que des mensonges. Mais qui croire, il Ă©tait si facile de mentir quand l'autre personne ne pouvait se dĂ©fendre. Et tu te dĂ©testais de croire ce que le magnifique et dĂ©testable blond te disait, salissant alors la mĂ©moire de celui que tu avais toujours aimĂ©e. Le tout en quelques minutes. Et vexĂ©e de cette situation, tu prĂ©fĂ©rais garder pour toi le lien qui t'unissait avec son cousin, il valait mieux car tu savais qu'il trouverait rien de mieux Ă faire que de te faire douter de l'amour que James te portait et ça, il en Ă©tait impossible. Tu avais aimĂ©e terriblement James et il Ă©tait amoureux de toi, il te le disait constamment, aprĂšs tout, c'est lui qui voulait que tu deviennes sa femme. Tu repris contenance, tu ne voulais pas montrer que toutes ses accusations t'atteignait bien plus qu'il ne le pensait. Il en serait trop content. Et tu ne comprenais pas pourquoi, James qui Ă©tait un amour et lui un horrible personnage. Etait-il rĂ©ellement cousin ? Tu te le demandais pour le coup. Tu ouvris la bouche pour rĂ©pliquer, mais aucun mot ne sortit. AprĂšs tout, la raison de son retour ne concernait que lui c'est vrai, mais pourquoi n'Ă©tait-il pas venu alors pour l'enterrement de son cousin, son cher cousin qui l'adore comme il le prouve si bien. Tu te mordis la lĂšvre pour ne pas revenir sur le sujet, tu Ă©tais tĂȘtue et tu avais bien l'intention de savoir la vĂ©ritĂ©. Tu croisais les bras en le toisant sĂ©vĂšrement Et toi, comment peux-tu ĂȘtre un connard arrogant et prĂ©tentieux Ă ce point ? Tu disais que tu avais changĂ© et au final, je constate que tu es toujours ce gosse avec un caractĂšre de merde, une vie si pourrie qu'il se venge sur les autres » RĂ©pliquas-tu, tu l'avais toujours penser, il devait avoir une vie si triste pour ĂȘtre si mauvais avec tout ceux qui l'entoure, c'Ă©tait souvent comme ça Bien sĂ»r que je sais que tu Ă©changeais avec lui, tout comme il t'avait demandĂ© d'ĂȘtre tĂ©moin Ă son mariage, crois-tu vraiment qu'il te disait tout ? Je ne pense pas, James disait bien ce qui l'arrangeait parfois » Fis-tu alors dĂ©terminĂ©e et tu tâinjurias, tu Ă©tais vraiment horrible de tout remettre la faute sur James, en cet instant, tu ne valais pas mieux que celui qui te faisait face. Cet homme qui justement, s'approchait dangereusement de toi et le fait de le sentir si proche de toi malgrĂ© la colĂšre que tu nourrissais pour lui, fis comme tout Ă l'heure. Ton cĆur battait vite et cette sensation de te sentir comme une petite chose. Tu ne comprenais pas ce pouvoir si puissant qu'il avait sur toi, son odeur, son souffle. Cela te faisait tourner la tĂȘte. Heureusement, si on peut dire cela, qu'il te fit mal cela rendait cette proximitĂ© diffĂ©rente tandis qu'il continua de dĂ©verser ses paroles haineuses. Tu rĂ©pliquas pas sur ce qu'il disait, tu te doutais bien qu'il devait ĂȘtre vexer d'avoir Ă©tĂ© remplacer aussi rapidement et que son absence n'est changĂ© strictement rien sur la petite bande, et plus encore, qu'elle se portait encore mieux sans lui. Tu reculas Ă nouveau et tu compris, du moins, tu espĂ©rais ĂȘtre dans le vrai.. Cette mĂ©chancetĂ©, Ă©tait-elle pour la mĂȘme raison que la tienne ? Ou alors Ă©tais-ce vraiment de la connerie Alexys, comment peux-tu parler de lui ainsi ? J'ai bien honte d'insulter sa mĂ©moire en agissant ainsi, James t'aimait vraiment beaucoup et lĂ c'est n'importe quoi, j'ai tellement de chose Ă te dire, si tu savais. Mais par respect pour lui et son souvenir, je prĂ©fĂšre me taire c'est mieux ainsi... » Fis-tu de maniĂšre plus posĂ©e, tu aurais pus continuer pendant des heures, mais tu n'Ă©tais pas si mĂ©chante que lui et cela ne t'amusait pas de blessĂ©e les autres. â code by bat'phanie â AĂ«lynn Georgiana StuartJ'ai fait dans ma vie des rĂȘves dont le souvenir ne m'a plus jamais quittĂ©e et qui ont changĂ© mes idĂ©es ils se sont infiltrĂ©s en moi, comme le vin dans l'eau, et ont altĂ©rĂ© la couleur de mon esprit. InvitĂ© InvitĂ© Re Back to 19 Juin - 2324Back To YouFeat AĂ«lynn & AlexysâŸâŸIl y avait un dicton cĂ©lĂšbre qui disait Qui aime bien, chĂątie bien ! ». Pour le coup, la scĂšne qui se jouait devant la petite boutique, n'Ă©tait plus de l'amour mais, de la rage. Les deux jeunes s'envoyaient sans relĂąche les pires mĂ©chancetĂ©s. C'Ă©tait un peu Ă celui qui rendrait les armes en premier. Un jeu devenu dangereux au fil des minutes qui s'Ă©coulaient. Bien trop dangereux. MĂȘme si Alexys se voulait dur dans ses paroles, pris dans le redoutable tourbillon de la jalousie, sa plus grande peur Ă©tait de perdre la jeune femme. Il l'apprĂ©ciait bien trop. Son souvenir le faisait sourire quand il pensait Ă elle lors de ses moments perdus et maintenant qu'il avait rĂ©ussi Ă l'approcher, Ă lui montrer qu'il existait, la situation virait Ă la catastrophe. Au fond, Alexys aurait aimĂ© faire table rase du passĂ©. Ils n'Ă©taient que des enfants et les enfants sont toujours mĂ©chants entre eux. A croire que la rancune que lui vouait AĂ«lynn Ă©tait bien plus profonde qu'il ne l'aurait imaginĂ©. Triste rĂ©alitĂ©. Tu as raison. Je suis un connard arrogant et prĂ©tentieux. Mais contrairement Ă toi, je sais reconnaĂźtre mes dĂ©fauts. »Oui, Alexys Ă©tait un connard arrogant et prĂ©tentieux. Ca, il le savait depuis bien longtemps. D'ailleurs, chacune de ses conquĂȘtes larguĂ©es comme de vulgaires chiffons, aimaient vanter ces traits de personnalitĂ©, aussi dĂ©testables soient-ils. Le jeune homme n'avait pas eu une vie facile. Entre le dĂ©cĂšs de ses parents alors qu'il n'Ă©tait qu'un bĂ©bĂ©, le manque d'amour paternel et maternel, la dĂ©mĂ©nagement vers un pays inconnu, la maladie et puis la transformation, le karma avait plutĂŽt Ă©tĂ© dur avec lui. Sa façon de s'exprimer, se faisait par la bagarre et l'arrogance. Tout cela ne s'apparentait qu'Ă un vulgaire mĂ©canisme de dĂ©fense. Rien de plus. Jamais, il n'avait laissĂ© approcher personne Ă pars son cousin et sa grand-mĂšre. C'est sĂ»rement la raison pour laquelle, il Ă©tait si dur avec les filles qu'il cĂŽtoyait. Aussi froid et impĂ©nĂ©trable qu'un puissant glacier dâantarctique. Et pourtant, lors d'une belle journĂ©e d'Ă©tĂ©, lâapparition de la jeune femme, lui avait rĂ©chauffĂ© le cĆur. Un peu trop d'ailleurs. Lorsqu'il l'avait aperçu dans la boutique quelques minutes auparavant, Alexys espĂ©rait vraiment que la jeune femme ne tiendrait pas rigueur des Ă©vĂ©nements du passĂ©. AprĂšs tout, tout le monde pouvait changer. L'univers Ă©tait rempli de seconde chance. Et pourtant, tout avait vrillĂ©. AĂ«lynn ne lui avait laissĂ© aucune chance. Et pour cela, il lui en voulait horriblement. La suite des paroles d'AĂ«lynn nâintĂ©ressĂšrent pas du tout le jeune homme qui s'Ă©tait Ă©loignĂ©, perdu dans ses pensĂ©es. Tout ce qu'il avait retenu de tout son charabia, c'Ă©tait que la jeune femme ne lui laissait aucune chance. Cette phrase, il se la rĂ©pĂ©tait en boucle. Son expression commença Ă changer petit Ă petit, laissant feindre la tristesse. Alexys se sentait comme un enfant que sa mĂšre venait dâabandonner devant les portes d'un orphelinat en lui disant que tout Ă©tait de sa faute. Le plus horrible des sentiments refit surface. L'abandon. L'abandon des gens qu'on aime. C'Ă©tait le pire. AĂȘlynn semblait vouer un culte Ă James, lui qui avait tout abandonnĂ©, faisant croire Ă ses proches qu'il Ă©tait mort. Pensait-elle que c'Ă©tait mieux que le dĂ©part d'Alexys contre son grĂ© ? Le mensonge ? Pensait-elle que c'Ă©tait correct d'abandonner ses proches et de leur faire subir un deuil ? Bien sĂ»r que non. Pour elle, James Ă©tait sur un pieds d'estalle. Si seulement AĂ«lynn savait ⊠Continuerait-elle Ă le dĂ©fendre bec et ongle ?Finalement, devant la rĂ©solution d'AĂ«lynn, Alexys baissa les armes. La regarder, devenant trop douloureux pour lui, il dĂ©cida simplement de lui tourner le dos. Tu ne m'as laissĂ© aucune chance AĂ«lynn. Du moment oĂč tu m'as reconnu jusqu'Ă maintenant, les seules paroles qui sont sorties de ta bouche, n'ont Ă©tĂ© que reproches. », Alexys marqua une lĂ©gĂšre pause. Puisque tu sembles tout savoir sur la relation que j'entretenais avec James, mĂȘme mieux que moi, tu devrais savoir que ce dont tu m'accuses, est injustifiĂ©. Mais ça, tu t'en contre-fiches. Pour toi, je ne suis que le sale gosse qui du haut de ses 10 ans, te toisait du regard. »Alexys se retourna, les yeux un peu bouleversĂ©. Cela ne lui ressemblait pas mais les accusations de la jeune femme le touchait. Maintenant que sa colĂšre Ă©tait descendue, la dĂ©pression reprenait le dessus. Entre colĂšre et dĂ©pression, il n'y avait qu'un pas et la limite Ă©tait encore plus rapidement franchie depuis qu'Alexys Ă©tait devenu un vampire. S'approchant une nouvelle fois d'AĂ«lynn, il posa ses mais sur ses joues, l'obligeant Ă le regarder dans les yeux. Me dĂ©testes-tu autant ? Pourquoi refuses-tu de croire que les gens peuvent changer ? N'y-a-t-il donc que James qui trouve grĂące Ă tes yeux ? »Une pulsion le pris dâassaut. La proximitĂ© devenant insoutenable et tentatrice, Alexys rapprocha ses lĂšvres de celles de la jeune femme. MĂȘme sans les toucher, le jeune homme ressentait dĂ©jĂ leur douceur. Son souffle rapide sonnait comme une mĂ©lodie Ă ses oreilles de vampire totalement accro. Bien que ce geste apaisait lĂ©gĂšrement son Ăąme tourmentĂ©e, il se rendit compte rapidement qu'il ne pouvait pas la forcer. Ni Ă l'aimer, ni Ă faire quoi que ce soit d'autre. Alexys l'apprĂ©ciait peut ĂȘtre un peu trop que pour lui infliger un baiser forcĂ© qui n'aurait aucune saveur, aucune Ăąme. Souvent, il s'Ă©tait amusĂ© Ă imaginer leur tout premier baiser et ce n'Ă©tait certainement pas dans ses conditions. Totalement et dĂ©sespĂ©rĂ©ment rĂ©solu, Alexys se redressa et lĂącha le visage de la jeune femme. Peut ĂȘtre qu'un jour, tu te rendras compte de l'erreur que tu viens de commettre. »Alexys alla rechercher le sac qu'il avait balancĂ© un peu plus loin dans un soupir, et tourna les talons, s'Ă©loignant de la jeune femme. Ce qu'elle pouvait dire maintenant, ne lâintĂ©ressait plus dĂ©sormais. Puisque le jeune homme n'Ă©tait qu'un connard, AĂ«lynn ne verrait sĂ»rement pas d'inconvĂ©nient Ă ce qu'il la plante lĂ , devant son magasin. Puisqu'il fallait savoir abandonner dans la vie, autant leur faire maintenant. CODAGE PAR AMATIS Je suis une chasseuse Date d'inscription 17/03/2020Messages 1628CĂ©lĂ©britĂ© AdĂ©laĂŻde & CrĂ©dit Frary & Nemo GirlMulticompte Mary Blackwell et Eva LawsonPetit plus Alexys Hudson âș Tu es la lumiĂšre qui me permet de me retrouver face Ă cette obscuritĂ© qui m'entoure. Tu sais, tu as beau ĂȘtre tout ce que je dois rejeter, tout ce qui est Ă l'encontre de ma morale et de mon devoir, je ne vois pas comment je peux vivre sans toi alors je dois abandonnĂ© toutes les choses auxquelles que je crois parce que je t'aime et que je ne peux pas m'arrĂȘter de le faire. Alvy Stuart âș A Stuart âș Aylin Stuart âșrĂ©ponses rps 81 Re Back to 21 Juin - 025 BACK TO YOU⊠Toujours devant ton magasin, toujours bras croiser et toujours avec cette envie de claquer ce blondinet aux yeux magnifiquement blond. Tu avais succombĂ© Ă son charme, puis tu avais dĂ©couvert qui il Ă©tait. Cela avait tout changĂ© et plus les minutes s'Ă©croulaient et plus tu dĂ©couvrais sa vĂ©ritable personnalitĂ©, personnalitĂ© aussi dĂ©testable qu'insupportable. Alors, les reproches continuaient d'avantage. On est d'accord sur le fait que tu avais commencĂ© les hostilitĂ©s, mais tu n'avais pas pus faire autrement, tu Ă©tais bien trop entiĂšre, bien trop franche pour garder ce que tu avais Ă lui dire dĂšs l'instant oĂč tu l'avais reconnu. Tu souris ironiquement Que sais-tu de moi Ă©galement, je ne sais rien sur toi je te l'accorde, mais tu ne me connais pas non plus alors garde tes rĂ©flexions pour toi mĂȘme » RĂ©pliquas-tu, tu savais que tu avais des dĂ©fauts, tu en avais conscience et tu les assumais sans pour autant le dire si ouvertement comme lui, mais lui il Ă©tait tellement arrogant Ă vouloir toujours le dernier mot qu'il ne pouvait s'en doute pas s'en empĂȘcher aprĂšs tout. C'est le principe mĂȘme de ce que tu lui reprochait Ă cĂŽtĂ© de bien d'autres faits plus aggravant. Du moins, c'est ce que tu pensais car avec ce qu'il t'avait dit, tu commençais rĂ©ellement Ă douter de l'homme que tu avais jadis aimĂ©. Et alors qu'il continua Ă ouvrir la bouche pour dĂ©blatĂ©rer des paroles tu te mis Ă Ă©clater de rire royalement, pas d'amusement on en convient, mais il venait de faire terriblement fort Te donner une chance ? Non mais tu t'es entendus, il n'y a pas une seule insulte que tu m'as Ă©pargnĂ© depuis qu'on est ici alors que je t'avais juste fait par de mon ressentie et de mon inco
rien qu une larme dans tes yeux paroles